Ce texte d’essai explicatif « Grand Public » a été écrit par « Fulmina Institut » . Les explications des termes scientifiques et médicaux sont en partie extraits de la Fondation Wikipédia que nous remercions et de comptes rendus scientifiques émanant de différentes universités et centres de recherche internationaux.
Les sciences de la vie et la compréhension des fonctions organiques et biophysiques ont permis ces quarantes dernières années d’aborder la compréhension de l’infiniment grand à l’infiniment petit.
La biophysique est une discipline à l’interface de la physique et de la biologie où les outils d’observation des phénomènes physiques sont appliqués aux molécules d’origine biologique. Plusieurs domaines de la biologie dans son sens le plus large ont bénéficié des avancées réalisées par la biophysique : la médecine, la biologie cellulaire ou encore la biologie moléculaire sont quelques exemples de l’application de la compréhension de cette discipline qu’est la biophysique .
La compréhension des fonctions cellulaires de notre organisme apportent une grande contribution à l’élaboration de produits de soins naturels contre le vieillissement et l’apoptose de nos cellules.
L’apoptose (ou la mort cellulaire programmée) est le processus par lequel des cellules déclenchent leur auto-destruction en réponse à un signal. C’est l’une des voies possibles de la mort cellulaire qui est physiologique et génétiquement programmée, nécessaire à la survie des organismes multicellulaires. Elle est en équilibre constant avec la prolifération cellulaire.
La réponse aux questions des fonctions de la vie physique biologique doit être recherchée dans l’origine de l’organisation de nos fonctions cellulaires et de l’énergie qui les animent (la bioélectricité cellulaire).
Le corps humain est un trésor de la nature et son potentiel est énorme. Il est le temple de l’homme et de notre conscience, et, il nous faut une clé d’or pour en percer les mystères.
Les cellules sont sans cesse à se reproduire, vieillir puis mourir : c’est donc l’apoptose .
Les recherches effectuées par des scientifique Russes et Américains tels que Alekseï Glomikov, le plus éminent pionnier dans ce domaine, le Pr Vladimir Khavinson, et, Elizabeth Black Burn, Carol Greider et Jack Szostak pour avoir élucidé les mécanismes physiques du vieillissement cellulaire (en 2009 prix Nobel), indiquent que ce processus se rapproche de la maladie.
Nous passons tous progressivement de la croissance à l'âge adulte puis à la vieillesse.
Nous avons généralement une bonne santé jusqu’à 50 ans, nos cellules qui forment nos organes sont encore très actives. Avec l’augmentation de l’âge leurs potentiels énergétiques (fonctions de la bioélectricité) s’affaiblissent et commencent à perdre de leur vitalité. Les toxines (une toxine est une substance toxique pour un ou plusieurs organismes vivants ) et les radicaux libres (sont une espèce chimique possédant un ou plusieurs électrons. Si leur liaison chimique est rompue de façon hétérolytique , on a des ions plutôt que des radicaux ), s’accumulent dans les fonctions cellulaires, le sang et les systèmes de reconnaissances immunitaires en réactions qualitatives et quantitatives diminuent.
Ce vieillissement affecte les fonctions générales de l’assimilation et de la distribution de l’énergie, diminuant la rapidité, et, la qualité de la reproduction cellulaire. L’énergie de liaison biologique et des membranes internes des fonctions de transmissions s’affaiblissent.
La qualité des échanges d’énergie à l’intérieur des cellules pour assurer leurs réplications, et, les informations correctes de l’ADN / ADN mitochondriale à l’ARN / ARN messager vers les diverses protéines pour synthétiser les acides aminés ( le corps humain est composé de 20% de protéines. Les protéines font partie de la famille des protéines, et, ont un rôle décisif dans pratiquement tous les processus biologiques. Les protéines sont d’infimes molécules constituées d’acides aminés ).
Les acides aminés sont donc les éléments constitutifs des protéines qui deviennent alors moins performantes. Les différents facteurs qualitatifs et quantitatifs décisifs déterminent l’information, la vitesse et le degré du vieillissement global de l’organisme.
Le mécanisme de nettoyage des toxines cellulaires ainsi qu’une bonne énergie permettant un bon fonctionnement mitochondrial amenant une bonne reproduction de la chaîne cellulaire pour nos différents organes.
Ce sont des organites présents en grande majorité dans le cytoplasme des cellules eucaryotes qui seraient issues de l’endosymbiose d’une alpha-protéobactérie et d’une cellule hôte protoeucaryotique il y a environ deux milliards d’années (Théorie endosymbiotique). Selon le type de cellules, elles peuvent posséder entre 300 et 500 mitochondries.
Elles assurent la respiration de la cellule et la production de l’énergie et possède son propre ADN. Suivant le type de tissu, une cellule peut contenir entre 10 à 10.000 molécules d’ADNmt.
La cellule mitochondriale occupe une place essentielle dans le métabolisme intra-cellulaire intermédiaire. Elle est responsable des réactions du catabolisme des acides aminés, du cycle de Krebs, de l’oxydation des acides gras ainsi que de la phosphorylation oxydative.
Dans le courant de l’évolution, les mitochondries ont conservé leur propre génome, qui bien que très réduit par rapport à celui d’une bactérie, il est essentiel au bon fonctionnement de ces organites. Confiné à l’intérieur des mitochondries, les organites parfois nommés organelles par anglicisme (sont les différentes structures spécialisées contenues dans le cytoplasme et délimitées du reste de la cellule par une membrane phospholipidique. Il existe de nombreux types d’organites, en particulier dans les cellules eucaryotes. On a longtemps pensé qu’il n’y avait pas d’organites chez les cellules procaryotes, mais quelques exceptions ont été mises en évidence ) produisent l’énergie cellulaire, le génome mitochondrial* (ADNmt) est distinct de l’ADN contenu dans le noyau.
L’origine de la découverte de l’ADN mitochondrial date de 1963. Plus d’une vingtaine d’années ont été nécessaire afin que la séquence de l’ADN mt soit comprise. Des études s’intéressant à la fonction de cette molécule et couvrant un domaine scientifique large ont été publié : nous l’avons appelé l’ère de la génomique mitochondriale.
*Le génome mitochondrial est particulièrement utilisé en génétique des populations humaines, ou en agronomie, comme marqueur génétique pour la biologie évolutive (« marqueur direct et non ambigu de la généalogie maternelle et de la structuration géographique au sein d’une espèce, ainsi que des échanges génétiques entre populations, entre sous-espèces »). Il se distingue du reste du génome des cellules eucaryotes par son asexualité, qui est à l’origine du phénomène de « stérilité mâle cytoplasmique ».
Il faut également provoquer une réaction sur la fonction télomérase (télomère) qui contribue à la stabilité de la structure de l’ADN car sa mauvaise duplication, due à divers facteurs internes et externes, entraîne progressivement le vieillissement. Il faut maintenir le rôle protecteur afin que la cellule n’interprète pas l’information comme une corruption de l’ADN, et, ne provoque pas la sénescence ou l’arrêt de la croissance qui est en étroite relation avec la durée de la vie cellulaire.
Un télomère est une région hautement répétitive, donc a priori non codante, d’ADN à l’extrémité d’un chromosome. À chaque fois qu’un chromosome en bâtonnet est dupliqué, lors de la réplication, qui précède la mitose (division cellulaire), le complexe enzymatique de l’ADN polymérase peut s'avérer incapable de copier les derniers nucléotides : l’absence d’un bon fonctionnement des télomères signifierait la perte rapide d’informations génétiques nécessaires au fonctionnement cellulaire. Les télomères raccourcissent avec l’âge, l’inflammation et le stress. Des études ont montré que des télomères courts sont associés à un risque plus élevé de maladies liées à l’âge.
Tous ces phénomènes biologiques sont autant de manifestations qui apparaissent pendant le processus de renouvellement et du vieillissement progressif des cellules : modification de l’information de l’ADN, mauvaises liaisons des molécules, oxydation des protéines, la glycosylation qui a une grande importance dans la signalisation, et, une bonne reconnaissance des informations des fonctions immunitaires cellulaires, devient nécessaire. La glycosylation est une réaction enzymatique consistant à lier de façon covalente un glucide à une chaîne peptidique, une protéine, un lipide ou d’autres molécules. La glycosylation concerne essentiellement les protéines membranaires ainsi que les protéines sécrétées.
Notre corps souffre de la maladie du vieillissement prématuré ce qui provoque des troubles du métabolisme organique, neuroendocrinien, immunitaire, etc.
Les échanges des fluides biologiques se ralentissent, rides, taches de vieillesse qui se caractérisent par l’accumulation de lipofuscine, pigments qui résultent de la dégradation des organites cellulaires. Les échanges nutritionnels s’affaiblissent et entraînent des troubles métaboliques et une diminution de l’énergie et de la vitalité.
Ces problèmes sont la conséquence des multiples carences énergétiques, physiques, mais également de troubles émotionnels et mentaux de l’être humain.
Ce vieillissement prématuré cellulaire sur le plan physique trouve entre autre sa cause dans le fait d’une insuffisance d’alimentation ionique, quantitative et qualitative d’énergie au niveau des cellules mitochondriales, de son ADN mitochondriale et surtout de l’ATP (Adénosine Triphosphate).
Son rôle est primordial sur le plan physiologique : ce sont dans les mitochondries que l’énergie des molécules (organiques) va être récupérée.
Les mitochondries sont responsables de la production de l’énergie nécessaire aux fonctions vitales. Elles accomplissent un processus de transformation biochimique et bio-électro-chimique très important et assurent le canal des fonctions métaboliques pour la respiration cellulaire. C’est à ce niveau que l’énergie est libérée. Les mitochondries sont baptisées « les centrales nucléaires des cellules » et l’ATP (adénosine triphosphate), réserves d’énergie de la cellule.
Le rôle principal de l’ATP est de fournir l’énergie nécessaire aux réactions chimiques des cellules. C’est un nucléotide servant à stocker et à transporter l’énergie , une véritable « batterie ».
L’ATP contient l’adénosine nucléosidique qui est composé de trois phosphates (ADP, AMP, ATP). Tous les organismes du plus simple au plus compliqué contiennent de l’ATP qui fournit l’énergie primaire nécessaire d’une bonne qualité quantitative… et d’une quantité suffisante pour maintenir les fonctions biologiques.
Si ces fonctions de faibles énergies bio-électriques sont transmises par l’ATP à un niveau quantitatif et qualitatif suffisant, cela permet de maintenir et d’augmenter le potentiel de développement mitochondrial (d’ailleurs, c’est la raison pour laquelle notre alimentation ne doit pas être uniquement quantitative mais plutôt qualitative , c’est à dire le plus possible d’origine biologique et énergétiquement « vivante »). Voir les mesures en électrophysionique des cellules.
L’énergie bio-électrique est libérée par la molécule d’ATP afin d’effectuer au sein de la cellule une réaction d’élimination du phosphate oxygène (oxydation) pour laisser l’adénosine diphosphate et favoriser l’osmose intra et extra-cellulaire. L’ATP est alors convertie en ADP (adénosine diphosphate). Cette ADP est recyclée dans les mitochondries afin d’être réactivée par une nouvelle énergie bio-électrique pour redevenir à nouveau une ATP dans un cycle alternatif (« marche/arrêt ») mais continu afin d’assurer le renouvellement et le maintien de la vie cellulaire.
Chaque cellule contient approximativement un milliard de molécules ATP, et, pour chacune d’entre elle, ce cycle ATP/ADP s’exécute approximativement une fois toutes les 3 minutes (pour 50 grs d’ATP/ADP) ou 460 fois par jour.
La quantité totale d’ATP du corps humain est d’environ 50 grammes, et, elle est recyclée tous les jours. L’ATP est une petite molécule de stockage et de régulation de l’énergie qui nous fait penser à une batterie.
L’ATP a une structure qui contient de l’adénine et du ribose de sucre qui forment l’adénosine nucléosidique liés tous les deux par un ester phosphate et deux liaisons anhydride phosphate. Elle est composée d’hydrogène, d’azote, de carbone, d’oxygène et de phosphore, etc… le tout formé par un ensemble équivalent de plus de 500 atomes d’hydrogène.
La teneur en énergie n’est pas simplement dû à la liaison phosphate mais à la fonction d’interaction des atomes à l’intérieur de la molécule d’ATP.
Il est à noter qu’il y a un processus de couplage entre les deux réactions ATP/ADP qui se produisent presque au même instant (en pico-secondes) suivant les paliers d’énergie vibratoire : l’une est exothermique (émission de chaleur) dextrogyre et l’autre endothermique (apport d’énergie) lévogyre. Le résultat phosphate est ensuite libéré par hydrolyse que l’on appelle la phosphorylation qui va produire de nouveau de l’ATP, du phosphate et de l’énergie. Ce métabolisme énergétique s’autorégule normalement par lui-même.
L’ATP a d’autres fonctions : elle transporte des substances au travers des membranes cellulaires et fournit l’énergie nécessaire pour la réaction de contractions musculaires (mais aussi cardiaques), de circulation sanguine mais également aux chromosomes et aux flagelles). Elle fournit de l’énergie pour synthétiser les macromolécules de notre organisme.
Les mitochondries fonctionnent elles aussi en produisant une substance chimique et électrique (suivant le principe d’une batterie) où elles accumulent des ions d’hydrogène entre la membrane interne et externe de la cellule.
L’oxydation de la cellule provoque une accumulation d’électrons afin de pousser des ions d’hydrogène à travers la membrane interne mitochondriale et au fur et à mesure que la charge d’ions d’hydrogène s’accumule, un potentiel électrique est alors libéré dans la chambre interne mitochondriale.
Cette énergie provoque un attachement d’une enzyme à l’ADP, et, par catalysation est attachée un troisième phosphate pour reformer à nouveau le cycle de l’ATP. Nous avons synthétisé au maximum ce processus dans ces explications qui sont, en fait, beaucoup plus sophistiquées.
Pour vous donner un exemple de cette « véritable centrale électrique » : au sein de l’ATP synthase, nous retrouvons trois molécules actives rondes qui ont pour rôle de convertir l’ADP en ATP à chaque tour de roue qui, dans des conditions maximales, entraînent cette roue d’ATP à une vitesse de 200 tours par seconde, ce qui produit alors 600 ATP à la seconde !
L’ATP se trouve également dans le règne végétal puisque les plantes produisent également de l’ATP dans leurs mitochondries. Elles produisent aussi de l’ATP en utilisant la lumière solaire dans leurs chloroplastes. Cette ATP est fournie par les eucaryotes.
Il est donc évident que la vie telle que nous la comprenons avec les connaissances scientifiques d’aujourd’hui ne pourrait pas exister sans l’ATP qui est une molécule excessivement compliquée mais qui joue un rôle essentiel en fournissant l’énergie nécessaire pour des dizaines de milliers de réactions qui se produisent dans toutes les formes de vie.
Nous commençons tout juste depuis quelques dizaines d’années à en comprendre le fonctionnement. Chaque molécule d’ADP a plus de 500 unités de masse atomique (500 UMA) et nous devons nous poser plusieurs questions : comment la vie pourrait-elle exister sans l’ATP ? Comment la vie biologique sur Terre aurait-elle pu évoluer sans l’ATP? Malgré que d’autres molécules peuvent être utilisées dans le cadre de certaines fonctions cellulaires, aucune ne peut remplacer de manière fonctionnelle et satisfaisante le rôle de l’ATP. La vie a pourtant conçu des milliers d’autres molécules complexes (comme l’ATP et les mitochondries) pour permettre aux êtres humains de vivre et de s’adapter à l’évolution au fil des millénaires.
Toutes ces molécules, macromolécules, et véritables “nanomachines” de notre organisme travaillent ensembles comme une seule unité dirigée par un champ morphogénétique, lui même soumis à des règles universelles, permettant à notre forme de vie d’exister.
Pour comprendre l’un des fonctionnements de la régénération, de la fonction et de l’apport de l’énergie au sein de nos cellules, il nous faut parler des procaryotes* et des eucaryotes**.
C’est à l’intérieur du règne eucaryote que nous allons trouver les principes actifs pour apporter à notre fonction mitochondriale l’ATP complémentaire destinée à l’information pour la régénération de nos cellules bien que celles-ci composées d’ADN sont en relation avec “l’ADN fantôme” qui, lui, ne réagit qu’au niveau fréquentiel, mais nous ne pouvons pas aborder ce sujet particulier dans cet écrit car beaucoup trop long à traiter.
* Un procaryote (ou Prokaryota) est un être vivant dont la structure cellulaire ne comporte pas de noyau, et presque jamais d’organites membranés (la seule exception étant les thylakoïdes chez les cyanobactéries). Il s’agit (très vaguement) des microorganismes unicellulaires simples qu’on nomme informellement bactéries, et qui se divisent en archées et en eubactéries. Dans la classification du vivant en six règnes, les procaryotes forment un taxon paraphylétique, regroupant ainsi des êtres vivants partageant une structure cellulaire similaire et simple. Selon la classification admise, ce taxon s’oppose aux eucaryotes, caractérisés par la présence d’un noyau et de multiples autres organites, cette division du vivant en deux étant considérée comme la plus fondamentale. On considère généralement que les eucaryotes se sont créés par assimilation de petits procaryotes au sein de plus grands.
** Les eucaryotes (ou Eukaryota) sont un domaine regroupant tous les organismes, unicellulaires ou pluricellulaires, qui se caractérisent par la présence d’un noyau et généralement de mitochondries dans leurs cellules. Ils s’opposent aux domaines des Eubacteria et des Archaea. Selon la nomenclature de Whittaker et Margulis (1978), les Eucaryotes rassemblent quatre grands règnes du monde du vivant : les animaux, les champignons, les plantes et les protistes (ou bien les protozoaires)
Il existe une énorme différence entre les cellules procaryotes, bactéries, cyanobactéries, etc…et les cellules eucaryotes, plantes, et animaux. Toutes les deux, procaryotes et eucaryotes, ont eu une évolution de vie totalement différente. La complexité d’organisation est beaucoup plus développée chez les eucaryotes que chez les procaryotes. Dans les procaryotes, l’ATP se produit à la fois dans la paroie cellulaire et dans le cytosol par glycolyse. Dans les eucaryotes, l’ATP est produit par les chloroplastes pour le règne végétal ou dans les mitochondries pour certaines plantes et animaux.
La fabrication de l’ATP est si sophistiquée que les virus ne sont pas en mesure de fabriquer leur ATP pour la bonne raison que les virus n’ont pas la source d’énergie nécessaire pour la fabriquer : ils la puisent au sein de la cellule (voir HIV).
Pour revenir aux plantes, les chloroplastes* que l’on retrouve uniquement dans le règne végétal sont des organites à double membrane qui produisent de l’ATP. A l’intérieur de leurs membranes existe un ensemble de disques empilés qui contiennent des pigments chlorophylles qui absorbent l’énergie de la lumière primordiale pour leurs vies.
Les chloroplastes convertissent l’énergie solaire en énergie ATP, et, de plus, ils possèdent une fonction de transport d’électrons afin de produire l’ATP. Ces électrons sont prélevés dans l’eau et durant la photosynthèse, le dioxyde de carbone se réduit en glucides par l’énergie obtenue grâce à l’ATP.
*Les chloroplastes sont des organites présents dans le cytoplasme des cellules eucaryotes photosynthétiques (plantes, algues). Ils sont sensibles aux expositions des différentes ondes du spectre lumineux. Ils jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement d’une cellule végétale étant donné qu’ils permettent de capter la lumière à l’origine de la photosynthèse. Par l’intermédiaire de la chlorophylle qu’ils possèdent et de leurs ultrastructures, ces organites sont capables de transférer l’énergie véhiculée par les photons à des molécules chimiques (eau). Les chloroplastes jouent un rôle important dans le cycle du carbone, par la transformation du carbone atmosphérique en carbone organique. Les chloroplastes appartiennent à une famille d’organites appelés les plastes ; ceux-ci sont le fruit de l’endosymbiose d’une cyanobactérie, il y a environ 1,5 milliard d’années.
Les mitochondries participent en jouant un rôle dans la différenciation cellulaire et à la transmission (ADN mitochondriale) des informations intercellulaires.
Elles possèdent une capacité de régulation de cycles et de croissance cellulaire. La quantité des cellules mitochondriales dans la cellule est fonction de son métabolisme, plus l’activité est rigoureuse et importante, plus le nombre de cellules organites et mitochondriales est élevé, ce qui renforce les organes vitaux du corps et leurs fonctions.
Les mitochondries convertissent de l’oxygène pour libérer la production d’énergie nécessaire pour le corps. Pendant ce processus de transformation et du fonctionnement normal cellulaire « tonique » apparaît le stress oxydatif qui produit les radicaux libres. Les radicaux libres attaquent particulièrement les acides gras des membranes cellulaires et de l’ADN. Ceci cause des dégâts qui peuvent être irréversibles pour la membrane de l’ADN mitochondriale.
Il est à noter que les vitamines A, C et E neutralisent les radicaux libres (si elles sont biologiques et de très bonnes qualité) en leur fournissant les électrons nécessaires.
Lorsque la concentration de ces radicaux libres n’est pas trop élevée notre système antioxydant a la capacité complexe de drainer intégralement ces superoxydes. Pour répondre aux agressions (stress oxydatif) notre organisme produit certaines protéines, « protéines de chocs thermiques » qui protègent les mitochondries du stress d’agressions (Les protéines de choc thermique ou HSP (pour heat shock proteins), sont une classe de protéines chaperons initialement découvertes en raison de leur accumulation et de leur inductibilité sous l’effet de la chaleur. Leur rôle est la protection, le maintien et la régulation des fonctions des protéines auxquelles elles sont associées...)
Normalement les agents antioxydants protègent les cellules mais ils sont eux aussi soumis à de diverses lésions, et, avec l’âge, ils n’assument pas complètement la protection des fonctions mitochondriales.
Les agents antioxydants ne pénètrent pas les membranes mitochondriales, et, quand des fragments viennent à manquer, la fonction d’énergie directe de l’ATP ASE diminue, et, l’ensemble du métabolisme biochimique a une diminution de ses fonctions.
Cette compréhension des étapes physico-bio-chimiques des molécules, des cellules et des organes, a rendu possible plusieurs thérapies naturelles de régénération.
Quand les savants ont effectué le processus de transfert des gènes, ils ont révélé une substance biologiquement active : les ions, ce sont des particules hautement énergétiques. Un ion est une espèce chimique électriquement chargée – atome ou groupes d’atomes – qui a gagné (ou perdu) un ou plusieurs électrons. Un ion n’est donc pas électriquement neutre. La valeur de la charge électrique est indiquée en exposant à la fin de la formule chimique de l’ion, en multiple de la charge électrique élémentaire.
Certains extraits en provenance du règne eucaryotes (phytoplanctons, algues, etc…) sont hautement énergétiques : ce sont des extraits d’organismes naturels ayant une forte longévité dont la structuration ionique biologique et cellulaire, est linéaire, et, dispose d’une charge énergétique ionique capable d’absorber de fortes énergies, comme d’en libérer.
Les extraits d’eucaryotes sont d’ailleurs un support catalytique et un transporteur, transformateur d’énergie biologique, le plus efficace dans le monde aujourd’hui mais dont l’origine et son utilisation empirique remonte pour certaines civilisations bien au-delà de l’antiquité.
Parmi les principes actifs qui peuvent contribuer à régénérer l’organisme et agir sur la libération d’énergie ATP en maintenant les fonctions mitochondriales, nous avons entre autres, les algues eucaryotes : celles-ci font partie d’un groupe d’organismes très diversifiés que l’on retrouve dans une vaste gamme de notre écosystème qui sont présents sur notre planète, depuis l’Arctique à l’Antarctique jusqu’aux zones désertiques. Nous les retrouvons dans plus de la moitié de la base de la chaîne alimentaire.
La recherche récente de particules contenant les principes de vie bio-électrique a conduit à la découverte de nouveaux composés biologiques actifs pour la santé humaine et non toxiques.
Les eucaryotes unicellulaires marins de l’Arctique, par exemple, sont composés de micro-algues. Ils comprennent un groupe très diversifié d’organismes qui se sont adaptés à vivre dans les eaux de surface des régions côtières et océaniques, que nous appelons les phytoplanctons. D’autres vivent dans les eaux profondes de l'Arctique et de l'Antarctique. Il existe environ 5 000 espèces légitimes reconnues de phytoplanctons marins et un nombre inconnu d’eucaryotes sympagiques (organismes vivant sous la glace). Il a été évalué un total de plus de 2000 taxons (ensemble d’organismes contenus dans un niveau hiérarchique d’une classification) eucaryotes unicellulaires marins comprenant 1 874 phytoplanctons et plus de 1 000 taxons sympagiques des quatre régions pan-arctiques : l’Alaska, le Canada, la Scandinavie, y compris le Groenland et la Fédération de Russie.
Nous retrouvons le phytoplancton et les taxons sympagiques dans quatre des six super groupes d’eucaryotes (Chrysophytes, cryptophytes, diatomées, dictyochophytes, dinoflagelles et prymnesiophytes), Excavata (euglenids) et Opisthokonta (choanoflagelles).
Certaines particules bio-physiques extraits d'eucaryotes sont hautement énergétiques dont les algues Melosira Arctica : elle sont dotées intrinsèquement d’une fonction de transformation et de libération de charges bioélectriques et par réactions des ions, une accélération des photons (c’est le quantum d’énergie associé aux ondes électromagnétiques allant des ondes radio aux rayons gamma en passant par la lumière visible, qui présente certaines caractéristiques de particules élémentaires. En théorie quantique des champs, le photon est la particule médiatrice de l’interaction électromagnétique. Autrement dit, lorsque deux particules chargées électriquement interagissent, cette interaction se traduit d’un point de vue quantique comme un échange de photons), c’est pour cette raison que l’on appelle le résultat de cette réaction : une particule ion.
L’activation de certains extraits de ces organisme naturels d’origine eucaryote par leurs principes du mécanisme de transformation apporte par une succession d’étapes à l’organisme une énergie constante aux fonctions mitochondriales par l’ATP (Adénosine triphosphate).
Quand les principes actifs de ces particules et nanoparticules traversent la membrane cellulaire par le mécanisme que l’on a expliqué précédemment, les principes énergétiques bio-électriques se trouvent stimulés par la charge. Cela apporte une forte énergie intrinsèque de 60 microvolts ( 1 microvolt = 1 millionième de volt) qui atteint après fusion et absorption grâce au liposome* une charge d’énergie de 180 microvolts qui est aussitôt transférée dans les mitochondries.
*[Le liposome nom est dérivé de deux mots grecs : signifie « Lipos » graisse et «Soma» qui signifie le corps. Les liposomes ont été décrites par le biophysicien hématologue britannique Dr Alec Douglas Bangham Fellow of the Royal Society en 1961 (publié 1964), à l’Institut Babraham, à Cambridge. Un liposome peut être formé à une variété de tailles uni-lamellaires ou multi-lamellaires de construction, et, son nom se rapporte à ses blocs de construction de structure, des phospholipides, et, non pas à sa taille. En revanche, le terme « nanosomes » n’est rapporte à la taille que dans le début des années 1990 puisqu’il a été inventé pour désigner les liposomes spéciaux dans l’ordre du nanomètre faible; liposomes et nanosomes ne sont pas synonymes. Un liposome n’est pas nécessairement le contenu lipophobes, comme l’eau, même si elle le fait habituellement. Cette propriété fait que les liposomes sont utilisés comme vecteurs ou transporteurs en pharmacologie (vectorisation des principes actifs) et en génétique (transfert de gènes).
Cette libération de 180 mv produit une conversion d’énergie. Les fonctions mitochondriales se rechargent suffisamment pour allonger leur durées de vie, et, maintenir les fonctions cellulaires et organiques.
Par la suite, elles reviennent à une charge de 60 mv, ce mécanisme d’action des particules d’ions a une fonction répétitive. À l’intérieur de la cellule, ces particules ont une capacité énergétique d’une moyenne de 10 jours, puis elles sont évacuées par le système lymphatique. Ce phénomène ne présente aucune altération, changement ou conséquence sur la membrane cellulaire.
Dans le fonctionnement du système lymphatique, tout le corps, à l’exception du système nerveux central, des muscles, du cartilage et de la moelle osseuse, dispose de réseaux de vaisseaux lymphatiques parallèles aux veines qui accompagnent les artères.
La lymphe, liquide interstitiel circulant dans les vaisseaux lymphatiques, se charge d’une partie des déchets de l’activité cellulaire via les tissus intercellulaires. La lymphe est épurée par le passage dans la chaîne ganglionnaire : elle circule ensuite vers la circulation sanguine qu’elle rejoint par le conduit thoracique au niveau des veines sous-clavières.
C’est le système lymphatique qui est chargé du transport d’une grande partie des graisses provenant de l’alimentation vers la circulation. Ainsi, ces dernières ne passent pas par le foie.
Ces particules en provenance de certains eucaryotes sont la source d’approvisionnement et de régénération la plus rapide, durable et sans conséquence pour l’organisme humain. C’est d’ailleurs la raison pour lesquels nos océans sont capitaux pour la survie de toute la chaîne de la vie sur Terre, y compris la race humaine.
Leurs principes actifs peuvent se servir de l’absorption des précipitations des particules de phosphate de calcium dans la membrane cellulaire.
Les principes actifs peuvent entrer dans la cellule mitochondriale par la membrane puisqu’ils possèdent la charge bio-électrique intrinsèque nécessaire de 180 mv. au lieu d’une charge de 60 mv.
Lors du processus de pénétration de la membrane cellulaire, la particule d’ion peut utiliser la différence de potentiel bio-électrique de la membrane cellulaire, en d’autres termes elle peut utiliser des particules de calcium, mais aussi de l’or pour ses qualités vibratoires ou d’autres métaux qui sont principalement le plomb, l’étain, le cuivre, le fer, l’argent, l’antimoine et le mercure : particules nano-infinitésimales jouant un rôle de récepteurs vibratoires d’informations véhiculées par les transporteurs chélatants qui absorbent spontanément l’énergie informative produite pour l’ADN / ADN messager et l’ADN mitochondriale afin de générer ce fort potentiel d’énergie transmutatoire qui est déployé pour la régénération par l’information initiale, et, reprogrammer l’activation générale organique.
Pour rappel, la chélation est un processus physico-chimique au cours duquel est formé un complexe, le chélate, entre un ligand*, dit chélateur (ou chélatant), et un cation (ou atome) métallique, alors complexé, dit chélaté. Il est à signaler que les métaux chélatants sont en traces infinitésimales et jouent un rôle de clés vibratoires dans la lecture du registre des différents chapitres de l’ADN ; ceux-ci réagissant en ouverture ou en fermeture à des impulsions fréquentielles reçues en pico-secondes de 8 en 8 jusqu’à 64x8 pico-secondes qui marquent le changement d‘un palier induisant une modification géométrique du vecteur directionnel dans l’espace (c’est toute la différence entre une molécule d’origine naturelle et une molécule synthétique : cela soulève le problème du quantitatif et du qualitatif).
*En biologie, un ligand (du latin ligandum, liant) est une molécule qui se lie de manière réversible sur une macromolécule ciblée, protéine ou acide nucléique, jouant en général un rôle fonctionnel : stabilisation structurale (direction dans l’espace), catalyse, modulation d’une activité enzymatique, transmission d’un signal.
Ces principes actifs extraits du règne eucaryote permettent de transformer et d’effectuer une transformation de l’état faible des cellules à un état énergétique optimal.
Son action est physique, et, par réaction il est positif sur l’émotion et le mental.
Il permet de faire passer le corps d’un état de vieillissement et de maladie à un état de pleine santé et de vitalité.
Régénération de la peau, des organes, action sur les effets secondaires suite à des maladies diverses, et, action thérapeutique sur diverses pathologies.
Amélioration des fonctions immunitaires et des fonctions hormonales, régénérescence du cerveau, amélioration du sommeil, restructuration musculaire, etc.
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