Agriculture : Une méthode naturelle de culture

Publié il y a 4 ans
Par Fulmina Institut
Agriculture : A natural method for  cultivating

Résumé

L’objectif de cette présentation est d’apporter une technologie et un savoir faire dans le domaine de l’agriculture; cela nous permettant de résoudre une série de problèmes de plus en plus croissants et présents dans la production mondiale – tant quantitative que qualitative – tout en gardant le savoir faire agricole ancestral mais en optimisant la production, la qualité nutritive, et le patrimoine préservé par les générations passées. Cette technologie a entre autre la particularité d’être non polluante, de régénérer le biotope et de préserver le potentiel génétique des végétaux et de leurs semences. Les coûts de mise en place de cette technologie demeurent très abordables, et peuvent s’appliquer sans bouleversements majeurs dans tout pays, même ceux aux climats difficiles, arides et même désertiques.

Un Brevet Maître est un brevet à caractère international et qui touche toutes les couches de la société, tels les brevets liés à la lumière, l’électricité, le téléphone, etc.  Des millions de brevets ont été acceptés selon ces principes et ils ont changé notre qualité de vie de tous les jours. Aujourd’hui, il nous serait impensable de vivre sans électricité. 

La technologie que nous vous présentons, a été reconnue internationalement par l’obtention de deux Brevets Maîtres (Master Patent ou brevets génériques). Tous les grands pays ont reconnu ces deux brevets. Les institutions telles le PCT à Genève, l’EP (European Patent) pour toute l’Europe ainsi que l’Office des brevets aux USA, nous ont confirmé le caractère unique de ces inventions et les ont rendues officielles en tant que brevets génériques. Ces derniers nous donnent le droit de breveter des centaines d’applications liées à cette base de Master. Ces applications sont appelées à jouer un grand rôle dans toutes les couches de la société. Nous allons parler spécifiquement de deux domaines d’application où nous pouvons envisager de véritables révolutions sociales et économiques : l’agriculture d’une part, et d’autre part, la thérapeutique avec une nouvelle pharmacologie – méthodes de traitements – développement de technologies qui préviendront la disparition des plantes médicinales essentielles à la guérison de l’humanité.

Nature du premier brevet et la loi de William Henry

Pour bien comprendre le principe fondamental qui a été proclamé par l’obtention de notre brevet, il faut parler de la Loi de William Henry (1774 – 1836). Cette loi a été complètement bouleversée par notre découverte.

Le physicien et chimiste anglais de Manchester a énoncé la loi suivante au début du 19ième siècle : à température constante et à saturation, la concentration d’un gaz dissous dans un liquide (C) est proportionnelle à la pression partielle (P) exercée par le gaz sur le liquide.

C = HP

L’exemple de la dissolution d’oxygène dans une eau ultra pure, i.e., en absence totale de minéraux, qu’à température de 0 degré Celsius et à une pression de une atmosphère. La loi nous indique qu’on ne peut retrouver qu’un maximum de 14,6 parties par million d’oxygène dans l’eau. L’eau des villes que nous buvons, en possède à peine 4 ou 5 ppm.

Imaginons maintenant que, contrairement à la loi reconnue, nous ayons démontré qu’il est possible d’intégrer dans un liquide exactement dix (10) fois plus de particules comme l’oxygène, gaz fondamental à la croissance de toutes les plantes, dans une molécule d’eau. Ce genre de facteur attire l’attention. Et pour cause. Lorsque nous avons produit nos premières solutions d’eau oxygénées à plus de 120 ppm, nous avons observé un phénomène exceptionnel, une réduction phénoménale de la surface de tension des électrons. En d’autres termes, face à l’absence de résistance, cette eau avait des propriétés très pénétrantes. Il y avait donc une mobilité ionique multipliée par le même facteur de 10.

Cette observation fondamentale a donc des conséquences pouvant se répercuter dans l’ensemble des procédés industriels. Pensons maintenant aux applications en agriculture.

AGRICULTURE

Il fut un temps où la lutte pour la survie signifiait s’adapter à la Nature.  Un temps, où se conformer aux Lois naturelles, était l’assurance d’un air et d’une eau purs ainsi qu’une alimentation saine.

En faisant certains changements, certains ajouts malheureux à son environnement, l’être humain, à travers les âges, a perdu le point d’appui solide qui favorisait le maintien de sa force, le renouvellement de son énergie, bref, l’épanouissement de sa santé.

Aujourd’hui, la lutte pour la survie continue, mais les dangers en sont plus insidieux.  Les poisons dans l’air, dans l’eau et dans l’alimentation dérobent furtivement aux êtres vivants leur soutien naturel et minent de plus en plus visiblement l’essentiel équilibre de leur être.

C’est pour participer à redresser cet état de santé devenu précaire de l’être humain que nous avons développé une technologie de pointe pour la croissance des plantes: rehausser la qualité alimentaire du plus grand nombre et, par le fait même, offrir un moyen de taille d’éviter la maladie en opposant une plus grande résistance à un environnement malheureusement de plus en plus hostile. Voici quelques exemples de cette croissance :

Racines d’une plante traitée

Cette illustration de notre première technologie de brumisation des plantes, illustre une partie de la racine d’un plan de tomate qui a été traitée par une eau contenant entre 60 et 120 particules d’oxygène par million dans une molécule d’eau.

La photo suivante illustre le système de brumisation

La conception s’est appuyée sur des études sérieuses et coûteuses; celles-ci démontrent clairement que la bio culture est, pour nous, la voie à suivre.  Ainsi, sommes-nous assurés d’obtenir, entre autres choses, un produit non mutagène, non cancérigène et surtout biogénique et organoleptique.

À la nouvelle technique résultant de nos recherches, nous avons donné le nom de brumiculture.  Son procédé, sans utilisation de terre,  permet de répandre l’eau uniformément et régulièrement, en une fine bruine, sur toute la surface où reposent les futures pousses.  Tout se fait en douceur, en utilisant une eau traitée par un procédé maintes fois éprouvé qui la débarrasse de toutes les toxines, qu’elles soient biologiques, chimiques, industrielles ou naturelles.

L’eau se trouve ainsi exempte d’impuretés tout en conservant, cependant, sa vibration première ; en fait, elle possède davantage d’énergie, de vitalité après le traitement.  Elle reste vivante ! Ce procédé sans pareil donne une germination résistante et élimine les levures, les moisissures, les bactéries nuisibles, ces trois indésirables devenues des problèmes cauchemardesques pour tous les producteurs de germination de cette planète.

En vue de contrôler efficacement notre travail, l’environnement physique et moléculaire des pousses est géré par un système informatique de haut rendement. Ce dernier nous renseigne avec précision sur tous les menus détails de l’activité qui se déroule à l’intérieur du système de la plante. Rien n’est négligé pour obtenir une germination de qualité incomparable qui est le plus conforme à ce qu’elle est, idéalement, dans la Nature. Tous nos efforts tendent vers ce but; il n’est pas étonnant, par conséquent, que nous accordions une attention toute particulière à l’eau, à l’air et à la lumière.

Or, grâce au système informatisé de nos serres,  chacune des activités est surveillée, ajustée, modifiée selon les caractéristiques et les besoins des semences à germer.  C’est ainsi qu’une température adéquate est soigneusement maintenue dans la pièce, que les ions négatifs de l’air, l’oxygène libéré par les pousses et le CO2 dirigé vers elles, l’humidité absolue et relative, le pH (le potentiel d’hydrogène), l’ORP  (le potentiel d’oxydo-réduction), le temps et les intervalles de brumisation, tous ces éléments et bien d’autres sont minutieusement contrôlés.

Grâce à la bio culture, nous pouvons également contrôler les fréquences lumineuses ce qui nous permet d’éviter les bactéries, et de stériliser les particules de l’air renouvelé d’abord, puis de l’air ambiant à l’aide d’un recirculateur-stérilisateur. 

Ajoutons que la flore bactérienne des bassins où s’épanouissent les pousses est maîtrisée par un produit naturel d’extrait d’agrumes et qu’en plus, une pression positive constante de la salle de culture empêche la contamination pouvant provenir de l’extérieur.

Finalement, grâce à une série de sondes perfectionnées, nous sommes à même de reproduire le plus fidèlement possible la lumière naturelle et ses gradations de même que la clarté lunaire.  Nous intégrons à cet ensemble équilibré, l’élément sonore : pluie, orage, bourdonnements d’insectes, et cris d’animaux...

Cette panoplie de moyens à la disposition de technologie de croissance ne sert qu’à une chose : réveiller ce qui est convenu d’appeler de nos jours, la mémoire des pousses.  Lorsqu’elle est active et convenablement stimulée, cette  mémoire conduit chaque pousse à l’épanouissement complet de ses caractéristiques naturelles.

Le dernier élément jouant un rôle important dans le bon développement des pousses est le papier réflecteur. Celui que nous utilisons offre une efficacité presque totale et permet une dispersion lumineuse adéquate et uniforme.

La colle utilisée pour fixer au mur le papier réflecteur ne s’altère pas.  Elle ne dégage aucune émanation par perte de masse sous forme d’évaporation et enraye la prolifération des bactéries.

C’est dans cet environnement des plus favorable que l’explosion de la  mémoire vitale de nos semences provoque l’effervescence de leur multiplication cellulaire.  Notre germination est un SUPER ALIMENT possédant une force et une énergie en expansion.  Se nourrir de la germination produite par notre technologie signifie transférer la mémoire  cellulaire des pousses à la  mémoire cellulaire de notre corps ce qui favorise grandement le prolongement et/ou la régénération de la jeunesse de nos propres cellules.

La germination fournit à la personne qui la consomme les bienfaits du magnétisme solaire et tellurique ; elle met à sa disposition des cellules antiputrides, des protéines, de nombreux oligo-éléments ainsi que des ferments indispensables à la digestion et à l’assimilation. En outre, la germination possède une extraordinaire puissance enzymatique nécessaire à la bonne assimilation des éléments nutritifs de nos aliments. Anti-radicaux libres.

Tout ce qui précède nous permet d’affirmer sans ambages que notre entreprise satisfait aux exigences écologiques, biologiques les plus sévères et que la qualité de sa germination appelle une nouvelle norme de culture biologique.

À moyen et à long terme, notre technologie déploiera davantage ses ailes au-dessus de ce vaste domaine qu’est celui de la santé.  Elle touchera la cosmétique naturelle, fabriquera des huiles essentielles raffinées, des suppléments alimentaires purs, etc.  Par-là, nous resterons fidèle à notre vocation : faire irradier la Santé, la Beauté, le Naturel partout où c’est encore possible de le faire !

Illustration de la racine totale :

Lorsque nous traitons les graines de n’importe quelle plante, prenons l’exemple des tomates, mais ceci a également été vérifié pour un ensemble exhaustif de légumes et d’autres plantes, la première chose que nous observons, est l’exceptionnel développement des racines après seulement une semaine de croissance (voir illustration page 8 Agosto 26-2001). Une semaine seulement après le démarrage en serre la racine est déjà longue de 80 cm). Et le secret de la croissance des plantes est évidemment dans leurs racines qui deviennent les bouches d’absorption de tous les nutriments.

Comme la plupart des organismes vivants, les plantes sont constituées en très grande partie d’eau. Il est donc vital de fournir une eau saine à la plante, et l’eau que nous fournissons est évidemment celle aux capacités pénétrantes. Pour obtenir le maximum du potentiel génétique de la plante et en préserver le patrimoine ancestral (nous ne travaillons qu’avec des graines non modifiées génétiquement), une série de conditions ont été mises en place qui favorisent une croissance maximale. 

Les deux tuyaux que vous voyez dans l’illustration en page 2 plus haut, entre lesquels se trouve la racine, font partie d’un système breveté de brumisation qui nourrit la plante et qui nous permettent d’économiser des quantités gigantesques d’eau potable tout en étant un facteur de stabilisation des conditions de croissance. Nous parvenons ainsi, dans le cas de la tomate à produire des plants de tomates produisant annuellement plus de 400 kilos de tomates, et le plus étonnant c’est que nous le faisons dans une période de neuf (9) semaines. Les analyses minéralogiques faites par les plus grandes universités ont démontré que cette tomate dépassait toutes les tomates du marché par leur teneur en minéraux. Il est bien noté qu’aucun ingrédient chimique artificiel n’est ajouté à notre eau ainsi que tout produit anti-parasitaire et anti-fongique. Ceci est un premier exemple des effets sur la croissance d’une plante, de la réduction de la résistance de surface de tension des électrons.

En abaissant la surface de tension, nous observons généralement les phénomènes suivants :

  1. Une augmentation du pouvoir de pénétration des solvants, comme l’eau

  2. Un abaissement du frottement ionique – d’où, croissance impressionnante des racines des plantes, conséquences énormes également dans les semi-conducteurs où on augmente la mobilité ionique

  3. Une augmentation du potentiel de fluidité

  4. Une accélération du pouvoir de précipitation

  5. Une réduction du pouvoir d’évaporation

  6. Une augmentation de la longévité membranaire et un déploiement rapide de son potentiel génétique 

  7. Une augmentation du débit de filtration par unité de surface de la membrane

  8. Une augmentation du débit de séparation membranaire par unité de surface

  9. Une augmentation du processus de réaction de la suppression des odeurs

  10. Une réduction de la DO (demande en oxygène) de la part des micro-organismes bactériens.

Chacune de ces réactions est impliquée – à un moment quelconque - dans le processus de la croissance.

Voyons maintenant l’exemple de la croissance de nos pousses de tomates

On constate que la tomate est un fruit, et qu’en général dans la nature, les fruits poussent dans des arbres. Notre plant de tomate est donc devenu un arbre de 6 mètres de hauteur, produisant des grappes de tomates comme des raisins. Le tout dans une période entre le 17 août au 26 octobre. Environ 9 semaines, quatre récoltes annuelles. D’autres illustrations sur différents types de plantes donnent des résultats semblables.

Un tableau comparatif de la production industrielle en cours. Chez AgroCorp., un grand producteur de tomates Canadien, la production annuelle d’un plant s’élève à un peu plus de 100 kilos. Notre production varie entre 800 et 1600 kilos annuellement, par plant.

La pouponnière

Les pousses des plants de tomates sont initialement traitées dans notre pouponnière avec un contrôle de la demande en besoin de lumière et en eau faites par la plante, qui alimente chaque plant selon son endroit de croissance dans la pouponnière.

Système informatique de contrôle de tous les paramètres importants pour la croissance :

La technologie brevetée de l’eau oxygénée:

Les graines initiales sont traitées avec une eau contenant entre 60 et 120 ppm d’oxygène intégrée à l’eau. Un équipement breveté est illustré dans la photo suivante d’une unité mobile que nous avons construite pour une application dans le secteur médical.

Voici le schéma d’opération de l’oxygénateur :

CONCLUSION

  1. Il y a deux méthodes d’application de cette technologie.

  • La première est semblable aux méthodes existantes mais l’arrosage se fait avec une eau plus pure et dont le contenu en oxygène est beaucoup plus élevé, ce qui donne une eau plus vivante et vivifiante. Cette eau permet de développer et de maintenir les qualités organoleptiques des végétaux produits.

  • La deuxième est conçue pour une production dans des zones climatique difficiles ne permettant pas de cultiver avec des méthodes traditionnelles. Mais elle est naturelle et permet elle aussi de garder la qualité organoleptique. Son très haut niveau de rendement en fait une technologie privilégiée et qui s’associe bien à une production industrielle organique naturelle, de quantité et de qualité supérieure.

  1. Cette méthode de culture s’applique en culture maraîchère pleine terre ou sous serre.

  2. Elle s’applique parfaitement aux cultures céréalières, arboriculture fruitière, culture florale, pépinières, et à l’ensemble de toutes les plantes.

  3. Autres domaines d’application : pisciculture, ostréiculture, élevage des abeilles.

  4. Applications médicales (humaines et animales).

  5. Applications sportives. Oxygénation des muscles sans effets nocifs ou pervers (iatrogènes).

  6. Application dans l’élevage : volaille, bovin. Elle permet d’apporter une meilleure résistance générale de l’animal, une meilleure croissance, une diminution importante de l’utilisation d’antibiotiques et autres produits de traitement.

  7. Régénération des barrières de corail.

Nous référons le lecteur intéressé à des explications additionnels sur le rôle de l’eau oxygénée, à consulter le dossier de l’eau Projet d’application de technologies pour la décontamination des eaux usées, que vous trouverez ICI 


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