Bio Régulateur Biotique Intestinal - Eucaryotes extraits de racines - Lapis Pro

Publié il y a 4 ans
Par Fulmina Institut
Intestinal Biotic Bio-Regulator Complex Eukaryotes extracted from roots - Lapis Pro
Ce texte explicatif a été écrit par « Fulmina Institut» . Les explications des termes scientifiques et médicaux sont en partie extraits de la Fondation Wikipédia que nous remercions .


Notre intestin a des fonctions d'une complexité organique incroyable. Il contient près de 100 mille milliards de micro-organismes : 10 fois plus que l'ensemble des cellules de notre corps ! Nos intestins mesurent de 7 à 8 mètres de long. La surface de la muqueuse intestinale est d'environ 300 à 400 mètres carrés ce qui représente la surface d'absorption et d'échange la plus grande et la plus complexe du corps humain qui est la base de nos défenses immunitaires et de notre potentiel énergétique, physique et cérébral. 

Le monde scientifique a découvert depuis quelques années que notre intestin doit être sain et que notre flore intestinale est indispensable au bon fonctionnement de notre appareil digestif. L'assimilation des différents aliments contenant des acides aminés, des vitamines, des sels minéraux, etc... sont tous nécessaires au maintien de notre survie cellulaire et organique. En vieillissant, notre intestin accumule des toxines, des métaux lourds, il se fabrique des adhérences ou polypes, et, les parois des muqueuses rétrécissent. Elles deviennent de plus en plus sensibles aux différentes particules toxiques et elles assimilent de moins en moins. La balance du PH est instable et l'échange enzymatique diminue, les Bio Régulateurs Biotiques Intestinaux d'Eucaryotes extraits de racines régulent ces carences. 

Grâce à l'avancée méta génomique, nous avons découvert le rôle de multiples organismes, les procaryotes, les bactéries, les virus et les eucaryotes qui sont à l'origine de la chaîne évolutive de notre vie que nous retrouvons aujourd’hui dans notre intestin. Ce dernier a donc besoin d'être respecté, nourri, et régénéré car il est la source d'un bon métabolisme, d'une bonne santé, d'une bonne immunité, d'un bon système nerveux et donc par effet d'une régulation du stress, d'une bonne digestion des corps gras, des sucres, etc... Son mauvais fonctionnement provoque allergies (maladies de peau), maladies inflammatoires, déséquilibres de toutes sortes, dégénérescence organique et cellulaire. 

Les complexes bio régulateurs biotiques intestinaux très spécifiques et d'origine végétales constitués d'eucaryotes sont issus des nouvelles recherches fondamentales et appliquées de la méta génomique . Ces bio régulateurs biotiques permettent de relancer naturellement sans ajouter, ni prébiotiques, ni probiotiques.

Rappel : 

  1. Biotiques (du latin bioticus) 1- Se dit de tout facteur ayant un rapport avec le développement de la vie. Le biotique agit dans un milieu où la vie peut se développer. Le biotique est un champ électrodynamique qui est lié aux biomembranes des cellules procaryotes et aux biomembranes des mitochondries ainsi que des cellules eucaryotes. Le champ d'action électrodynamique est provoqué par l'effet des fluctuations (perturbations) du champ électromagnétique sur les photons, les électrons, les protons et les ions par le biais de molécules spécialisées l'intérieur de notre fonction intestinale entre autres. 

  2. Les prébiotiques sont généralement des oligosaccharides ou des polysaccharides à courte chaîne constitués approximativement de deux à vingt unités de sucre. Ils échappent à la digestion dans l’intestin grêle et sont des substrats potentiels pour l'hydrolyse et la fermentation par les bactéries intestinales. Les prébiotiques doivent agir comme substrat sélectif d’une ou d’un nombre restreint de souches bactériennes bénéfiques qui résident dans le côlon et en stimuler la croissance. Les bifidobactéries et les lactobacilles sont les microorganismes du microbiote intestinal (flore intestinale) les plus fréquemment ciblés. 

  3. Les probiotiques agissent par différents mécanismes. Ils modulent l’activité du système immunitaire intestinal, en renforçant l’immunité lorsqu’elle est faible, par exemple chez l'enfant, ou la personne âgée. A contrario ils peuvent diminuer la sur-activation du système immunitaire, en cas d’allergies ou de maladies inflammatoires de l’intestin. La fonction de barrière de la muqueuse intestinale est en effet améliorée, par augmentation de la production de mucus ou des anticorps de type IgA 3. Ils ont donc des effets anti pathogènes directs en empêchant l'adhésion des pathogènes aux parois intestinales.

Les bactéries, levures, enzymes ou extraits de certaines plantes aident à la digestion et stimulent le système immunitaire et régénératif de l'organisme. Pour que ces principes actifs aient un effet bénéfique sur l'intestin, il faut que plusieurs conditions soient réunies :

  • qu'ils soient actifs, naturels et de bonne qualité ; 

  • que les bonnes souches soient sélectionnées pour l'effet recherché : il existe des milliers principes actifs dont chacun a un effet différent; 

  • que ces souches aient montré leur résistance face à l'acidité gastrique et biliaire. 

En fait, « pour être efficaces sur la flore intestinale », il faut que ces principes actifs bio régulateurs biotiques ( biogènes) qui engendrent ou permettent le développement de la vie et parviennent actifs dans le côlon et « en quantité suffisante ». Ils ne doivent donc pas être dégradés suite à leur passage dans l'estomac et « doivent être capables de résister à l'acidité gastrique et aux sucs pancréatiques ». 

Explication de l'action d'un biorégulateur biotique intestinal :

Les sciences de la vie et la compréhension des fonctions biophysiques : la biophysique est une discipline à l'interface de la physique et la biologie où les outils d'observation des phénomènes physiques sont appliqués aux molécules d'origine biologique. Plusieurs domaines de la biologie dans son sens le plus large ont bénéficié des avancées réalisées par la biophysique : la médecine, la biologie cellulaire ou encore la biologie moléculaire sont quelques exemples de l'application de la compréhension biophysique . 

La compréhension des fonctions cellulaires de notre organisme apportent une grande contribution à l’élaboration de produits de soins naturels contre le vieillissement et l’apoptose de nos cellules. 

L'apoptose (ou la mort cellulaire programmée) est le processus par lequel des cellules déclenchent leur autodestruction en réponse à un signal. C'est l'une des voies possibles de la mort cellulaire qui est physiologique et génétiquement programmée, nécessaire à la survie des organismes multicellulaires. Elle est en équilibre constant avec la prolifération cellulaire. 

La réponse aux questions des fonctions de la vie physique biologique doit être recherchée dans l’origine de l’organisation de nos fonctions cellulaires et de l’énergie qui les animent (lumière). 

Le corps humain est un trésor de la nature et son potentiel est énorme. Il est le temple de l’homme et de notre conscience, et, il nous faut une clé d’or pour en percer les mystères : 

  • Le vieillissement : phénomène biologique. 

  • Les cellules sont sans cesse à se reproduire, vieillir puis mourir : c’est donc l’apoptose . 

  • Nous passons tous progressivement de la croissance à l'âge adulte puis à la vieillesse. 

Nous avons généralement une bonne santé jusqu’à 50 ans, nos cellules qui forment nos organes sont encore très actives. Avec l’augmentation de l'âge leurs potentiels énergétiques s’affaiblissent et commencent à perdre de leur vitalité. Les toxines (une toxine est une substance toxique pour un ou plusieurs organismes vivants ), radicaux libres ( sont une espèce chimique possédant un ou plusieurs électrons. Si leur liaison chimique est rompue de façon hétérolytique , on a des ions plutôt que des radicaux, s’accumulent dans les fonctions cellulaires, le sang et les systèmes de reconnaissances immunitaires en réactions qualitatives et quantitatives diminuent. 

Ce vieillissement affecte les fonctions générales de l’assimilation et de la distribution de l’énergie, diminuant la rapidité, et, la qualité de la reproduction cellulaire de nos fonctions organiques. L’énergie de liaison biologique et des membranes internes des fonctions de transmissions s’affaiblissent. 

La qualité des échanges d’énergie à l’intérieur des cellules pour assurer leurs réplications, et, les informations correctes de l’ADN / ADN mitochondriale à l’ARN / ARN messager vers les diverses protéines pour synthétiser les acides aminés (le corps humain est composé de 20% de protéines. Les protéines font partie de la famille des protides, et, ont un rôle décisif dans pratiquement tous les processus biologiques. Les protéines sont d’infimes molécules constituées d’acides aminés). 

Les acides aminés sont donc les éléments constitutifs des protéines qui deviennent alors moins performantes. Les différents facteurs qualitatifs et quantitatif décisifs déterminent l’information, la vitesse et le degré du vieillissement global de l’organisme. 

Le mécanisme de nettoyage des toxines cellulaires ainsi qu'une bonne énergie permettant un bon fonctionnement mitochondrial amenant une bonne reproduction de la chaîne cellulaire pour nos différents organes. 

Les mitochondries sont des organites présents dans la grande majorité des cellules (eucaryotes) qui seraient issues de l'endosymbiose d'une alpha-protéobactérie il y a environ deux milliards d'années (Théorie endosymbiotique). Au cours de l'évolution, les mitochondries ont conservé leur propre génome, qui bien que très réduit par rapport à celui d'une bactérie, est essentiel au bon fonctionnement de ces organites. Confiné à l'intérieur des mitochondries, les organites qui produisent l'énergie cellulaire, le génome mitochondrial (ADNmt) est distinct de l'ADN contenu dans le noyau. 

Il faut donc également empêcher le raccourcissement du télomère qui contribue à la stabilité de la structure de l’ADN et qui entraîne le vieillissement. Il faut maintenir son rôle protecteur afin que la cellule n’interprète pas l’information comme une corruption de l’ADN, et, ne provoque pas la sénescence ou l’arrêt de la croissance qui est en étroite relation avec la durée de la vie cellulaire. 

Un télomère est une région hautement répétitive, donc a priori non codante, d'ADN à l'extrémité d'un chromosome. À chaque fois qu'un chromosome en bâtonnet est dupliqué, lors de la réplication, qui précède la mitose (division cellulaire), le complexe enzymatique de l'ADN polymérase s'avère incapable de copier les derniers nucléotides : l'absence d'un bon fonctionnement des télomères signifierait la perte rapide d'informations génétiques nécessaires au fonctionnement cellulaire. Les télomères raccourcissent avec l’âge, l’inflammation et le stress. Des études ont montré que des télomères courts sont associés à un risque plus élevé de maladies liées à l’âge. 

Tous ces phénomènes biologiques sont autant de manifestations qui apparaissent pendant le processus de renouvellement et du vieillissement progressif des cellules : modification de l’information de l’ADN, liaisons des molécules, oxydation des protéines, la glycosylation qui a une grande importance dans la signalisation, et, une bonne reconnaissance des informations des fonctions immunitaires cellulaires est nécessaire. La glycosylation est une réaction enzymatique consistant à lier de façon covalente un glucide à une chaîne peptidique, une protéine, un lipide ou d'autre molécule. La glycosylation concerne essentiellement les protéines membranaires ainsi que les protéines sécrétées. 

Les recherches effectuées par des scientifique Russes et Américains tels que Alekseï Glomikov, le plus éminent pionnier dans ce domaine, le Pr Vladimir Khavinson, et, Elizabeth Black Burn, Carol Greider et Jack Szostak pour avoir élucidé les mécanismes physiques du vieillissement cellulaire (en 2009 prix Nobel), indiquent que ce processus se rapproche de la maladie. 

Notre corps souffre de la maladie du vieillissement prématuré ce qui provoque des troubles du métabolisme organique, neuroendocrinien, immunitaire, etc. 

Les échanges des fluides biologiques se ralentissent, rides, taches de vieillesse qui se caractérisent par l’accumulation de lipofuscine, pigment qui résulte de la dégradation des organites cellulaires. Les échanges nutritionnels s’affaiblissent et entraînent des troubles métaboliques et une diminution de l’énergie et de la vitalité. 

Ces problèmes sont la conséquence des multiples carences énergétique, physiques, de troubles émotionnels et mentaux de l'être humain. 

Ce vieillissement prématuré sur le plan physique trouve sa cause dans le fait d’une insuffisance d’alimentation quantitative et qualitative d’énergie au niveau des cellules mitochondriales et de son ADN mitochondriale. 

L’énergie : son rôle est primordiale sur le plan physiologique ; c’est dans les mitochondries que l’énergie des molécules (organiques) va être récupérée. 

Les mitochondries sont responsables de la production de l’énergie nécessaire aux fonctions vitales. Elles accomplissent un processus de transformation biochimique et bio-électrochimique très important et assurent le canal des fonctions métaboliques pour la respiration cellulaire. C’est à ce niveau que l’énergie est libérée. Les mitochondries sont baptisées « les centrales nucléaires des cellules » et ATP (adénosine triphosphate), réserves d’énergie de la cellule. 

Le rôle principal de l'adénosine triphosphate est de fournir l’énergie nécessaire aux réactions chimiques des cellules. C’est un nucléotide servant à stocker et à transporter l’énergie. 

Les mitochondries participent en jouant un rôle dans la différenciation cellulaire et à la transmis- sion(ADN mitochondriale) des informations intercellulaires. 

Elles possèdent une capacité de régulation de cycles et de croissance cellulaire. La quantité des cellules mitochondriales dans la cellule est fonction de son métabolisme, plus l’activité est rigoureuse et importante plus le nombre de cellules organites et mitochondriales est élevé, ce qui renforce les organes vitaux du corps et leurs fonctions. 

Les mitochondries convertissent de l’oxygène pour libérer la production d’énergie nécessaire pour le corps. Pendant ce processus de transformation et du fonctionnement normal cellulaire « tonique » apparaît le stress oxydatif qui produit les radicaux libres. Les radicaux libres attaquent particulièrement les acides gras des membranes cellulaires et l’ADN. Ceci cause des dégâts qui peuvent être irréversibles pour la membrane de l’ADN mitochondriale. 

Il est à noter que les vitamines A, C et E neutralisent les radicaux libres (si elles sont naturelles et de très bonnes qualité) en leur fournissant les électrons nécessaires. Lorsque la concentration de ces radicaux libres n’est pas trop élevée notre système antioxydant a la capacité complexe de drainer intégralement ces superoxydes. Pour répondre aux agressions (stress oxydatif) notre organisme produit certaines protéines, « protéines de chocs thermiques » qui protègent les mitochondries du stress d’agressions (Les protéines de choc thermique ou HSP (pour heat shock proteins), sont une classe de protéines chaperons initialement découvertes en raison de leur accumulation et de leur inductibilité sous l'effet de la chaleur. Leur rôle est la protection, le maintien et la régulation des fonctions des protéines auxquelles elles sont associées...) 

Normalement les agents antioxydants protègent les cellules mais ils sont eux aussi soumis à de diverses lésions, et, avec l'âge ils n’assument pas complètement la protection des fonctions mitochondriales. 

Les agents antioxydants ne pénètrent pas les membranes mitochondriales, et, quand des fragments viennent à manquer, la fonction d’énergie directe de l’ATP ASE diminue et l’ensemble du métabolisme biochimique a une diminution de ses fonctions. 

Cette compréhension des étapes physico-bio-chimiques des molécules, des cellules, des organes, a rendu possible une thérapie naturelle de régénération : le complexe biorégulateur biotique intestinal.

Quand les savants ont effectués le processus de transfert des gènes, ils ont révélés une substance biologiquement active : les ions, ce sont des particules hautement énergétiques. Un ion est une espèce chimique électriquement chargée - atome ou groupes d'atomes - qui a gagné (ou perdu) un ou plusieurs électrons. Un ion n'est donc pas électriquement neutre. La valeur de la charge électrique est indiquée en exposant à la fin de la formule chimique de l'ion, en multiple de la charge électrique élémentaire 

Le complexe biorégulateur biotique intestinal hautement énergétique : un extrait d’organisme naturel ayant une forte longévité dont la structuration ionique biologique et cellulaire, est linéaire, et, dispose d’une charge énergétique ionique capable d’absorber de fortes énergie, comme de la libérer. 

Il s’agit d’un support catalytique et d’un transporteur, transformateur d’énergie biologique, le plus performant dans le monde d’aujourd’hui mais dont l’origine et l’utilisation était empirique dans l’antiquité.

Ces particules bio-physiques sont hautement énergétique, elles sont dotées intrinsèquement d’une fonction de transformation et de libération de charges bioélectriques et d’accélération des photons [c'est le quantum d'énergie associé aux ondes électromagnétiques (allant des ondes radio aux rayons gamma en passant par la lumière visible), qui présente certaines caractéristiques de particules élémentaires. En théorie quantique des champs, le photon est la particule médiatrice de l’interaction électromagnétique. Autrement dit, lorsque deux particules chargées électriquement interagissent, cette interaction se traduit d’un point de vue quantique comme un échange de photons], c’est pour cette raison que l’on ap- pelle le résultat de cette réaction : une particule ion. 

L’activation de cette “substance” par le principe du mécanisme de transformation par le complexe biorégulateur biotique intestinal apporte par une succession d’étapes à l’organisme une énergie constante aux fonctions générales biogéniques et mitochondriales. 

Quand les principes actifs d'un complexe biorégulateur biotique intestinal traversent la membrane cellulaire par appel de celle-ci, les principes énergétiques bio-électriques se trouvent stimulés par la charge. Cela apporte une forte énergie intrinsèque de 60 microvolts ( 1 microvolt = 1 millionième de volt) qui atteint après fusion et absorption grâce au liposome une charge d’énergie de 180 microvolts qui est aussitôt transférée dans les mitochondries. 


[Le liposome nom est dérivé de deux mots grecs : signifie "Lipos" graisse et «Soma» qui signifie le corps. Les liposomes ont été décrites par le biophysicien hématologue britannique Dr Alec Douglas Bangham Fellow of the Royal Society en 1961 (publié 1964), à l'Institut Babraham, à Cambridge. Un liposome peut être formé à une variété de tailles uni-lamellaires ou multi-lamellaires de construction, et, son nom se rapporte à ses blocs de construction de structure, des phospholipides, et, non pas à sa taille. En revanche, le terme « nanosomes » n'est rapporte à la taille que dans le début des années 1990 puisqu'il a été inventé pour désigner les liposomes spéciaux dans l'ordre du nanomètre faible; liposomes et nanosomes ne sont pas synonymes. Un liposome n'est pas nécessairement le contenu lipophobes, comme l'eau, même si elle le fait habituellement. Cette propriété fait que les liposomes sont utilisés comme vecteurs ou transporteurs en pharmacologie (vectorisation des principes actifs) et en génétique (transfert de gènes)]. 

Cette libération de 180 mv produit une conversion d’énergie. Les fonctions mitochondriales se rechargent suffisamment pour allonger leur durées de vie, et, maintenir les fonctions cellulaires et organiques. 

Par la suite, elles reviennent à une charge de 60 mv, les particules d'ions ont une fonction répétitive. À l’intérieur de la cellule ces particules ont une capacité énergétique d'une moyenne de 10 jours, puis elles sont évacuées par le système lymphatique. Ce phénomène ne présente aucune altération, changement ou conséquence sur la membrane cellulaire. 

Dans le fonctionnement du système lymphatique, tout le corps, à l'exception du système nerveux central, des muscles, du cartilage et de la moelle osseuse, dispose de réseaux de vaisseaux lymphatiques parallèles aux veines et accompagne les artères. La lymphe, liquide interstitiel circulant dans les vaisseaux lymphatiques, se charge d'une partie des déchets de l'activité cellulaire via les tissus intercellulaires. La lymphe est épurée par le passage dans les ganglions. Elle circule ensuite vers la circulation sanguine qu'elle rejoint par le conduit thoracique au niveau des veines sous-clavières. 

C'est le système lymphatique qui est chargé du transport d'une grande partie des graisses provenant de l'alimentation vers la circulation. Ainsi, ces dernières ne passent pas par le foie. 

L'action directe du complexe biorégulateur biotique intestinal en fait la source d'approvisionnement et de régénération la plus rapide, durable et sans conséquence. 

Le principe actif du complexe peut se servir de l’absorption des précipitations des particules de phosphate de calcium dans la membrane cellulaire. 

Le principe actif peut entrer dans la cellule mitochondriale par la membrane puisqu’il possède la charge bioélectrique intrinsèque nécessaire de 180 mv. au lieu d’une charge de 60 mv. 

Lors du processus de pénétration de la membrane cellulaire, la particule d'ion peut utiliser la différence de potentiel bioélectrique de la membrane cellulaire, en d’autres termes elle peut utiliser des particules du calcium, mais surtout de l’or pour ses qualités vibratoires ou d’autres métaux qui sont principalement le plomb, l'étain, le cuivre, le fer, l'argent, l'antimoine et le mercure : particules infinitésimales jouant un rôle de récepteurs vibratoires d’informations véhiculés par les transporteurs chélatants qui absorbent spontanément l’énergie informative produite pour l’ADN / ADN messager et l' ADN mitochondriale afin de générer ce fort potentiel d’énergie transmutatoire qui est déployé pour la régénération par l’information initiale, et, reprogrammer l’activation générale organique. 

Pour rappel, la chélation est un processus physico-chimique au cours duquel est formé un complexe, le chélate, entre un ligand*, dit chélateur (ou chélatant), et un cation (ou atome) métallique, alors complexé, dit chélaté. Il est à signaler que les métaux chélatants sont en traces infinitésimales et jouent un rôle de clés vibratoires dans la lecture du registre des différents chapitres de l'ADN ; ceux- ci réagissant en ouverture ou en fermeture à des impulsions fréquentielles reçues en pico-secondes de 8 en 8 jusqu'à 64x8 pico-secondes qui marquent le changement d'un palier induisant une modification géométrique du vecteur directionnel dans l'espace. 

*En biologie, un ligand (du latin ligandum, liant) est une molécule qui se lie de manière réversible sur une macromolécule ciblée, protéine ou acide nucléique, jouant en général un rôle fonctionnel : stabilisation structurale, catalyse, modulation d'une activité enzymatique, transmission d'un signal. 

Un complexe biorégulateur biotique intestinal permet de transformer et d’effectuer une transformation de l’état faible de notre intestin à un état énergétique optimal. 

  • Son action est physique, et, par réaction il est positif sur l’émotion et le mental. 

  • Il permet de faire passer le corps d’un état de vieillissement et de maladie à un état de pleine santé et de vitalité.

  • Régénération de la peau, des organes, action sur les effets secondaires suite à des maladies diverses, et, action thérapeutique sur diverses pathologies. 

  • Amélioration des fonctions immunitaires et des fonctions hormonale, régénérescence du cerveau, amélioration du sommeil, restructuration musculaire, etc. 



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