Projet Génération d’électricité

Résumé

Nous avons un besoin urgent: fournir une solution évolutive et pratique aux millions d’êtres humains qui, dans de multiples pays ne disposent toujours pas d’un accès facile à l’électricité. Il est possible aujourd’hui de la fabriquer, localement et à toute fin pratique une électricité à prix modique. Nikola Tesla, le précurseur dans ce domaine, disait pour son malheur, que « l’électricité se trouve partout », et il ajouta « qu’on pouvait la récolter n’importe où ». Ceci lui valut un blocage provoqué par les entreprises de cette époque ; celles-ci avaient le projet de monter la grille électrique mondiale et n’avaient pas l’intention de la distribuer gracieusement. Il est nécessaire que cette énergie soit accessible à des prix qui ne grugent pas le budget des pays. Il existe des applications technologiques qui prouvent que nous pouvons fabriquer des quantités imposantes d’énergie électrique à des coûts accessibles. Ces applications technologiques permettent d’aborder toutes formes de fabrications et de distribution de cette énergie pour les industries, mais aussi pour la consommation individuelle, collective et communautaire. Il est nécessaire pour notre stabilité sociale que les individus puissent bénéficier de cette énergie essentielle pour satisfaire leurs besoins sanitaires de la vie quotidienne.

Ce texte explicatif a été écrit par « Fulmina Human Resources Foundation ». Les explications des termes scientifiques et médicaux sont en partie extraits du site de la Fondation Wikipedia, que nous remercions.

Enjeux mondiaux de mise à disposition de la ressource

Il nous semble pour le moins surprenant que plus de cent ans après la découverte de l’électricité nous soyons encore aux prises avec des enjeux comme l’absence de cette ressource vitale dans plusieurs parties du monde, que la monopolisation de la distribution se fasse encore par des réseaux de transports de la ressource, nuisibles à l’environnement, surtout lorsque que les pylônes transportant l’électricité traversent des zones urbaines et qu’il créent des champs magnétiques qui causent des problèmes surtout chez les jeunes enfants. 

Si Nikola Tesla affirmait déjà au départ, que « l’électricité se trouve partout », et il ajouta « qu’on pouvait la récolter n’importe où », alors pourquoi devons-nous la transporter. Pourquoi avons-nous créé ces monstrueuses infrastructures ?

La génération de l’électricité doit être locale, autonome, aneutronique, et abordable par tous.

Le premier principe de la fabrication de l’électricité est qu’il doit être LOCAL, attaché à chaque maison, autonome dans sa production i.e., dépendant le moins possible pour son existence d’une autre source d’énergie existante, et ne doit pas exiger de l’utilisateur qu’il se voit dans l’obligation de dépenser une part de son budget dont il a absolument besoin pour l’éducation, la santé et l’alimentation. L’existence d’une autre source d’énergie comme support de démarrage ou support d’alimentation, lorsqu’il n’y a pas d’autres solutions, doit être facilement accessible, ne pas causer de pollution carbonique pour son transport en fourniture, donc ne pas avoir à remplacer cette source d’énergie plus d’une fois par mois si possible. Idéalement une fois démarré la génération électrique, cette dernière devrait pouvoir maintenir une unité de stockage capable d’engendrer son démarrage et d’en maintenir sa génération.

Le second principe est que son utilisation n’entraîne pas de conséquences pour la santé des individus et de l’environnement, qu’il ne soit pas la cause de secondaire  pollution secondaire, comme l’utilisation du fuel fossile comme le pétrole et le charbon pour générer de la vapeur pour activer une turbine. Certains pays nordiques ont compris qu’il était souhaitable et essentiel d’utiliser les sources thermales sous terraines dont ils disposaient. Quant à la santé des individus, il faut éviter les champs magnétiques majeurs créés par des lignes transportant plus de 750 KEV. Ces vibrations majeures ont des conséquences sur l’osmose intra et extra cellulaire qui peuvent provoquer une perturbation mitochondriale à long terme de l’ADN de nos cellules.

Note :

750 KEV : Ceci n’est vrai que pour les courants alternatifs. Si les courant directs DC avaient été utilisés, il n’y aurait pas eu de problèmes avec les champs électromagnétiques. Nous disposons aujourd’hui de technologies qui nous permettent de transformer en courant direct DC, mais cela n’était pas possible du temps de Nikolas Tesla.

La mitochondrie a une énergie intrinsèque dans sa fonction ADN mitochondriale entre 5 et 20 microampères (Voir dans l’onglet Santé l’explication du Lapis Élixir Bifidobacterium)

Le troisième principe, est que tout système de génération d’électricité possède son entière ou presque totale autonomie ; il ne doit pas être strictement basé sur la nécessité de l’existence de certaines conditions atmosphériques, comme la production d’énergie solaire. Il y a des parties de la planète où pendant de longues périodes, c’est l’obscurité presque totale. Il y a des situations d’urgence où la lumière du soleil est entièrement cachée par les nuages, ou la noirceur devient menaçante. Chaque système qui prend avantage de conditions atmosphériques prédominantes, doit également prévoir des situations où il faut passer à un système d’urgence qui pourrait prendre la caractéristique de devenir permanent.

Le quatrième principe est que ce système de production doit être assez généreux pour procurer aux citoyens assez d’énergie pour leurs besoins quotidiens à un coût le plus près de zéro que possible. La consommation d’une petite maison nécessite une quantité de 50 KWh/mois/maison.

Le cinquième principe est que cette énergie doit être produite par des systèmes qui ne sont pas susceptibles de générer des éléments radioactifs contre lesquels il faut défendre toute forme de vie. Three Miles Island, Tchernobyl, Fukushima, pour ne citer que les cas les plus effarants. Toutes ou presque toutes les usines de fabrication d’énergie à base de technologie nucléaire radioactive ont la maladie de « laisser couler » des déchets radioactifs dans leur environnement. Malheureusement on n’annonce pas toujours ces nouvelles difficiles à contrôler. Ces systèmes très coûteux finissent souvent pas causer des catastrophes .Il en coûte alors des milliards de dollars et des centaines de vies humaines pour réparer les dommages, alors que ces ressources financières auraient pu être employées à des activités plus productives.

Le dernier principe est que nous devons prévoir pour notre équilibre social des solutions pour palier aux éventuelles catastrophes écologiques naturelles ou celles provoquées par les hommes. Ces solutions passent par différents points :

• Capacité de fabriquer sa propre énergie électrique

• Capacité de fabriquer sur place toute l’alimentation nécessaire à la communauté

• Capacité de fabriquer toute l’eau potable nécessaire à la vie communautaire

• Savoir  extraire  les  ingrédients  nécessaires  à  la  survie  comme  l’oxygène nécessaire à une technologie d’agriculture

• Savoir extraire les ingrédients nutritifs et curatifs des plantes et des minéraux

• Avoir des moyens de naviguer sur les eaux

• Moyens de se déplacer localement

Catégories de technologies de fabrications d’électricité :

1.Les technologies entièrement autonomes ou partiellement autonomes :

• Technologie de fenestration : Une fenestration capable de transformer le passage de la lumière en énergie électrique, soit pour fabriquer de la chaleur en hiver ou du refroidissement dans les périodes de chaleur. Cette technologie existe. C’est l’exemple d’une technologie entièrement autonome, capable de générer de l’énergie pendant les périodes de lumière.

• Le réacteur tribo électrique, est capable de produire 52 millions d’électrons volts à partir d’une source constante de ¼ de watt à 120 hertz. Cette dépendance peut être remplacée par différents systèmes fournissant la même énergie via des sources autonomes de génération, des batteries, des technologies solaires équipées de moyens de stockage quand la lumière n’est pas disponible. Ce réacteur peut être construit pour des générations d’électrons en accord avec les besoins de la vie quotidienne. Unité-maison, unité-bâtiment, unité-industrie, village ou ville.

• Le concentrateur solaire Fresnel du type EH2 Solar, est la technologies de concentration d’énergie solaire la moins dispendieuse et la plus efficace qui capte pendant la journée l’énergie solaire et l’utilise directement au maximum et peut facilement la stocker pour utilisation pendant la nuit, alors que son degré d’efficacité rend cette opération idéale. Cette technologie utilise en outre des panneaux fabriqués à partir de plastique recyclé, tel que celui qui pollue tous les océans (le 7ième continent). Cette technologie  peut générer pour un village ou des villes entières de la puissance allant de 500 KWh à plusieurs Gw. Nous considérons que cette technologie est partiellement autonome et ne nécessite qu’une très faible infrastructure de distribution et puisque nous recevons du soleil 6000 fois plus d’énergie que ce que l’humanité entière à besoin.

• Il existe une panoplie de diverses technologies auxquelles nous avons accès et que nous évaluons présentement afin de savoir si les matières premières nécessaires à leur fabrication sont disponibles et représentent une solution viable pour l’avenir.

2.Les  technologies  partiellement  autonomes  exigeant  un  très  grand  niveau  d’in- frastructures, à des coûts très élevés, et des effets nocifs sur l’environnement :

• Les barrages hydro-électriques

• Les centrales nucléaires radioactives

• Les éoliennes

• Les grandes surfaces photovoltaïques

• Les usines au charbon ou au pétrole

3. Les petites unités d’urgences et les unités industrielles

• Les génératrices maison qui dépannent pour quelques heures

• Les grosses génératrices qui peuvent alimenter tout un bâtiment

Problématique et solutions disponibles

Notre but n’est pas de remplacer le système actuel de distribution de l’électricité et de démanteler leurs infrastructures. Ces structures ont été choisies par la majorité des nations industrialisées de cette planète. Déjà certains pays sont devenus conscients qu’ils doivent préparer des scénarios d’urgences afin de faire face aux éventualités tragiques qui sont les conséquences directes des décisions antérieures sur le choix de leurs infrastructures. C’est le cas de certains super barrages hydro-électriques. Ce n’est pas notre but. Nous voulons seulement adresser le problème crucial du fait qu’il y a encore des millions d’individus qui n’ont toujours pas un accès raisonnable à cette ressource pour simplement maintenir une vie où leurs besoins en santé, une saine alimentation et de moyens de communication, que l’on retrouve partout sur la planète.

Il y a une variété de technologies disponibles. Leurs coûts varient considérablement et souvent ils nécessitent des infrastructures qui rendent leur choix plus difficiles. Les coûts cachés ou futurs en font des solutions non durables.

Nous avons choisi de nous concentrer sur la génération électrique qui est non polluante et celles qui se caractérisent par leur application autonome. En somme celles qui ne requièrent pas d’infrastructures additionnelles comme l’accès au pétrole, charbon ou diésel. Nous savons par exemple que le transport de l’électricité dans la plupart des pays représente plus de 66% des coûts de sa génération. Nous savons également qu’il existe des moyens d’éviter ces coûts en implantant des technologies plus directes.

Chaque situation doit être étudiée pour une solution optimale. Que ce soit pour une simple maison, un petit village, une ville de plus de 100,000 habitants ou une mégapole. L’étude des meilleures approches pour chaque situation particulière se poursuit chaque jour. À notre connaissance il n’existe aucune étude exhaustive qui a été entreprise pour répondre à l’ensemble des questions sur la viabilité et l’efficacité des différentes technologies offertes.

Nous allons proposer certaines solutions qui toutes pointent dans la direction de la durabilité et de l’efficacité. Nous allons toujours évaluer les conséquences d’une technologie sur son environnement, de sa  production de masse, et surtout le coût final pour le consommateur.

L’Académie Fulmina, qui a mis cette question à son agenda, n’est présentement pas en position de répondre à toutes les questions soulevées, mais nous pouvons indiquer certaines directions qui à première vue, sont pratiques, moins polluantes, moins dispendieuses donc accessibles à un plus grand nombre.

Tribo-Électricité

Nikola Tesla a donné le nom de Tribo-électricité (du grec ancien tribo qui signifie frottement, friction) à toute forme d’énergie qui est produite par friction. Chaque être humain découvre assez tôt dans la vie, le phénomène du tonnerre et des éclairs. Lorsque les nuages sont appelés à se frotter les uns aux autres, il se forme une zone massive d’ionisation. Ce frottement dans certaines conditions va générer avec la polarité inverse de la terre une décharge électrique de plusieurs milliards d’électrons-volts. Il est important de comprendre ce mécanisme complexe afin de savoir comme on peut récolter cette forme d’énergie, Comment cela se produit-il?

La découverte du « Zéro de Schumann »

La découverte des résonances de Schumann est attribuée au physicien allemand Winfried Otto Schumann qui les découvre dans les années 1950. Mais il fallut attendre une décennie avant qu’elles ne soient mesurées. Georges Francis Fitzgerald (en 1893) et Nikola Tesla (en 1900) avaient déjà émis l’idée que la cavité frontière entre la surface de la terre et l'ionosphère puisse servir de guide pour les ondes qui sont en relation avec le réseau tellurique de la croûte terrestre (réseau Hartmann – voir Annexe II) : il existe trois treillis: le treillis terrestre découvert par le docteur Ernst Hartmann de Mannheim, mais nous avons également un treillis qui se situe à la limite de la stratosphère et un autre qui est à la limite de la ionosphère.

Note :

Ces trois treillis étaient connus de manière empirique par les différentes civilisations qui construisirent les différents temples ou monuments à travers le monde. Nous parlons de l’Île de Pâques, des Mayas, des temples d’Afrique, des dolmens celtes, mais aussi de l’Égypte, de l’Inde, de la Chine, etc. À titre informatif, la pyramide de Gizeh a été construite sur un emplacement tellurique très particulier appelé Gigal ou Nashareth (le réseau sous-terrain). Sa hauteur est proportionnelle à la circonférence de sa base. Les Égyptiens avaient compris qu’ils pouvaient utiliser les différents treillis puisqu’ils disposèrent en haut de la pyramide, sur le triangle en orichalque, un cristal en forme d’œil leur permettant de capter certaines énergies pour influencer l’équilibre climatique de l’Égypte.

Nous référons le lecteur au lien internet suivant pour voir une animation, qui offre une représentation bien faite de ce à quoi ressemble ces résonances et leurs conséquences énergétiques sur la planète mais aussi sur les populations :

Animation Schuman Resonance : Cliquez Ici

Les résonances de Schumann sont un ensemble d’oscillations en basses fréquences de 3 à 30 Hz voir plus du champ électromagnétique terrestre. Ces résonances émanent de la cavité interne qui forme la croûte terrestre, celle-ci est en réaction miroir avec la ionosphère, c’est-à-dire, l’atmosphère supérieure de la planète. La conductibilité électrique caractérisée par l’ionisation partielle des gaz de la ionosphère, fait circuler à travers le treillis terrestre ces champs électromagnétiques.

Le phénomène de foudre se matérialise suite à un appel naturel primaire d’excitation qui met en résonance le zéro fréquentiel. Il y a donc un appel – ce phénomène a été capté par un photographe amateur sous la forme d’un petit éclair sortant de la terre. Cet appel provoque immédiatement une décharge de foudre et d’éclair du ciel qui vient rejoindre celui de la terre.

Il n’est donc pas surprenant de constater que le système de résonances qui déclenche des quantités massives d’énergie dans le système géophysique des planètes, ait son équivalent dans  le  système biologique et les proportions physiques  du  corps  humain (voir Fibonacci et le nombre d’or). Le corps humain est en relation et en proportion mathématique et géométrique avec la planète terre, mais également avec la galaxie et le reste de l’univers.  Il existe des  fréquences spécifiques qui sont en relation avec l’homme septuple et ses différents niveaux de conscience. Cette résonance active les métaux chélates qui transportent l’information en affectant directement la lecture de la codification qui libère alors les différentes énergies agissant au niveau de chaque glande endocrine.

Note :

L’humain a neuf niveaux de résonance, mais seulement sept d’entre eux font partie de sa conscience. Le huitième niveau est une clé de passage vers le neuvième niveau qui représente dans les textes sacrés de notre humanité, son corps de lumière et d’immortalité.

Ces sept différents niveaux de conscience ont même été photographiés par la technique connue sous le nom d’électrophysionique, (entre autres).

Les minéraux chélates se retrouvent en traces infinitésimales – il y en a dix – et ils correspondent exactement aux différentes planètes de notre système solaire. Le plomb (Saturne), l’étain ((Jupiter), le fer (Mars), le cuivre (Vénus), le mercure (Mercure), l’argent (la Lune), l’or (le Soleil), les trois autres planètes Neptune, Uranus et PLuton, définissent l’Espace, le Temps et la Direction de la structure de notre ADN en regard du Point Zéro de l’Univers. Leurs trois métaux correspondants dépendent essentiellement du niveau de conscience vibratoire de chaque individu. (Cette thèse a été soutenue devant l’Académie des Sciences de France en 1973, mais elle ne fut reconnue et confirmée par les Pères de l’Académie que quatre ans plus tard).

Nous référons le lecteur aux études sur le corps humain faites par Vitruvius (entre -80 et -70 ad.), un architecte et ingénieur civil et militaire qui vivait avant Jésus-Christ, aussi bien que les travaux exceptionnels de Leonardo da Vinci sur le corps humain (le compas, la règle et l’équerre).

Nous avons observé que des fréquences spécifiques déclenchent ou bloquent des transferts pour la lecture et l’interprétation sur huit paliers: ces fréquences (support vibratoire/énergie vibratoire) libèrent alors les différentes énergies codificatrices.

 Les travaux effectués par l’équipe de recherche médicale ont démontré une technique de diagnostic tant physique que vibratoire. Cette pratique permet de faire un diagnostic très rapide sur la maladie et sur l’origine de celle-ci. Nous trouvons immédiatement le remède et l’origine de la pathologie, qui peut être physique, émotionnelle ou mentale. 

Nous parvenons à provoquer une correction de la maladie par une analyse du support vibratoire: la comparaison entre le support vibratoire et l’énergie vibratoire. Cette technique permet une interprétation directe de l’énergie, de la codification des chapitres de notre ADN. Cette énergie permet l’ouverture et/ou la fermeture aussi bien de la lecture que de l’interprétation de ces séquences (de notre ADN). Ces dernières sont en relation avec ces fréquences d’énergie (support vibratoire/énergie vibratoire). directement vers la glande concernée et identifiée par sa méthode diagnostique. Pourquoi est-ce possible ? Ces fréquences sont exprimées entre 7,5 et 7,8 pulsations par picoseconde 10-9 (1 picoseconde = 1 milliardième de seconde). Ces pulsations sont en corrélation fractale (fractal: un univers replié) avec les pulsations de la terre (les pulsations du Cœur de la terre) et les énergies émises par notre système solaire. La fréquence totale (au premier palier fréquentiel) donne le chiffre 72 (9 fois 8) correspondant aux huit paliers séquentiels de l’ADN. Ce sujet est vaste et complexe; il nécessiterait une explication de ces relations avec l’épigénétique et l’ADN Fantôme, ce dernier étant composé non pas de 2 hélices mais de 12 hélices.

Le maximum de la résonance de Schumann vibre à l’harmonique de 528 Hertz, exactement la même fréquence utilisée par les biochimistes génétiques et par les biophysiciens travaillant sur l’ADN fantôme, pour réparer l’ADN, la base génétique de la vie.

Les résonances de Schumann démontrent un Point Zéro. La terre a une fréquence depuis des milliers d’années (dernier renversement des pôles) de 7.4 cycles par seconde, elle augmente sa fréquence depuis août 1983 et 1984. Cette fréquence hertzienne qui augmente, correspond aux changements d’émission fréquentielle du Sphinx égyptien qui est lui-même en relation avec d’autres monuments historiques planétaires situés sur des croisements telluriques  spécifiques  nous  indiquant  des  directions  dans  l’espace en relation avec la constellation d’Orion, des Pléiades, de Sirius et de la constellation de la Lyre.

La terre que l’on pourrait dater d’environ 1 milliard d’années dans sa densité actuelle est beaucoup plus âgée. Elle a suivi des cycles de transformation par résonance vibratoire et chimique qui ont entraîné des modifications dans sa structure géographique et géophysique. La complexité de sa constitution et de sa résonance cosmo tellurique, agit sur le minéral, le végétal et l’organique « vivant ». La terre est inscrite dans notre système solaire, celui de notre galaxie et de notre univers et nous savons maintenant également du multivers. Nous apprendrons dans un avenir proche, l’existence et les caractéristiques des sept (7) autres univers. La terre est en mouvement et respiration permanente comme les particules de nos cellules, et elle est en résonance de l’infiniment petit à l’infiniment grand.

Comme nos cellules attaquées par des anticorps, qui en se défendant changent de fréquences donc de résonance, il en est de même pour la terre qui aujourd’hui traverse une ceinture de photons. Photon venant du grec qui signifie « lumière », ils se transmettent en paquets d’énergie élémentaires de rayonnements électromagnétiques. Ceux-ci ont une action lors de l’absorption ou de la réflexion de la lumière par la matière.

La terre traversant cette ceinture de photons, voit sa vitesse de rotation ralentir. Ce qui entraîne une augmentation de sa résistance et donc de sa résonance pouvant provoquer le Zéro de Schuman, tel que nous l’a expliqué Gregg Braden qui se fonde sur les résultats des chercheurs Norvégiens et Russes.

La surface de la Terre est faite d’un énorme treillis magnétique. Il existe une « zone neutre » entre la surface de la terre et l’ionosphère, l’espace entre les deux est de 55 kilomètres.

La diminution de la charge magnétique terrestre et l’accélération de ses pulsations, entraînent une diminution de sa force électromagnétique. En effet, on sait que pendant les périodes d’inversion magnétique des pôles, l’intensité du champ magnétique terrestre diminue fortement, chutant de 8 à 10 fois en dessous de sa norme. (Aujourd’hui les pôles magnétiques se sont déplacés de 25 degrés et le battement du pouls terrestre serait de 16.5 Hertz).

Les planètes suivent un cycle et sont en perpétuel mouvement dans l’univers. L’astrologie et l’astronomie connues depuis des milliers d’années, nous renseignent au sujet de la position des planètes et de leurs cycles. Certaines civilisations (Chinoise, Égyptienne, Maya et Indo-Aryen) en ont fait des cartes précises et en ont dessiné les trajectoires futures.

Ils avaient la connaissance que l’axe de rotation de la terre ne serait pas le même puisqu’il change tous les 26 000 ans, date à laquelle nous pouvons estimer être passé à une nouvelle transformation évolutive qui marqua le début de notre civilisation.

Un premier renversement polaire magnétique ayant déjà eu lieu, on peut imaginer qu’un autre renversement puisse être attendu, pour un cycle naturel d’évolution futur et nécessaire.

Quand la fréquence de résonance de la terre, actuellement en augmentation, atteindra un point de changement, nous arriverons au point zéro. Ce dernier nous provoquant un changement vibratoire terrestre mais aussi biologique, entraînant une modification de conscience, une répercussion économique et sociale.

Notre résonance biologique (support vibratoire/énergie vibratoire) s’accélère et se transforme lorsque nous nous rapprochons du Point Zéro.

Nous sommes en mesure maintenant de comprendre pourquoi la codification des séquences de notre ADN qui est régie par des fréquences de 7,4 à 7,8 battements au picoseconde soit 10-9 (1 picoseconde = 1 milliardième de seconde), est en relation fractale avec le pouls terrestre. Ce Point Zéro nous amènera probablement à une nouvelle lecture progressive des chapitres de notre ADN et une interprétation différente des séquences de celle-ci, entraînant un changement de conscience collective.

Nous sommes conscient d’avoir débordé du sujet, mais Il nous est apparu évident de situer la fabrication de l’électricité et des enjeux actuels de sa disponibilité et sa transportabilité, dans son contexte vital. L’électricité comme l’oxygène et l’hydrogène, est la manifestation de la vie. Nous devons en comprendre tout son contexte.

La technologie du réacteur Tribo-électrique: protection de la propriété intellectuelle

Deuxième brevet Maître

Nous avons démontré – devant le comité pour l’obtention du Brevet Maître - notre capacité à générer une couronne électromagnétique de plusieurs dizaines de millions d’électrons volts à partir d’une source d’énergie de ¼ de watt. Nous recréons à l’intérieur de ce réacteur les mêmes conditions qui déclenchent la décharge électrique de l’éclair, connue sous le nom de tribo électricité. 

La tribo électricité a un coût très abordable pour tout pays. Elle permet d’effectuer des applications multiples : pour la fabrication de l’eau oxygénée (voir dossier Agriculture) la désalinisation de l’eau de mer ou le traitement des eaux usées municipales. Le tout étant dû à la production massive d’électricité à un coût minime. Nous pouvons la rendre entièrement libre.

La technologie du concentrateur solaire

Spécifications

1. Pour une même surface couverte, une centrale photovoltaïque ne génère que 1 MW d'électricité seulement sur l’heure du midi alors que le soleil est à son intensité maximale tandis que nous générons 1 MW d'électricité plus 1,5 MW de chaleur 24 heures par jour (0.03$ par KWh). Compte tenu du facteur d’efficacité de cette      technologie cela représente 4 fois plus d’énergie électrique par jour que le photovoltaïque.

2. Requiert moins d’espace au sol que les autres technologies solaires.

3. Ne déstabilise pas les réseaux de distribution électriques lorsqu’un nuage se présente.

4. Ne requiert donc pas de centrale énergétique en parallèle.

5. Les installations solaires seront calibrées pour être capables de produire suffisamment d’électricité pour générer de l’hydrogène qui produira l’électricité durant les périodes nuageuses, en utilisant les moteurs décrits plus bas. L’hydrogène excédentaire servira aussi pour les transports et fournira l’électricité aux plus petites localités avoisinantes. Nous avons aussi des technologies pour purifier les biogaz produits à partir de la biomasse liquide et sèche. Le méthane sera mélangé à l’hydrogène pour fournir un carburant très propre.

Comparatif par rapport au marché du solaire photovoltaïque

• Puisque nos centrales de concentration solaire permettent d’atteindre plus de 40% de rendement électrique comparativement à un taux inférieur à 10% pour le photovoltaïque conventionnel, l’énergie qui n’est pas transformé en électricité - soit 60% de l’énergie captée - pourra directement servir de chauffage d’appoint ou même servir pour la climatisation grâce à des systèmes d’absorptions. L’énergie thermique qui est capturée durant le jour est donc entreposée dans des réservoirs pour répondre à la demande énergétique durant toute la journée. Avec un système photovoltaïque le coût pour entreposer 1 KWh est environ 10 fois plus élevé que le coût de production de ce même KWh. Le coût de l’entreposage est déjà inclus dans notre calcul et nous pourrons donc générer 24 heures sur 24 heures contrairement au photovoltaïque et aux autres technologies solaires, qui ne génèrent leur maximum que sur l’heure du midi. 

• Puisque nous produisons 1 MW 24 heures sur 24, 365 jours par année et que cet équipement à une durée de vie de plus de 100 ans avec un coût d’opération et de gestion de 200 000$ par année par MW. Le coût initial par KWh sera de 1.8 M$ / 24 heures / 365 jours / 100 ans / 1000 KW/ MW soit 0.002$ par KWh. À cela il faut additionner les coûts d’entretiens de $100 000 / 24 heures / 365 jours / 1000 KW / MW = 0.0228$ USD / KWh. Donc le prix total est de moins de 0.03$ par KWh. Si nous capitalisons ces équipement sur 5 ans au lieu de 100 ans l’investissement de base représente 0.04 USD par KWh ce qui est déjà plus de la moitié du prix actuel de l’énergie dans les régions éloignées. Le plus le grand avantage de cette technologie est de produire l’énergie près de l’endroit où elle est consommée.

Technologie EH2 Solar pour les serres (lumière, électricité, chaleur)

• Application solaire pour fournir la chaleur et l’électricité à l’intérieur des serres.

• Permet une production agricole indépendante toute l’année, surtout lorsque la technologie de serre utilise la brumisation à l’eau super oxygénée (Voir Agriculture).

Technologie de nouveau moteurs au gaz naturel liquide et hydrogène

• Cette technologie permet d’atteindre 83% d’efficacité électrique lorsqu’elle utilise le gaz naturel liquide puisqu’elle tire avantage du froid généré par la regazéification. L’École Polytechnique de Montréal a participé à cette étude.

• Le gaz naturel est déjà deux fois moins couteux que les différents genres de carburants diésels. Le fait d’obtenir un rendement plus élevé permettra de rendre cette technologie encore plus rentable et diminuera les impacts environnementaux.

• Dans le cas du transport aérien, en fait, 50% de la charge pouvant être transportée par un avion est utilisée pour transporter le carburant. Le fait d’augmenter l’efficacité des moteurs permettra de pouvoir transporter plus de passagers ou charges utiles.

• L’hydrogène transporte beaucoup plus de froid et a une plus basse référence. De plus il transporte 2.4 fois plus d’énergie par kg que le jet fuel actuellement utilisé. C’est pour cette raison que nous pouvons atteindre une efficacité mécanique de plus de 95%. Ce qui est quatre fois plus élevé que les moteurs d’avions à réaction actuels et des turbines à gaz. Contrairement aux moteurs actuels de ce genre, dont les composantes de la turbine à haute température sont constamment soumises au contact des gaz très élevés, les composantes de notre moteur - tel que les pistons - ne sont en contact avec les gaz les plus chauds, pour moins de un centième du cycle total du piston. C’est  pour cette raison qu’il nous est possible d’augmenter la température de combustion à 2500⁰Kelvin. L’efficacité maximale théorique est dictée par la loi de Carnot, cette efficacité du moteur diatherme (à deux températures – un côté chaud et un côté froid) fonctionne selon le cycle de Carnot avec une source chaude de température  TH et une source froide de température Tc ce qui donne l’équation suivante :

Principe de la thermodynamique : Cliquez Ici

Donc  = 1 – 20⁰K/2500⁰K = 99,2% d’efficacité maximale théorique avec notre moteur qui est adapté pour tirer avantage des deux ressources fournies par l’hydrogène. 

La base de notre moteur a été développée par R. Morgado. Nous l’avons adapté aux particularités du gaz naturel et de l’hydrogène pour obtenir plus de performance et un meilleur rendement. 

Caractéristiques du moteur

Ce moteur est également une pompe volumétrique. Il ne possède pas de soupapes; celles-ci étant la cause principale des problèmes d’auto combustion dans les cylindres. Ces derniers gardent une température plus élevée que la température d’auto combustion. Le moteur peut être utilisé comme compresseur ou détendeur. L’hydrogène ayant une température d’auto implosion plus élevée et une vitesse de propagation de la flamme plus rapide, nous permet d’atteindre des performances remarquables. Pour voir Cliquez Ici

32 explosions pour chaque tour, sur un moteur à 8 pistons.

Les Russes ont produit une version déjà commercialisée.

Pour voir Cliquez Ici

Son rapport poids/puissance est optimal et peu onéreux car il possède peu de composantes. Grâce à la version que nous avons développée pour les avions et les bateaux, nous avons besoin de 10 fois moins de poids de carburant pour effectuer la même distance. Il est aussi possible de mélanger l’hydrogène au gaz naturel pour obtenir une température d’ébullition médiane. Le transport peut être réalisé par avions spécialement adaptés pour ce marché. Grâce à ce carburant propre et bon marché combiné à notre technologie, il est possible de produire des avions qui décollent à la verticale de façon économique.

Annexe I

Annexe II

Description de la technologie des concentrateurs solaires :

Note importante : afin de faciliter au lecteur, la compréhension de cette technologie, voici un glossaire de certains des termes ou acronymes utilisés ci-après dans le texte : 

Polypropylène (« PP ») : polymère dur, rigide et résistant à l’abrasion. Ses propriétés physiques sont augmentées en le chargeant de fibre de verre. Il est indéchirable, flexible, léger et recyclable ;

Polystyrène expansé (« PSE ou en anglais EPS ») : polymère obtenu par mélange de gaz et de polystyrène de base soit le PS cristal. Il est dur, cassant, transparent et rigide ;

Polyuréthane : polymère d’uréthane – les mousses de polyuréthane possèdent des qualités d’isolation phonique et thermique. Elles adhèrent à tout support et ont un pouvoir de flottaison ;

PCT : Patent Cooperation Treaty – accord international permettant l’obtention d’un brevet dans plusieurs pays à la fois ;

PEEK : PolyEtherEtherKetone est un polymère thermoplastique semi-cristallin thermostable de haute performance. Il est remarquable pour sa résistance extrême aux températures élevées, aux produits chimiques et à l’usure, ainsi que pour ses propriétés mécaniques et sa stabilité dimensionnelle exceptionnelles. Il est utilisé pour renforcer des structures en fibre de carbone ou comme revêtement de pièces mécaniques non lubrifiées dans le domaine médicale et aéronautique ;

PEI : PolyEtherImide est un polymère de haute performance qui maintien sa force et sa rigidité à haute température. Il est remarquable pour sa résistance au cisaillement et à la flamme (homologué composé aéronautique - portes bagages, galley, etc.) ;

PRF ou en anglais FRP : Fiber Reinforced Polymer – Polymère Renforcé de Fibre de verre  

AS Composite (« ASC ») Inc. est une entreprise canadienne évoluant dans le développement et la fabrication de produits faits de matériaux composites.

L’entreprise a mis au point un panneau sandwich (appelé panneau ASC) qui comporte deux très importantes innovations:

• La "peau" du panneau ASC est faite d’un composite formé d’un polymère thermoplastique renforcé de fibres continues et ;

• Son processus de fabrication en continu permet la production de panneaux de plus grandes longueurs de façon économique et compétitive ;

• Une application importante est celle de la fabrication des panneaux pour les concentrateurs solaire de type EH2 Solar ;

• Le procédé de fabrication en continu est très innovateur, unique au monde et breveté. Deux autres brevets sont en instance. La première demande de brevet vise la composition et l’utilisation de panneaux destinés à la construction de maisons qui sont à la fois respectueuses de l’environnement, rapides à construire, et à prix abordable. La deuxième demande de brevet vise la construction de tabliers de ponts en composites à matrice thermoplastique. Cette innnovation offre une solution écologique facile à installer et à prix compétitif pour faire face aux défis de poids, de vulnérabilité aux facteurs environnementaux, de coûts d’entretien, et du temps d’installation des tabliers de ponts de bois traditionnels;

• Il n’y a pas de compétiteur direct au niveau mondial capable de produire des panneaux ayant les mêmes caractéristiques avantageuses aussi efficacement;

• ASC est devenu le leader mondial grâce à sa technologie de fabrication utilisant des composites à matrice thermoplastique;

• La technologie de fabrication et les panneaux sont exportables au niveau mondial; 

• La liste des applications établies et potentielles des panneaux ASC est longue et impressionnante;

• D’autres aspects innovateurs sont en voie d’être ajoutés à la technologie actuelle de fabrication (profilage, formage, l’utilisation de matériaux recyclés, machine de production de meilleure productivité etc.).

Bien que les composites à base de thermoplastique aient des propriétés physiques et mécaniques très intéressantes, leur utilisation à grande échelle a toujours été limitée. Ceci était principalement dû aux coûts élevés et aux difficultés reliées à l'exécution du cycle de laminage qui consiste dans l’application simultanée d’une haute température pour fondre la matrice sous une pression de consolidation et finalement d'un refroidissement pour compléter la solidification. Cette consolidation était traditionnellement effectuée sur des presses, ce qui limitait la dimension des panneaux moulés à celles de ses plateaux ainsi que la productivité. Ce procédé traditionnel se traduit par des coûts de fabrication élevés et une qualité variable. Par l’emploi de cette ancienne méthode utilisant des presses, on ne peut produire qu'un panneau de 4’ X 8’ par demi-heure. 

Le procédé de laminage d’ASC a été développé de sorte que les étapes du cycle de fabrication se fassent de façon successive, continue et automatique à une vitesse de 6 à 10 pieds par minute et ainsi donc le procédé ASC accélère le processus de la fabrication des panneaux de 20 fois plus rapidement.

Outre la vitesse de production qui a toujours été problématique, le phénomène de délamination qui consiste au détachement sous charge de la peau des panneaux sandwich de son noyau, a toujours été très préoccupant pour les utilisateurs de ce type de produits. La raison pour ce phénomène est que dans la plupart des procédés, les plaques sont collées au noyau par des adhésifs, tandis que dans le cas du procédé ASC utilisant des noyaux en thermoplastique, les composantes sont associées entre-elles par la voie d’une fusion durant la fabrication, ce qui élimine à 100% ce phénomène de délamination.

Ce procédé automatique de moulage à grande vitesse qui assure un fonctionnement d’une grande propreté ainsi qu'une qualité constante et reproductible n'a jamais été développé auparavant. Ce procédé permet de fabriquer des panneaux sandwich en matériaux composites de façon automatique, continue et propre.

Ce procédé utilise les effets de la température et de la pression pour fabriquer de façon continue des panneaux sandwich. Comme matière première, il utilise un tissu gommelé de façon spéciale, contenant des fibres continues et la résine en thermoplastique. 

Avantages des panneaux sandwich fabriqués par ASC :

Les panneaux sandwich existent depuis très longtemps dans l’industrie de la construction. Ceux en composites sont plus récents. Toutefois, l’utilisation des polymères thermoplastiques a toujours été assez limitée à cause des difficultés de production. 

C’est pourquoi la plupart des panneaux que l’on retrouve actuellement sur le marché sont la plupart du temps à base des polymères thermodurcissables. Or, certains problèmes associés à ce type de matériau, limitent l’emploi de ces panneaux dans l’industrie de construction, en effet :

1. La majorité des thermodurcissables émettent des gaz toxiques durant la fabrication et en service;

2. Ils deviennent fragiles lors d’usage à basses températures;

3. Leur résistance à l’impact limite leur utilisation dans des zones d’application où la résistance à l’impact est essentielle (Exemple dans les endroits ou régions sujet aux ouragans où chaque objet à l’extérieur de l’édifice peut agir comme un projectile);

4. La délamination est toujours un phénomène préoccupant pour les ingénieurs;

5. Leur coût est élevé;

Comme décrit plutôt, la peau des panneaux de construction d’ASC est en thermoplastique qui possède la caractéristique d’être entièrement non toxique. De plus, grâce à sa flexibilité structurelle, elle ne se fragilise pas du tout même à des températures très froides pouvant atteindre – 40º Celsius. C’est d’ailleurs, le matériau de plus en plus utilisé de nos jours par les compagnies d’automobiles pour fabriquer les pare-chocs des nouvelles voitures. La résistance à l’impact des thermoplastiques constitue le point fort le plus remarquable de ces derniers. ASC a déjà mis sous test d’impact son panneau lequel s’est déroulé avec grand succès dans le cadre du test standard de missile qui est exigé pour des maisons situées dans les zones propices aux ouragans (voir :annexe 3). 

Parmi les autres avantages des panneaux ASC qui pourrait favoriser l’usage de ce produit se situe au niveau de la réduction des coûts d’installation ; en effet, les panneaux ASC ne demandent pas de systèmes d'installation compliqués. Les mêmes outils que le bois (par exemple) peuvent être utilisés pour les installer. Il est aussi possible d'utiliser des adhésifs et même d’employer des techniques de soudage pour relier les panneaux entre eux. De plus, l’installation des panneaux se fait de façon simple et rapide. Par exemple, une maison de plus de 1000 pieds carrés est construite en moins de 2 jours à l'aide de 4 ouvriers;

En comparaison avec des maisons traditionnelles, les maisons bâties en utilisant des panneaux ASC sont moins chères tant du point de vue de leur construction que de leur entretien. De plus, en raison de la qualité et du niveau très efficace et élevé de l'isolation des panneaux ASC et de la possibilité de fabriquer des sections sans couture et de grande taille, les coûts de chauffage et de climatisation ainsi que ceux d'entretien sont considérablement réduits.

Annexe III

Application de la tribo-électricité dans le traitement des eaux usées et de la désalinisation de l’eau de mer

La couronne électromagnétique nous permet de briser les molécules (sans production radioactive de neutron) et de séparer leurs atomes pour certaines applications ; c’est le cas pour le traitement des eaux usées et/ou pour la désalinisation de l’eau de mer.

Dans une autre application nous intégrons un atome d’oxygène à l’intérieur d’une molécule d’eau.

Problématique de l’intégration d’une molécule d’oxygène dans l’eau

Figure 1. Deux molécules d'eau H2O se font face. Les deux molécules encerclées sont maintenues stables et permanentes par la force nucléaire forte. Si nous introduisons deux molécules d’oxygène entre les molécules d’hydrogène se faisant face, alors nous avons convaincu les molécules d’hydrogène disponibles d’intégrer les deux molécules d’oxygène, par un lien atomique stable mais non permanent, tout en maintenant le lien fort d’origine. C’est le rôle de la force nucléaire faible de créer ce lien additionnel. Nous sommes toujours en présence d’une molécule de H2O.

Annexe IV

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