Les Chakras

Publié il y a 4 ans
Par Fulmina Institut
Chakras
extrait du livre “les Clés d'Arya”

[…] L'univers ainsi que le corps humain sont composés, à l’échelle de l’infiniment petit, à l'image de l'infiniment grand. Hermès Trismégiste (“Thot”) nous dit : « tout ce qui est en bas, est comme ce qui est en haut » Notre corps est parcouru de multiples circuits ou lignes d'énergies qui le parcourent en tous sens, autant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Les Indiens appellent ces lignes les nadis, les Chinois les méridiens. Ces canaux énergétiques physiques ou éthériques existent depuis la création de l'homme. Nos ancêtres humains avaient une maîtrise parfaite de ces lignes énergétiques et de leurs chakras (ou çakras) ainsi que des différents corps subtils. Les chakras et les différentes enveloppes vibratoires de notre corps sont en résonance avec différents plans fréquentiels, qui eux-mêmes sont en relation avec notre univers, qui, lui-même, fait partie de sept sous-univers et de galaxies, donc de l'infiniment petit à l'infiniment grand. 

Nous avons sept corps subtils qui sont en relation avec sept chakras ou roues de lumière ayant chacune une couleur particulière et étant directement reliées aux énergies planétaires et aux sept glandes endocrines (les humeurs). 

Quels sont ces sept chakras ?

- Muladhara (couleur rouge) : le premier chakra se trouve à la base de la colonne vertébrale, la racine où la lumière monte de la coupe (la matrice). Il est le lieu où réside l'énergie de vie (les cellules souches), les surrénales. Il est comparé à la région sacrée et assis en position du lotus : il est le bonheur.  

Muladhara, le premier chakra, met l'homme en contact avec les forces planétaires et Sahasrara, le septième chakra, met l'homme en contact avec les forces cosmiques les plus élevées de notre énergie solaire. 

Aucune action extérieure ne peut modifier la nature karmique d'un chakra. Un chakra est émetteur et récepteur d'énergie. 

Muladhara chakra sert d'appui à tous les autres chakras, celui-ci étant logé à la base de l'épine de la colonne vertébrale éthérique. L'âme est par ce centre reliée à la volonté existentielle dans toutes les formes matérielles de notre monde physique. Il est le siège de l'influence du Saint-Esprit de notre planète, notre mère du monde : La Vierge et la matière vierge.

Sahasrara, le septième chakra, est le lieu de rencontre ou l'esprit rejoint la matière. Cette fusion est possible par le nadis Sushumna. 

Muladhara est le chakra de rencontre entre la monade, siège du Père en nous : Sahasrara chakra.

Muladhara chakra est la mère de la matière : « Kundalini » le serpent du « Feu » est enroulé à la base de la colonne vertébrale.  

- Svadhisthana (couleur orange) : le deuxième chakra, le siège de soi. C'est le lieu unique où la nature primordiale irrigue les gonades ou les ovaires. Il est le lieu de la sexualité et de la sensualité, il est d'ailleurs fort perturbé dans notre civilisation actuelle. 

- Manipura (couleur jaune) : le troisième chakra, la ville ou cité des pierres précieuses. Il correspond au pancréas, au foie. Il gère l'émotionnel. 

- Anahata (couleur verte) : le quatrième chakra, la force qui assoit le caractère supérieur. C'est le chakra de l'amour et du cœur.

- Vishuddha (couleur bleue) : le cinquième chakra, la purification ou l'invocation (le verbe). Il est en relation avec la thyroïde et parathyroïde. 

- Ajna (couleur indigo) : le sixième chakra est le centre du troisième œil, la vision cachée ou la claire vision. Il est en relation avec la glande pituitaire, l'hypophyse.

- Sahasrara (couleur violette) : le septième chakra est au sommet du crâne et correspond au siège de Dieu dans l'homme. Il dirige la glande endocrine, la pinéale.

Il existe un autre chakra approximativement à vingt centimètres au-dessus du septième chakra. C'est le siège du principe du père universel ou cosmique. 

Les chakras sont en relation avec des vertus, des qualités ou des vices.


  1. Muladhara. Vertu : tempérance ; qualité : sobriété ; vice : gourmandise.


  1. Swadhisthana. Vertu : force ; qualité : chasteté ; vice : luxure.


  1. Manipura. Vertu : prudence ; qualité : douceur ; vice : colère.


  1. Anahata. Vertu : justice ; qualité : charité ; fraternité, vice : envie.


  1. Vishuddha. Vertu : charité ; qualité : générosité ; vice : l'avarice.


  1. Ajna. Vertu : espérance ; qualité : courage ; vice : paresse.


  1. Sahasrara. Vertu : fois ; qualité : humilité ; vice : orgueil.


Ils correspondent aussi à des sons, à des formes géométriques, comme les huit points du double tétraèdre : énergie lévogyre pour l'homme et dextrogyre pour la femme. Ils réagissent à différentes fréquences de notre environnement ainsi qu'à nos pensées et émotions. 

La vibration de ces chakras influence la qualité vibratoire de notre ADN et ARN. L’ADN est composé de quatre bases protéiques et de vingt-quatre acides aminés. L’image symbolique des quatre éléments et des vingt-quatre énergies composées de douze énergies positives et douze énergies négatives. 

L'image symbolique des quatre éléments (Terre, Eau, Air, Feu) et des vingt-quatre énergies composées de douze énergies positives et douze énergies négatives. Ces roues de lumières suivant notre évolution physique (hygiène de vie), émotionnelle, mentale et spirituelle, agissent par leurs énergies et ouvrent certaines lectures différentes (clés de passage : support vibratoire / énergie vibratoire). Ils agissent sur la codification et la lecture de notre patrimoine biologique et peuvent nous permettre d'avoir accès à d'autres plans de consciences qui influencent notre vie et la réalité de celle-ci.

Nous sommes un ensemble organique holographique en relation avec le grand tout : le un, la lumière. Notre capacité est à l'image de Dieu, elle est sans limites (Yoga, théorie des cordes).

Sahasrara est représenté chez les bouddhistes par une coiffe qui recouvre la tête du Bouddha « les mille pétales » et chez les chrétiens par une auréole entourant la tête des Saints.

Toutes les hormones et leur fonction sont régies par le chakra Sahasrara. Il est le centre unique et le siège de l'atome permanent du corps causal, la mémoire de nos champs d'expériences antérieures. Les êtres planificateurs de la vie humaine ne permettent pas à l'être humain d'aller sonder les vies ou mémoires de son propre passé, mais certains flashs peuvent survenir lors de chocs affectifs, d'accidents, etc. 

Cela est une mesure de sécurité, car si un être humain pouvait avoir accès à ses mémoires ou « impressions karmiques » et qu’elles parvenaient à sa conscience sans être préparées, cette mémoire akashique serait certainement insupportable et l'être humain pourrait être dans l'incapacité d'en assumer la révélation. Il nous faut pour cela avoir un corps émotionnel astral et un corps mental le plus pur possible et avoir la capacité émotionnelle d'en assumer les conséquences. 

Quand l'âme revient dans un corps de chair (incarnation *), les maîtres de notre évolution nous font oublier les images passées. La pratique de certains yogas peut ramener à la conscience certains souvenirs. Les yogis nomment ces moments « Samskaras ». 

* Note : Incarnation : c'est l'incarnation de l'âme dans des corps de chair successifs. Réincarnation :  c'est l'étape où une âme évoluée (avatar) choisit de revenir avec sa même  conscience dans un corps de chair.

Les souvenirs remontent à la conscience comme des lames de fond et au fur et à mesure que le yogi avance, il acquiert une maîtrise et une conscience de la triple personnalité humaine : physique, mentale et causal. Cela fait ressurgir à un rythme plus ou moins rapide la conscience passée et cette révélation lui permet de se libérer. Mais ce ne sont que des images clés des vies et mémoires passées. La mémoire totale est inscrite dans une mémoire mère, dite « Akashique ».

Le centre Sahasrara est caractérisé par la couleur violette (ésotérique) et blanche (exotérique). Ce chakra est le siège de la Monade humaine et de l'humanité : le père cosmique. La Monade est un être (vous-même) qui vit sur son plan de conscience propre. À chaque être humain correspond une monade. En général, dans notre civilisation occidentale, nous ne recevons pas  l'enseignement nous permettant d'être au stade d'évolution de la conscience permettant d'établir une relation consciente avec notre propre Monade, qui elle-même est en relation avec le Père : la Monade universelle. 

Mais par intermittence, l'homme reçoit en provenance de sa Monade des stimuli afin qu'il progresse (inspiration, idée de génie). Il faut pour cela que son corps mental et son corps astral soient comme des vitres propres laissant passer la lumière blanche. 

Muladhara chakra a en lui Ishta-Devata : la représentation de la mère du monde, qui est la mère incarnée dans notre planète. La maîtrise de l'énergie Kundalini nous permet de rentrer en contact avec le Serpent de Feu Ishta-Devata, notre ange gardien qui, comme une mère, s'occupe de notre âme en évolution. C'est grâce à Ishta-Devata que le processus d'évolution par l'épuration (Karma) s’accomplit. Notre ange gardien est là pour réaliser et nous aider dans nos souhaits matériels. 

Sahasrara chakra, le siège de la Monade, notre père en nous, n'a pas pour but de nous aider dans notre vie matérielle physique. Son souhait est de nous faire aboutir au plan le plus évolutif afin de nous faire quitter la matière, et d'en avoir la maîtrise. Sahasrara est la réunion et la synthèse de tous les chakras. Il est le centre d'expression de la Monade, siège ou est implanté le corps causal de notre âme. Les yogis le nomment « Brahmarandhra », le lotus où siège la conscience du Dieu Brahma ou Dieu le père. Il est en relation avec le soleil spirituel de notre système solaire. 

Il diffuse dans notre âme humaine l'énergie de l'ajusteur de conscience et la volonté divine. Il est en relation avec la Mère et c'est par la mère que nous pouvons entrer en relation avec lui, d’où la parole de Jésus, « Priez la Mère pour qu'elle parle à son Fils et que le Fils parle à son Père ». La prière faite avec sincérité établit un lien avec notre ajusteur de conscience.

La Monade est l'expression pure et parfaite de la personnalité de Dieu qui habite chaque homme. Cette révélation de la Monade et de la conscience du Père fut donnée à l'homme et au monde par Christ incarné dans Jésus de Nazareth ou Jésus le Nazaréen.

Le maître Jésus fut adombré par Christ. Cette relation de l'homme avec Dieu était jusqu'à cette époque peu connue de l'homme ordinaire. Elle était avant Jésus Christ plus impersonnelle. Jésus, fait Christ, enseigne cette vérité et nous dit que Dieu est réellement et personnellement en présence dans chaque être humain et que chaque être a une réponse personnelle de son Père. 

Antahkarana, dans les textes hindouistes, est un pont, car le centre Sahasrara, pour être relié à la triple personnalité et pour qu'il y ait un contact conscient avec les plans supérieurs, a besoin de ce pont. Sushumna nadis, de par sa nature, ne suffit pas. 

Pour cela, il est nécessaire de créer ce canal causal triple qui longe Sushumna. C'est Antahkarana. La création de ce couloir causal qui relie le plan causal et le plan physico-éthérique ne peut se bâtir que par une vie spirituelle particulière et spécifique. Antahkarana n'acquiert toute sa valeur que si l'adepte détruit par lui-même en pleine conscience son corps causal.  

La glande pinéale est active chez l'enfant en bas âge. Cette glande rentre en sommeil à la fin des sept premières années correspondant à la constitution du corps physico-éthérique. De sept ans à quatorze ans pour le corps émotionnel, de quatorze ans à vingt et un ans pour l'ajustement du corps mental (d'où la majorité attribuée à cet âge), de vingt et un ans à vingt-huit ans pour le corps mental supérieur ou corps causal. C'est le même phénomène des sept premières années pour le thymus : cette glande endocrine va petit à petit se scléroser jusqu'à l'âge moyen de sept ans. Pendant cette période, elle va envoyer une information vers la moelle épinière pour construire notre immunité la plus importante avec la chaîne des lymphocytes “T” au nombre de huit. Il est étrange de constater que les lymphocytes “T4” servent de marqueurs immunitaires pour le Sida VIH 1 & 2, etc. Elles correspondent également aux huit types de cellules souches sous forme tétraédrique. Vous pouvez appréhender la toxicité de certains vaccins injectés avant l'âge de sept ans.

Nous aimerions faire une parenthèse au moment de la libération de l'âme et suivant le plan de conscience de la personne, ou moment de la mort physique. L'âme peut sortir du corps par différents plans de consciences : sur le plan astral inférieur ou supérieur par le troisième chakra, sur le plan mental par le quatrième chakra, sur le plan causal par le cinquième chakra, sur le plan bouddhique par le sixième chakra et par le plan Atmique par le septième chakra. Pour les âmes très avancées, le centre Sahasrara chakra est la sortie au moment de la mort physique. 

Sahasrara est composé de douze pétales majeurs, de 960 pétales secondaires de toutes les couleurs, et au centre, de 28 pétales. Sa glande endocrine correspondante est l’épiphyse, ou pinéale. Ce chakra contrôle aussi les plexus choroïdes et hypothalamique. Il est le seul chakra tourné vers le haut, sa corolle est blanche et au centre violette et a pour « Bija » le mantra : “om” ou “aum” ou “amen”. Les cinquante lettres du sanskrit y sont répétées vingt fois et se lisent de droite à gauche. Shiva est au centre du lotus, il est assis sur le cygne cosmique Hamsa, symbole de l'expiration Ham et inspiration Sa.

La Mère de la terre, pour s'unir avec son époux, le Père de l'universel cosmos, doit rejoindre Sahasrara.

La Kundalini est en relation avec les énergies primordiales de la Mère, du Fils et du Père. Kundalini pratiquée en pleine conscience de la Divinité, conduit à l'ascension et amènera, à l'étape prochaine, à la résurrection du Corps de Lumière. 

L'art du yoga (principe alchimique) est un enseignement complet de la connaissance des différents plans de consciences amenant à la compréhension de l'univers. Comprendre véritablement la discipline yoga (fusion) demande un chemin d’une à plusieurs vies. C'est une connaissance que nous avons du mal à appréhender simplement, car il faut pour cela être guidé dans la compréhension par Dieu ou par un ami dans la pratique, et oublier ce que nous pensons être la vérité. 

La figure géométrique symbole des énergies du centre coccygien est un cercle. Au centre se trouve un carré, et au centre du carré un triangle pointe en bas : c'est le Traipura, symbole féminin de la Shakti. Cette force féminine personnalise la Mère du monde : elle est l'énergie tellurique qui est en contact avec le cœur de notre planète. 

La force de la mère a une polarité négative. Elle contrôle l’existence et la loi de notre planète (le ki), qui sur le plan alchimique est symbolisé par le métal antimoine, dont le symbole est un cercle surmonté d'une croix.

Au centre du triangle, Traipura se dresse le sexe d'un homme en érection, le pouvoir créateur mâle (le bâton de vie). Son nom sanskrit est Svayambhu (स्वयम्भू) Lingam : un serpent qui s'enroule autour sur trois tours et demi et couvre de sa tête l'orifice du Lingam. Ce serpent représente la déesse Kundalini, qui renferme l'énergie shaktique, la puissance cosmique de la Mère et du monde matériel incarné. L'énergie du serpent Kundalini est enroulée de droite à gauche (dextrogyre). 

La loi d'évolution pousse l'esprit et la matière à fusionner, puis à s'incarner dans la forme physique : c'est le retour dans la forme physique, l'incarnation. Et toute carnation est une rencontre fusionnelle de ces deux principes : Mère/Père.

Quand l'énergie spirituelle de la Mère « le Serpent de Feu » remonte le long de la Sushumna, canal éthérique central, pour atteindre le chakra Sahasrara coronal et fusionne avec les énergies de la Monade, il se produit un éveil de la conscience de l'âme et de sa divinité. « Le Serpent de Feu » peut se transformer en serpent de sagesse et de connaissance (l'arbre de la connaissance). Il devient le Dragon de Lumière. Le dragon peut être symbole de sagesse mais aussi de folie. Il est important d'avoir suivi les étapes nécessaires de purification pour contrôler cette énergie fusionnelle contenant les deux polarités mère/père, représentant par fusion : le Fils. 

C'est pour cette raison que le mystère de la vie est dans toutes les Écritures saintes donné en formule et en langage poétique et raconté par une mythologie qui ne peut être comprise que si l'être humain (le disciple) est appelé à l'initiation. 

L'homme doit en connaître les principes et les appliquer, car cette puissante énergie mal canalisée peut se retourner contre lui. Celui qui contrôle Kundalini contrôle les forces élémentaires de la terre.

La Kundalini n'est éveillée et ne s'élève vers le centre coronal que si les centres d'énergie, les chakras, ont été pleinement éveillés et seulement quand Ida, Pingala et Sushumna sont libres et ouverts à la circulation de l'énergie Mère. L'être humain de notre civilisation a ces trois nadis principaux en grande partie bouchés. 

C'est pour cela qu'un travail de purification physique et spirituel (atomes germes) est nécessaire afin que l'énergie puisse remonter sans dommage et irradier par les chakras le corps éthérique de lumière.

Il existe de fines membranes de tissus éthériques entre chaque chakra. Ces membranes se trouvent le long de l'épine dorsale. Elles ne disparaissent de manière naturelle pour laisser passer l'énergie qu'en ayant une ascèse de vie et une maîtrise des émotions ainsi qu'une volonté spirituelle.

L'éveil prématuré de la Kundalini provoque une brûlure des membranes éthériques entre les chakras. Nous sommes confrontés à des visions du bas astral inférieur. Cela peut provoquer un profond déséquilibre du corps physique. Quand nous sommes appelés à l'initiation, nous ne devons pas provoquer les étapes sans compréhension. 

L'éveil prématuré nous confronte aux Gardiens du Seuil, et si la Kundalini s'éveille prématurément, elle précipite dans la conscience du disciple la somme totale de son karma qu'il n'a pas encore éliminé. Cela peut prendre l'aspect d'un “dragon” terrible sur le plan émotionnel (astral). Tous les disciples passent par cette étape, racontée dans les mythes, tel Orphée descendant aux enfers et confronté à l'hydre. C'est le “dragon” des enfers, c'est la descente dans sa propre psychée pour affronter son “dragon” (mémoire) de la terre. 

Personne ne peut contourner cette étape nécessaire, c'est la loi de l'initiation. Il nous faut du courage, de la foi, de l'amour afin de contrôler toutes les peurs. Il nous est nécessaire d'acquérir la maîtrise physico-éthérique, astral et mental pour travailler avec cette énergie kundalini. 

Aucun disciple, même si l'énergie entraîne une manifestation de pouvoir sur les quatre éléments (terre, eau, air, feu), ne doit les utiliser pour une cause personnelle. La manifestation du pouvoir n'est jamais le signe d'une bonne évolution spirituelle. Il y a une grande différence entre le pouvoir et la puissance, l'un est donné par la Terre, et l'autre par le Ciel. C'est ce que Jésus exprime : il fait parler par cette manifestation l'amour de son Père (miracle). 

Depuis un siècle, beaucoup de révélations ont été données et certaines personnes pensent que la science du yoga ainsi que les secrets des fondements de notre race humaine sont accessibles facilement sans effort par des techniques métaphysiques, de méditation transcendantale, alors que la méditation ne peut pas être autrement que transcendantale.

Ces mystères ont été de tout temps enseignés avec discrétion, et ils étaient accessibles quand la personne était prête à la compréhension. Alors pourquoi aujourd'hui les initiés ou adeptes l'enseigneraient comme une vulgaire technique contre de l'argent et donneraient les clés pour ouvrir cette porte ? Cette ouverture est le fruit d'une longue ascèse couplée à une pratique quotidienne de respect et d'amour de l'autre. Cela ne s'achète pas.

Kundalini est une pleine alchimie de l'être.

C'est aussi la rencontre avec « l'Esprit ».

L'univers est composé de trois principes : le Père, la Mère et le Fils, que l'on nomme les trois logos universels. Ces trois logos constituent l'archétype du “Super-Univers” (le paradis) et habitent les sept univers. Nous sommes représentants d'une race humaine qui vit sur Terre mais dont l'origine n'est pas terrestre. Notre plan vibratoire terrestre, le Ki, est composé de trois paliers ou mondes vibratoires principaux. Le monde vibratoire le plus bas est composé  de deux plans. Le monde vibratoire du dessus est composé également de deux plans, nous sommes au milieu de ces deux mondes.

Les sept mondes vibratoires de notre système solaire se retrouvent également dans le corps éthérique vital de notre planète “Mère Terre”. Les sept chakras principaux de l'homme sont en relation avec les sept niveaux fréquentiels de son corps physico-éthérique, qui lui-même est en relation vibratoire avec le corps éthérique de notre planète. L'humain originel engendré par Dieu est normalement gardien de sa planète. Son corps de lumière renferme le principe du Père, le principe de la Mère et le principe du Fils. 

Nos centres énergétiques (chakras) sont en relation avec les sept centres énergétiques de notre planète et les sept plans vibratoires de la conscience universelle. Les trois principes : Père, Mère, Fils représentent les trois principes alchimiques : le soufre, le sel et le mercure. 

Ces trois principes vont apporter l'énergie universelle de vie à notre corps par nos chakras et par le corps physico-éthérique.

Les chakras ou roues de lumières se comparent à des fleurs ayant des pétales en relation avec les nadis (lignes d'énergies). Chaque chakra reçoit des photons de lumière et exprime une couleur qui émet un son qui lui est propre. Ces sons se prononcent sur différentes octaves. On les appelle des Mantras. On les retrouve dans toutes les connaissances religieuses : la prière, les louanges, le “OM” chez les Indiens, le "AMEN" chez les chrétiens et les hébreux, et "AMINE" (آمين) chez les musulmans.


Muladhara : quatre pétales et quatre nadis.


Swadhisthana : six pétales, six nadis.


Manipura : dix pétales, dix nadis.


Anahata : douze pétales, douze nadis.


Vishuddha : seize pétales, seize nadis.


Ajna : quatre-vingt-seize pétales, quatre-vingt-seize nadis.


Sahasrara : neuf cent soixante pétales, neuf cent soixante nadis. 

Chaque pétale correspond à un son précis. Le soleil émet une énergie vitale composée des sept fréquences de bases. 

Les sept fréquences apportent une énergie dynamique aux sept mondes ou plans cosmiques incarnés dans le corps physique : c'est le prana solaire composé de particules issues de lumière. Cette lumière alimente les centres énergétiques de notre planète par le plan physico-éthérique de celle-ci, qui elle-même alimente notre corps éthérique par le chakra Swadhisthana et plus particulièrement par un organe : la rate (la lumière de ce chakra est de couleur rose). Le prana ou force pranique inonde tous les règnes de la nature (la fréquence lunaire à un moment précis de l'année peut traverser un mur de plomb de 30 mètres d'épaisseur).

- Le Muladhara chakra est le siège de l'énergie féminine : la mère du monde. Il est relié au centre de notre planète. Cette énergie est aujourd'hui endormie pour la plupart des êtres humains. Dans les textes anciens indiens, sumériens, babyloniens, égyptiens et sud-américains, Muladhara personnalise, pour chaque personne humaine, la présence de la Mère du monde et la mémoire. Il est le principe (alchimique) sel.

- Le Sahasrara chakras qui est au sommet du crâne (Golgotha) est le siège du Père. Il est le principe (alchimique) soufre. Le Père, c'est la présence de la Monade (voir gnose), notre ajusteur de conscience. Il est l'énergie masculine.

Le principe du Père contient une énergie de caractère électrique de vie appelée Fohat. C'est l'esprit des univers, la puissance créatrice du Père, le soufre alchimique universel : le premier logos.

Nous pouvons dire que Prana (le souffle) est la conscience de l'univers, l'amour, la sagesse du fils. Il est le principe mercuriel alchimique universel : le deuxième logos. 

De façon plus simple, Muladhara renferme le principe de la Mère, Sahasrara le principe du Père, Prana le principe du Fils.

Kundalini est reliée à l'« Akasha », la matrice, la mémoire : la matière de l'univers, l'intelligence de la mère, la féminité, le principe sel alchimique : le troisième logos. 

Ces trois énergies forces agissent sur la matière de l'infiniment petit à l'infiniment grand. Elles composent l'énergie de notre corps physico-éthérique et habitent notre matière organique, mais aussi celle de notre planète, la Terre, qui est notre Mère à tous. 

Le maître Jésus, qui devient Christ, nous laissera deux prières. L'une est connue, c'est le notre Père, mais dans les textes apocryphes, il aurait laissé une deuxième prière, le notre Mère.

Le corps humain serait organisé, voire composé de la même manière que les sept univers.

Dans la matière moléculaire ou plus petite, atomique, nous avons une représentation analogique de ce principe, par les électrons, les neutrons et les protons. Mais encore plus petit par les quarks ou les tachyons, qui sont soumis à une Loi très particulière : 

  • l'énergie électrique du Père les accélère, 

  • l'énergie magnétique de la Mère les ralentit,

  • la résultante de ces deux énergies appliquée sur les forces quarks ou les tachyons contractent le temps. 

L'énergie du Fils, par son électromagnétisme, leur donne le mouvement. Nous pensons que certaines civilisations antiques avaient acquis ces connaissances du déplacement dans l'espace et le temps.

Ils sont une représentation dans l'infiniment petit de l'énergie qu'est Kundalini ou troisième logos, qui organise la nature par une énergie magnétique universelle. 

Le Prana, deuxième logos, l'âme, notre conscience universelle, apporte vitalité à la matière par l'amour : la sagesse du Fils solaire et des lois de l'électromagnétisme (ce qui explique l'art de la guérison par les mains). 

L'esprit du Père, la volonté divine (Fohat) : le premier Logos donne cette cohésion à la matière en appliquant les lois de l'électricité universelle (la vie).

Ces trois principes forment et composent sept couches énergétiques ou quantiques (état quantique).

Ces trois logos composent la matière atomique, le corps éthérique (éther physique) et l'éther cosmique ou corps cosmique.

Le principe du premier Logos : le Père, la Monade et Kundalini le troisième Logos, la Mère, soit l'électricité et le magnétisme sont alimentés en énergie vitale et dynamique par le Fils Prana, le deuxième Logos : l'électromagnétisme. 

Le principe, sel (Mère), mercure (Fils) et souffre (Père), vont donner vie, force, sagesse, vitalité au corps physique éthérique et constituer ou matérialiser la constitution et le mouvement des quatre éléments : terre, air, eau, feu, et les quatre tempéraments : sanguin, lymphatique, mélancolique et bilieux du corps physique dense, chimique.

Quant à l'éther cosmique (son plan physique), il est composé de sept mondes habités.


  1. Le monde de Dieu, le plan Adique.

  2. Le monde des esprits vierges, le plan Anupadique.

  3. Le monde de l'esprit Divin, le plan Nirvanique.

  4. Le monde de l'esprit vital, le plan bouddhique.

  5. Le monde de l'esprit humain ou race humanoïde, le plan Manasique.

  6. Le monde du désir, le plan Karmique.

  7. Le monde physique, le plan Shulique.


Les quatre mondes cosmiques forment le corps éthérique immortel ou le corps de résurrection, le corps de lumière. 

Revenons aux sept fréquences du soleil qui émet une énergie vitale, le Prana.

Le soleil émet donc une énergie vitale septuple qui dynamise et vivifie notre structure organique dense et notre structure énergétique subtile, mais aussi les corps subtils de notre planète. 

Le Prana est aussi (même plus) important que notre alimentation pour notre corps. D'ailleurs, certains humains peuvent avec cette pratique yogique/christique d'amour et de prière, se passer d'alimentation organique. Cela est dû à une augmentation vibratoire de leur corps entier, causée par la révélation de la conscience spirituelle, l'élévation de l'âme. 

Le règne végétal absorbe lui aussi cette vitalité du Prana solaire. Le Prana se concentre dans l'atmosphère jusqu'au milieu de la nuit (l'heure de passation du magistère Angélique). Le règne végétal fixe ces particules de vie jusqu'au matin, c'est d'ailleurs pour cette raison que les anciens herboristes médecins ramassaient les plantes médicinales le matin au lever du jour. Nous devons faire de même pour la rosée de printemps (masculine) et d'automne (féminine), ainsi que pour nos légumes, d'origine naturelle et ancestrale, et éviter toute assimilation de végétaux génétiquement modifiés ou clonés avec des particules animales. 

Les anciens textes parlent de dix sortes de Prana, dont sept ayant leurs couleurs et leurs principes spécifiques. Dans le Gheranda Samhita, un livre sacré indien vieux de plusieurs milliers d'années (on se demande comment ils avaient toutes ces connaissances et quelle est la civilisation qui leur a donné...), ils sont réduits à cinq. On les appelle les cinq Vayus. Ils sont la différenciation des cinq Pranas dans le corps physico-éthérique, mais par rapport à notre sujet, il n'est pas nécessaire d'en donner la signification. Nous dirons simplement que le chiffre cinq se retrouve partout : cinq doigts de la main, les cinq moudras, les cinq sens, etc. Le chiffre cinq est le seul chiffre à structure pyramidal carré, la pointe en haut symbolisant le Père et la pointe en bas symbolisant la Mère. 

Les plus vieilles traditions écrites ou orales planétaires léguées par les Nagas nous enseignent que notre  ange gardien (Ishta Devata) a ses racines dans le centre de notre chakra Muladhara, que la mère du monde, l'origine de la vie, y est incarnée, et que notre septième chakra est le siège du père, le principe masculin, où siège notre Monade, notre ajusteur ou notre directeur de conscience spirituelle. 

Kundalini nous amène à une relation très importante à comprendre et à vivre entre le principe du Père (la Monade) et le principe de la Mère (notre mémoire). Donc, de fusionner les deux principes, le féminin et le  masculin, et ainsi sortir de la dualité pour retourner au principe de l'unité, l'androgynie : le UN.

Sahasrara, le centre coronal, est le siège d'un atome germe permanent causal : le corps causal lui-même. Cet atome germe causal contient tout le programme de notre évolution et nous ramène à notre perfection. Il enregistre la mémoire spirituelle et physique de nos vies passées et présentes.

Nous avons donc expliqué les deux atomes germes du Père Sahasrara et de la Mère Muladhara. Nous allons maintenant expliquer les autres.

Anahata est le siège de l'atome permanent physique. Il est logé à la pointe du ventricule gauche du cœur physique.

Swadhisthana, avec le centre splénique de la rate (couleur rose), est le siège de l'atome permanent éthérique. 

Manipura est le siège de l'atome permanent astral ou émotionnel. Il est logé dans le foie, en relation avec le centre ombilical.

Ajna, le centre pituitaire, glande hypophysaire, est le siège de l'atome permanent mental. Le centre mental se décompose en deux parties, le mental inférieur et le mental supérieur que nous pouvons définir par le mental objectif et le mental subjectif. 

Ces atomes germes sont en relation avec huit types de cellules souches... Il est évident que la science qui, aujourd'hui, pense avoir compris l'utilisation de ces cellules à des fins de régénération, n'est pas forcément dans l'éthique et la compréhension des effets iatrogènes que cela peut entraîner.

Les nadis ou méridiens, qu'ils soient physiques ou physico-éthériques, sont des lignes de circulation de l'énergie pranique. 

Les livres tantriques (le Bhuta Shuddhi Tantra) nous parlent de soixante-douze mille nadis, qui sont en relation avec les soixante-douze codifications de base de notre ADN et ARN (soixante-douze mille divisés par soixante-douze, égal mille ; mille est un nombre cabalistique correspondant à la lettre X, ce qui n'est certainement pas un hasard). Notre ADN est composé lui-même de quatre protéines et de vingt-quatre acides aminés. 

D'autres textes parlent de cinq cent cinquante mille nadis, mais tous ne sont pas physiques (méridiens). Tous les nadis ne suivent pas le trajet des nerfs, des artères et des veines (en médecine chinoise dont l'origine est védique). Certains sont physiques, d'autres sont éthériques. Ces lignes d'énergies sont des véhicules entre les centres de forces : les chakras, les organes et le corps éthérique. 

Kundalini est composée de trois nadis principaux : ils sont le fondement, les piliers de notre véhicule physique et forment la colonne vertébrale. 

Pingala nadis : le canal de droite, le principe du soufre du Père.

Ida nadis : le canal de gauche, le principe sel de la Mère.

Sushumna nadis : le canal central, le principe mercuriel du Fils.

Le symbole de ces trois nadis se trouve également dans certaines des constructions léguées par les Compagnons maçonniques.

Quand vous entrez dans une cathédrale, vous avez trois portes. La porte de gauche, la porte de droite et la porte centrale. Ces trois portes vous amènent à l'autel de Dieu ou à la rosace coronale.

Si vous prenez la porte de gauche, la porte de la mère, vous êtes en énergie lévogyre. 

Si vous prenez la porte de droite, vous êtes en énergie dextrogyre. 

Si vous prenez la porte centrale, la voie de fusion, vous prenez la voie du Fils. Les anciens maîtres Compagnons de l'ordre du Temple savaient cela... 

La moelle épinière, ou canal rachidien, se trouve au centre dans la colonne vertébrale. Il est le système nerveux cérébro-spinal, il représente la matérialisation organique et chimique de Sushumna nadis, qui prend sa racine dans la région sacrée du coccyx (sacrum) et qui remonte jusqu'au sommet du crâne en passant par le haut de la nuque, la zone bulbo-protubérantielle ou Alta Major qui est aussi un chakra, il représente le gardien du seuil. Les proportions de la forme géométrique entre la zone bulbo-protubérantielle ou Alta Major, l'hypophyse et l'épiphyse, se trouvent dans le calcul géométrique de la Grande Pyramide de Gizeh.

De chaque côté de la colonne vertébrale, il y a une chaîne ganglionnaire réunie par des fibres nerveuses ; le sympathique ou végétatif orthosympathique. Il prend lui aussi sa racine dans la zone sacrée et remonte jusqu'à la base du crâne, mais il s'arrête à l'Alta Major. 

Le sympathique est double : à droite de la colonne vertébrale, il est la matérialisation organique de Pingala nadis et à gauche d’Ida nadis. Le sympathique est en relation par les nerfs avec les viscères du système digestif, du système respiratoire ainsi que toutes les parties du corps. 

Le système sympathique à double polarité (+/-) donne des impulsions informatives fréquentielles émanant du système nerveux central. 

Ces processus physiologiques ainsi que le système hormonal sont reliés par les nadis (méridiens physiques et éthériques) et les chakras en relation avec les glandes endocrines. Il existe un rapport étroit de fonctionnement entre le corps physique, physico-éthérique et éthérique, mais aussi avec le corps astral (émotionnel) et le corps mental, qui se décomposent en deux plans : le mental inférieur et le mental supérieur. Celui-ci reçoit les impulsions du corps causal. 

Le corps immortel de la conscience renferme le triple esprit, la triple personnalité divine, que les gnostiques appellent la Monade (le Père, la Mère et le Fils dans l'occultisme chrétien). 

Sushumna nadis est un canal d'énergie subtil reliant le corps causal immortel au corps éthérique ou physico-éthérique mortel. 

Les yeux ainsi que les narines sont en contact avec l'énergie d’Ida et Pingala. Nous retrouvons d'ailleurs cet enseignement analogique dans les textes égyptiens sur l'œil droit et l'œil gauche d'Horus. Celui-ci reviendra dans le corps d'Osiris et devient le fils d'Isis. Ne représente-t-on pas dans l'ancienne Égypte Isis tenant dans ses bras Horus, le fils d'Osiris ? Le troisième œil est cité dans la mythologie grecque (l'œil du Cyclope), mais surtout le troisième œil d'Horus : Vesica Piscis, dont le calcul mathématique et géométrique nous amène à la compréhension des Zéphires. Nous retrouvons les mêmes symboles dans les textes indiens.

Pour pratiquer Kundalini, nous faisons appel entre autres au souffle yogique apportant la maîtrise des cinq Pranas (cinq qualités de lumière) en relation avec les atomes germes. Il est important de connaître la géométrie et la couleur de chaque chakra. Visualiser la couleur d'un chakra pendant la méditation paraît simple, mais fixer la couleur demande une longue pratique ainsi que la maîtrise des sons ou mantras, qui peuvent être prononcés sur sept octaves différentes (du son le plus grave au plus aiguë). Les Mudras et la position des doigts et des mains sont importantes. Elles permettent de mettre en connexion les différents nadis avec les chakras et les énergies des plans de consciences. 

Quant à la prière, qu'elle soit chrétienne, égyptienne, tibétaine, bouddhiste, musulmane, elle fait toujours appel à l'amour et puise sa connaissance dans les racines profondes de notre connaissance humaine. 

Le travail qui mène à l'initiation est laborieux et dangereux, il se pratique par étapes. Le yoga n'est pas un jeu. Sans connaissances et sans respect des lois demandées, il peut s'avérer périlleux. Il nous faut respecter les sept qualités vertueuses de Dieu.

Sans cette position d'esprit, elle représente un danger d'équilibre de vie, d'âme et d'esprit. Vouloir pratiquer Kundalini, le Serpent de Feu, sans connaissance, sans être guidé et sans sacrifice de soi-même pour le service envers les autres, peut provoquer la folie (voir le Bardo Thodol). 

Il y a des connaissances que certaines civilisations intra et extra d'origines humanoïdes nous ont léguées il y a plusieurs centaines de millions d'années, voire beaucoup plus. 

Je pense que les “Porteurs de vie” ainsi que les administrateurs du plan, gardiens des décrets divins, ont laissé à l'homme il y a plusieurs millions d'années, voire milliards d'années, la connaissance. 

À cette époque, l'être humain fût engendré par Dieu et non pas créé à l'image des dieux. Il avait en lui les douze codifications biologiques et était conscient de son immortalité. Il était un gardien, engendré par les porteurs de vie sur notre planète, et était  responsable du jardin et de la faune animale de celle-ci (la conscience écologique).

À cette époque, les différentes civilisations porteuses de vie lui rendaient hommage comme étant un être parfait représentant la divinité et la sagesse sur la planète.

L'être humain originel était androgyne, il atteignait à cette époque les quatre mètres cinquante et certainement beaucoup plus, pour les êtres à polarité masculine, et trois mètres cinquante à quatre mètres pour les êtres de polarité féminine. Des textes ont été découverts  par des archéologues, mais n'ont pas été rendus publics, trop opposés à la thèse de Darwin. 

Il pouvait évoluer de la dimension vibratoire « Ki », qui est la nôtre aujourd'hui, jusqu'à la septième dimension. Son enveloppe physico-éthérique reflétait une couleur violet/rose à luminescence blanche : l'essence divine.

Il utilisait couramment la télépathie ainsi qu'un langage matriciel (d'essence féminine). Comme le verbe est créateur de vie, il ne le prononçait pas par la parole. Leur société ou vie sociale était en parfaite harmonie avec la loi de la source.  

Les porteurs de vie et la confrérie des applicateurs du plan divin avaient et ont toujours pour emblème le caducée, symbole de la connaissance, de la sexualité sacrée,  l'union du principe Père et Mère. Il existait d'autres symboles appartenant à d'autres porteurs de vie : l'aigle, le lion ainsi qu'un symbole représentant trois triangles dont les pointes se touchent. Le caducée est bien antérieur à Hermès (qui a porté d'autres noms, comme le nom de Thot). Dans les textes mythiques, Thot serait proche d'Osiris. Le symbole du caducée a une origine antédiluvienne, il est le symbole des porteurs de vie ayant donné la connaissance, de la fusion des deux principes masculin et féminin, représentant le principe du Fils, le principe christique (Sirius). À l'origine de notre humanité, le principe divin n'était pas séparé. Ce fût bien plus tard qu'il y eut séparation des principes Père et Mère, séparant de ce fait le principe de la connaissance et de nos origines : le Fils de l'Homme. 

Certaines civilisations, dont la Chine, appellent les deux serpents « les dragons ». Mais cela est une erreur, il y a effectivement une énorme différence entre la symbolique du peuple du serpent porteur de la connaissance et les dragons. Cette confusion fut amenée dans notre civilisation terrestre à l'arrivée de la rébellion...

Le caducée n'est rien d'autre que la représentation de cette source originelle. Il est constitué d'un canal central de couleur jaune or, qui a en haut une boule de couleur violette et à sa base un symbole matriciel représentant la matrice féminine de couleur rouge. De chaque côté de ce canal central sont présents deux serpents, à droite de couleur bleue et à gauche de couleur rouge. 

Ces deux serpents remontent entrelacés, formant à l'emplacement de chaque chakra une boucle (sept chakras, sept boucles) et atteignent le haut du canal central, face à face, en passant par les sept roues de lumière de couleur. Au-dessus de ces deux têtes de serpent (arbre de la connaissance), il y a deux ailes, qui peuvent appartenir à différents animaux : aigle, colombe ou phénix. Symbole de l'ascension de l'âme vers son immortalité, cette maîtrise des sept plans de conscience mène à l'ascension, donc à la libération des Karmas. Certains le représentent planté sur la colline ancestrale, lieu des origines. Il serait le symbole de l'arbre de la connaissance et de la vie.

Le caducée est aujourd'hui l'emblème de différents organismes ou sociétés, nous le retrouvons d'ailleurs en Chine dans différents organismes étatiques. Mais aujourd'hui, il est l'emblème du corps médical, le serpent d'Asclépios, le Dieu grec de la santé et de la médecine. Asclépios fut tué par Zeus et ressuscita. Il donna à l'homme les remèdes pour soigner ses maux. Chez les gnostiques, il est le symbole de l'androgynie primordiale et symbolise la chute de l'homme et sa remontée au ciel. 

Nous aurions préféré retrouver ce symbole sur le billet de un dollar, plutôt que l'œil des soi-disant « illuminés »...

La fusion de l'énergie mâle et femelle se retrouve dans l'union tantrique (tantra-yoga). L'union tantrique est l'union spirituelle et physique de l'homme et de la femme et non pas l'union mâle/femelle. Par l'acte sexuel tantrique, ils découvrent l'érotisme, le couple divin. Ils unissent leurs deux principes sacrés, Père et Mère, et donnent par cette communion fusionnelle la vie et l'appel de l'âme. 

Cela n'a rien d'un acte animal primitif consistant en la simple jouissance physique et la nécessité de procréer (la multiplication biologique). Elle permet l'incarnation d'âmes évoluées venant de notre planète ou d'autres univers.

Les postures sacrées du yoga tantrique forment l'union sexuelle et annulent la dualité (masculin/féminin). Elles amènent une transformation et une sublimation. Ces différentes postures ainsi que la pratique du souffle pendant l'acte de fusion réveillent les chakras et les nadis physiques, physico-éthériques, émotionnels et mentaux. L'acte physique ainsi appliqué provoque un plaisir physique et mystique. 

L'énergie phallique Lingam, transmise au principe sacré féminin, permet à la femme d'offrir l'énergie de la Mère au principe masculin. La conscience du Père incarne la conscience de la Mère (le soufre : le Père, s'incarne dans le principe de la Mère : le sel). 

Cet acte d'amour énergétique maîtrisé est guérisseur du corps et élève l'âme. Il est fusion. La mauvaise pratique de cette énergie sexuelle a créée dans nos civilisations les maladies endémiques telles que la syphilis et les maladies vénériennes.

Les taoïstes chinois comme les yogis de l'Inde et d'Égypte connaissent bien cet art.

Le yoga est une science complète. En dehors des positions physiques, chaque yoga a une action sur les différentes fonctions physiques, émotionnelles et mentales, et permet pour l'homme de fusionner avec son âme. Il est impossible que cette technique n’ait été trouvée d'une manière naturelle par l'homme. Elle nous a été révélée et enseignée il y a des milliers d'années.

Le yoga est composé de différentes pratiques qui englobent l'oratoire et le laboratoire.

L'oratoire comprend la prière, la méditation et la contemplation. Le laboratoire comprend les mouvements, les souffles, les sciences du son, les formes géométriques mentales et la connaissance des moudras. Et cela n'est qu'une toute petite partie de cette science à l’ampleur considérable. Il existe cent huit postures physiques de yoga ainsi que des postures pour l'étape « solve et coagula », permettant de réaliser l’œuvre alchimique du corps de l'âme et de l'esprit. 

Le yoga physique :


  • Hatha : la forme physique et le souffle ont une action sur l’aspect physico-éthérique (salutation au soleil qui comporte douze mouvements en relation avec les douze zodiaques en énergie yin et yang).


  • Mantra-japa-raga : il est le yoga des phrases musicales. Il a une action sur l'émotionnel (astral).


  • Yantra-mudra : le yoga de l'image symbolique et graphique à une action sur le mental objectif (plan mental inférieur).


  • Karma-yoga : il est le yoga de l'acte et de l'action. Il a une action sur le mental subjectif.


  • Kriya-yoga : pratique de l'ascèse, purification, consécration. À une action sur le plan cosmique et divin.


Le yoga émotionnel :

Il est composé de trois yogas, le Bharati, le Laya, le Nada.

C'est le yoga de la dévotion, de l'adoration, de l'amour mystique, du psycho-cosmique et de la vibration de la Kundalini. Il a une action sur l'aspect émotionnel supérieur et cosmique, et mental/causal. 

Le yoga mental :

Il est composé de trois yogas, Jnana, Sadhana, Dhyana.

C'est le yoga de l'intelligence exotérique, de la connaissance, de la sagesse, de la discipline, de l'attention, de la méditation et de la concentration.

Il a une action sur le plan mental objectif et causal.

Le yoga de l'âme :

Il est composé de deux yogas.


  • Raja-Samadhi : c'est le yoga alchimique de l'âme, de la personnalité de l'âme et de l'esprit. Il a une action et met en résonance le causal cosmique : le Divin. 


  • Kundalini-Shakti-Yoga : il est la fusion alchimique, personnalité et esprit. Il a une action sur le plan causal cosmique Divin.

Ces deux derniers yogas impliquent une connaissance du Kriya, Bhakti et Jnana.


La théorie des quatre éléments (élémentaires) :

Les cosmogonies considèrent que tout dans l'univers physique a pour fondement le quaternaire des éléments. Ils sont formés par les éléments terre, eau, air, feu.

Néanmoins, certaines traditions remontant à l'incarnation des principes divins dans la matière donnent un ordre différent d’éléments, qui remonte à la phase d'incarnation des trois logos, lorsque notre planète s'est transformée du principe air au principe terre. Cela nous donne l'ordre des éléments suivants : air, eau, terre, feu.

Ce quaternaire (quatre éléments) amène sa perfection dans un cinquième élément : le triple élément éther renfermant les trois principes ou l'expression de la vie divine originelle.

Le premier éther supérieur : le Père, principe soufre.

Le deuxième éther intermédiaire : le Fils, principe mercure.

Le troisième éther inférieur : le Saint-Esprit, la Mère, le principe sel. 

L'élément terre :

Soit l’élément solide, qui représente et contient le système des fonctions d'assimilations et de dissimilations. Cet élément chimique des solides est aussi l'attraction physique : le cerveau, le cœur, les poumons, la rate, le foie, l'estomac, l'intestin, les reins, le pancréas, la vessie, la colonne vertébrale, l'ossature.

L'élément eau :

Régit le système des fonctions endocriniennes et hormonales qui dirigent les humeurs et les liquides. 

L'élément air :

Régit les fonctions nerveuses en général (sympathique et parasympathique).

L'élément feu :

Régit les fonctions circulatoires, les artères et les veines. Il constitue la forme chimique de l'être et le véhicule de l'éther.

L'éther en trois Principes :

L'éther inférieur : est manifesté par la fonction et l'énergie sacrée, logée à la base de la colonne vertébrale. C'est l'énergie de survie, de reproduction du principe mâle et femelle. Il est le symbole de l'énergie du Saint-Esprit, la Mère qui irrigue la zone sacrée, siège de la Kundalini, énergie de la création formelle.  

L'éther intermédiaire : il est manifesté par la fonction cérébrale et spinale (colonne vertébrale). Il est l'expression de l'éther lumière qui régit la chaleur du sang et la fonction des cinq sens. Il symbolise l'énergie du fils qui irradie le système cérébro-spinal, le cervelet. Il est l'éther de la connaissance et de l'expérience (33 vertèbres).

L'éther supérieur : il manifeste l'énergie la plus élevée du corps éthérique. Il agit par le système des fonctions cérébrales les plus élevées de l'homme (pituitaire, pinéale). Il exprime et agit sur les pensées. Il est l'énergie symbolique du Père Divin qui irrigue le cerveau de l'homme. Il est l'éther qui donne l'expression de la volonté humaine.

Nous sommes dans notre structure composés de sept vêtements : le corps physique chimique, le corps physique éthérique, le corps émotionnel, le corps mental objectif, le corps mental subjectif, qui représente le corps de raison (causal, intelligence, vérité, manasique), le corps d'intuition (amour, sagesse christique/bouddhique, esprit vital), le corps de volonté (intuition, pouvoir, divinité, atmique esprit divin).

Il existe deux autres corps : le corps Anupadique et le corps Adique. 

Les quatre premiers corps représentent l'aspect matière et les trois autres corps l'aspect esprit. L'homme est corps et esprit, et l'âme existe dans ce corps. Elle se manifeste par le corps mental subjectif, ou corps causal, qui est l'expression de la triple conscience de celle-ci. 

La matière représente symboliquement le principe féminin universel, le corps de personnalité physique, matériel, notre nature animale instinctive. 

L'esprit représente symboliquement le principe masculin universel, la personnalité spirituelle, cette nature supra-consciente. 

L'être humain est matière et esprit, c'est un être androgyne, c'est une nature hermaphrodite : c'est l'être humain archétypal. L'humain hermaphrodite originel qui renferme l'éternel féminin et l'éternel masculin. C'est Dieu qui l'engendra à l'origine. 

De cette fusion de notre matière et de notre esprit naît le fils de Dieu, le fils de l'homme, notre âme, notre conscience universelle. Nous ne sommes ni notre corps ni notre esprit, mais les deux à la fois. 

L'âme est vivante, telle une lumière étincelante. Elle n'est pas une matière animale et n'est pas un pur esprit. Elle est semi-matérielle et imprégnée des quatre essences élémentaires de la matière qui forment la personnalité de celle-ci. 

Elle est semi-spirituelle, étant imprégnée des trois principes supérieurs, l'essence de notre nature spirituelle. 

L'âme n'est pas mortelle comme le corps, elle n'est pas éternelle non plus comme l'esprit, mais elle est immortelle comme la conscience. 

Nous nous sommes aperçus d'une chose très troublante ; notre quatrième chakra qui correspond aujourd'hui à Vénus a en mémoire une autre planète qui a existé il y a plusieurs milliers d'années dans notre système solaire. Nous  pensons que Vénus qui portait un autre nom à cette époque était un satellite de celle-ci. Cette ancienne planète dont Vénus était le satellite, avait une taille égale, voire supérieure à Jupiter. 

Quand elle a disparu, le satellite de cette planète (Vénus) a été projeté sur un axe elliptique à l'intérieur de notre système solaire. Elle effectuait son parcours sur un cycle très long, elle apparaissait à la planète Terre et disparaissait. Vénus est donc l'étoile du matin et l'étoile du soir. Cela est en relation avec (et peut nous expliquer) le mythe de la résurrection  d'Osiris en Horus, le nouveau-né qu’Isis tient dans ses bras ; le rituel du rappel de l'âme que les Égyptiens nommaient le Bâ, à ne pas confondre avec la résurrection de l'esprit, le Kâ. 

Nous retrouvons dans la légende indienne ainsi que dans les textes sud-américains le même rituel de mort et de naissance de l'âme, qu'il ne faut pas confondre avec l'ascension et la résurrection de Jésus en Christ. 

Jésus a confronté et a mis à nu le pacte du sang qui était gardé par les pharisiens. Comme nous pouvons le lire dans le nouveau testament, il dit : qu'ils étaient fous et aveugles. (Mathieu 23.17)

« Hypocrite (Mathieu 32.13). 

Des serpents engeance de vipères (Mathieu 23.33)

Les fils de tueurs, d'inspiré (Mathieu 23.31)

Vous, vous êtes du père le diable et vous voulez faire les combines de votre père (Jean 8.44).

La réincarnation est citée dans la bible et dans d'autres textes sacrés.

Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu (Saint-Paul) ? 

La résurrection commence là où finit le processus de réincarnation. Les premiers pères de l'église et de la tradition du Christianisme primitif croyaient à la doctrine de la réincarnation. De retour dans un corps de chair, l'âme donnait l'enseignement. Les textes anciens le prouvent, le Christ marque la jonction de l'Ancien et du Nouveau Testament et la réincarnation de l'âme est nettement citée dans les textes bibliques, mais aussi dans les textes sacrés de l'Inde. 

Shri Krishna dit à son disciple Arjuna (verset 27 du deuxième dialogue de la Bhagavad Gita) “en vérité la mort est certaine pour celui qui naît, la naissance est certaine pour celui qui meurt. L'inévitable ne doit pas t'affliger”.

Verset 13 et 22 du même dialogue :

De même que l'habitat du corps passe tant qu'il est dans le corps par l'enfance, la jeunesse et la vieillesse, de même il passe dans un autre corps, de même qu'un homme jette des vêtements usés pour en revêtir de neufs, de même l'être incarné jette les corps usés et entre en de nouveaux corps.  

Le prophète Isaïe, verset 11 du chapitre 8 de l’ascension du prophète ou l'éternel s'adresse à lui :

Je te le dis à toi Isaïe, tout homme retourne un jour dans sa chair mortelle.

L’ecclésiaste chapitre 14 : souviens-toi que la mort ne tarde point et que le pacte du séjour des morts t'a été révélé, car c'est une loi de ce monde qu'il faut mourir. Avant de mourir fait du bien à ton ami et fais l'aumône aux pauvres selon tes moyens. Avant ta mort pratique la justice parce qu'au séjour des morts il n'y a pas à trouver de nourriture.

Salomon verset 6 du chapitre 7 du livre de la sagesse :

"Pour tous l'entrée dans la vie est la même et le départ semblable." 

La résurrection : elle commence là où finit le cycle des réincarnations. Jésus avait deux enseignements, l'un exotérique : la parabole, l'autre ésotérique, qu'il enseigna à ses disciples et qu'il laissa aux différents initiés de l'humanité. 

La résurrection est un processus d'intégration à la vie de l'âme. C'est la transcendance des corps inférieurs périssables (physique, émotionnel et mental) à la naissance de l'âme dans un corps spirituel, incorruptible. 

Saint-Paul nous dit :

S'il y a un corps animal, il y a aussi un corps spirituel (Corinthiens chapitre 15, verset 14).

Il enseignait : "le premier homme tiré de la terre est terrestre, le second est venu du ciel, ce que j'affirme frère c'est que ni la chair, ni le sang ne peuvent avoir part au royaume de Dieu et que la corruption n'aura point part à l'incorruptibilité. Quand ce corps corruptible aura revêtu l'incorruptibilité alors s'accomplira cet oracle de l'écriture : la mort a été engloutie dans la victoire" (Isaac 25.8).

Nous pourrions citer d'autres paroles des livres de notre humanité, les exemples ne manquent pas.

L'âme, nous pouvons en parler de différentes façons et en différents termes explicatifs, car il peut y avoir trois plans d'interprétations : la Mère, le Fils et le Père (mais cela n'engage que nous). 

L'âme ayant subi les différentes étapes représente le Fils. C'est un principe analogique. L'âme est le produit du Père et de la Mère. De l'esprit et de la forme matière, de la vie et de la forme. Quand l'homme découvre son âme, il découvre qu'il a et qu'il est une conscience.

Il découvre les valeurs de l'esprit (sa monade), son ajusteur de conscience, et par ce fait, il prend conscience de la matière et de sa personnalité. Il découvre en qualité d'âme consciente qu'il évolue au travers de sept aspects de base, les sept rayons de forces.

Ces sept qualités tintent toutes les formes dans les règnes de la nature. Il prend conscience que son âme est imprégnée par l'une des qualités de ces sept forces ou rayons, et ce rayon de force qui tinte son âme va l'aider et lui permettre de réaliser le but immédiat de son existence. 

Cette conscience du soi lui permet de révéler les relations internes entre lui et les sept énergies de force : les sept rayons. Son âme progresse inévitablement à court ou à long terme par les cycles de vie incarnative, à la connaissance du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Par la suite, ayant atteint l'initiation finale, il s'unira à la conscience de Dieu, à l'âme du monde, puis ensuite au Père Éternel, l'Innommable. 

Nulle âme ne peut atteindre en une fois l'Esprit divin, la conscience du monde. Cette ascension se passe par étapes successives et chaque étape représente des difficultés et trouve sa solution, avant d'être franchie.  

On ne progresse dans la connaissance qu'en suivant le sentier de l'initiation. Ces traditions et ces lois ont été maintenues par les maîtres depuis la nuit des temps afin d'initier les disciples. 

L'initiation se divise en cinq degrés majeurs. Au terme de la cinquième initiation, l'homme est capable de sortir du cycle de l'incarnation. Il existe quatre initiations supérieures. La sixième est une étape préparatoire à la résurrection, la septième prépare le maître à s'incarner comme avatar (de Dieu). Au-delà de la septième, la huitième et la neuvième, il devient un fils de Dieu.

L'âme a son origine dans la conscience de son être sacré et cette essence sacrée a son origine dans l'Essence Divine. Cette conscience d'être prend toutes les existences et manifestations de la vie dans les formes. L'âme est le principe qui imprègne toutes les formes et constitue cette conscience de Dieu. L'âme du monde imprègne ce monde manifesté qui a sa vie dans l'homme, l'animal (âme de groupe), le végétal (âme de groupe), le minéral et le cristallin (âme de groupe). L'âme de chaque règne dans la nature progresse sur le chemin jusqu'à Dieu. 

L'âme prend son origine dans la conscience divine et l'univers est un immense rayon de lumière blanche qui passe par un prisme et manifeste six couleurs plus une. Mais cette séparation de la lumière blanche originelle n'est qu'une apparence (l'arc-en-ciel dans les textes sacrés symbolise le pont entre Dieu et l'homme). 

L'âme, fils de Dieu, naît donc de l'amour du Père pour la Mère, le désir de la vie pour la Mère (mémoire akashique). L'esprit et la matière s'attirent (le principe sel) et fixent l'esprit du monde. C'est ce qui amène à la manifestation, les sept émanations, les sept puissances, les sept rayons. 

Sept souffles de vies : prana.

Sept puissances, l’énergie de base : puissance.

Sept rayons : courant de force.

Chacun des sept rayons donne à l'âme une tonalité et une couleur de base. Lorsqu'elle est incarnée, elle donne son chemin de vie et d'évolution. 

Les sept rayons de vie :

Le rayon un : il représente la volonté et le pouvoir dynamique. Il est responsable de la destruction des anciennes formes et marque la fin des cycles. Il contrôle la mort de tous les règnes de la nature afin de libérer l'âme et lui permettre d'entrer dans la lumière. 

Le rayon deux : l'amour et la sagesse. Il est le rayon de la force du désir divin.

Le rayon trois : l'intelligence active et l'adaptabilité à la forme matérielle. C'est le rayon de la construction qui évoque la forme et la matière.

Ces trois rayons résument l’œuvre trinitaire et les quatre rayons suivants différencient la vie et ces qualités et donnent la multiplicité de celle-ci par l'infini des formes.

Le rayon quatre : l'harmonie, la beauté et l'art. Il harmonise les contraires.

Le rayon cinq : la connaissance concrète et la science des détails. La connaissance des formes que prend Dieu dans le monde manifesté. 

Le rayon six : la dévotion et l'idéalisme. Il permet d'idéaliser la vérité de Dieu par la dévotion et l'idéal du désir. 

Le rayon sept : l'ordre cérémonial ou de la magie blanche. Il est le pouvoir de l'ordre et donne le rythme à la force terrestre. Il est créateur de cette forme pour Dieu. Il donne les mots de pouvoir (le mantra). 

En résumé : le un est la volonté, le deux est l'amour sagesse, le trois est l'intelligence active, le quatre est l'harmonie, le cinq est la connaissance pratique, le six est la dévotion, le sept est la magie ritualisée. 

Chacun des sept rayons influence l'évolution de la famille humaine, mais suivant son cycle et son temps. L'humanité est composée de multiples âmes humaines. Ces âmes qui forment notre humanité sont toutes en progression. 

Elles s'incarnent cycliquement, souvent par groupe et évoluent au travers des sept grandes races. Chaque race d'origine a éveillé l'un des sept centres ou chakras du corps éthérique de l'humanité.

La première race hyperboréenne éthérique a provoqué l'éveil de Muladhara Chakra et a donné la volonté d'exister et d'être.

La deuxième race, Boréenne éthérique, a provoqué l'éveil de Swadhisthana Chakra. La force de vie coordonnée.

La troisième race, Lémurienne, a provoqué l'éveil de Manipura Chakra, qui a donné l'apparence physique. 

La quatrième race, Atlante, a provoqué l'éveil de Anahata Chakra, le psychique et le mysticisme.

La cinquième race, Aryenne, a provoqué l'éveil de Vishuddha Chakra, le pouvoir créateur matériel mais aussi l'occultisme.

La sixième race, la race à venir, éveillera Ajna Chakra, l’intégration de notre personnalité à l'âme, l'intuition.

La septième race, à venir, amènera l'éveil de Brahmarandhra Chakra, le septième chakra, la volonté de Dieu, la réalisation du soi.

L'homme a le pouvoir de se libérer de son emprisonnement par une fusion entre son âme individuelle et l'esprit universel. Pour cela, il faut demander la lumière et par la méditation, la prière, l'oraison et la contemplation, établir le contact avec notre Père.

Dieu exprime l'idéal :

Volonté du bien. Amour du beau. Intelligence du vrai.

Le trajet de Vénus, ancien satellite de cette planète, symbolise la nouvelle naissance de notre planète terre. Elle entraîna lors de son passage un cataclysme qui changea la rotation terrestre. La planète Vénus a pris sa position dans notre système solaire (elle n'est toujours pas stable), elle a mis en résonance de nouvelles fréquences et entraîne un changement vibratoire dans la codification de notre ADN, d'où l'importance de ce mythe dans notre histoire qui a été répétitive. 

Nous ne donnons pas pour le moment nos conclusions, mais nous pensons que la planète qui a disparu était le siège des “Planificateurs et des Porteurs de Vie”. À partir de ce moment, notre planète et notre système solaire se verront isolés du reste des galaxies jusqu'au moment de la naissance de Jésus, fruit de l'Immaculée Conception permettant la rédemption de notre histoire humaine sur Terre, survenue lors de la rébellion.

Jésus Christ est amour et abnégation, on ne peut le voir ni le toucher, mais cet amour peut-être expérimenté par tous, qu'ils soient chrétiens, musulmans, bouddhistes ou athées.

Christ est amour désintéressé et cet état de conscience provient d'une dimension à haute vibration, qui donne vie et nourrit notre être. Arrivé à une étape de notre évolution, les forces de la création que le Père engendre décident de faire descendre sur notre terre la force du Christ, qui prend chair au travers de Marie, par l'Immaculée Conception, afin de rééquilibrer l'énergie planétaire et de donner à l'homme la possibilité directe de l'entendement divin (Bouddha, Mahomet et d'autres guides de l'humanité sont nés d'une vierge). 

Christ s'incarne à un endroit géographique et dans un peuple ayant subi la rébellion et de multiples conflits ces derniers millénaires ; l'Orient et le Moyen-Orient. Cette force christique qui habite Jésus, qui habite tout homme, est soumise à des lois universelles. Elle doit se manifester au travers de l'homme : il est donc fait homme. Mais elle ne peut s'incarner dans n'importe quel homme, il faut que celui-ci soit prêt et d'essence pure. 

Le Père choisit Jésus le Nazaréen, un homme et une âme de maturité et de conscience pouvant recevoir cette puissante force. Jésus atteint la pureté et l'amour, mais aussi la connaissance et le discernement nécessaires pour s'unir à la force christique : son père et notre Père à tous.

Christ se manifeste par Jésus pour nous apporter la vérité et nous expliquer nos origines : l'amour de Dieu, celle de toutes les créations. 

Il a été éduqué selon les plus hauts principes et les plus hautes vertus. Envoyé à travers le monde, il voyage beaucoup pour parfaire ses expériences afin d'entrer le moment venu en fusion avec sa source, sa voix intérieure et son moi supérieur. Cela avait été prédit depuis de longue date et le règne de “An” touche par cette incarnation à sa fin. 

Il a été initié par de multiples épreuves à la vie de l'homme et préparé à son devoir : accueillir cette force christique pour devenir le fils de l'homme, le premier Christ incarné dans un corps de chair sur notre planète. Mais il n'est pas n'importe quel Christ, il fit avant six réincarnations dans les sept univers de la création divine et passant par Sirius, symbole du poisson, il fit la septième effusion par le corps de Marie, afin de naître en Jésus et d'être adombrer par son père à l'âge de 30 ans pour sa mission.

Sa crucifixion sur la croix rappelle d'autres crucifixions survenues dans notre histoire.

Avant l'arrivée de Jésus, le principe du Père et de la Mère fut séparé il y a plusieurs milliers d'années par le schisme, qui n'a pas de liens avec la rébellion, mais qui est une conséquence de celle-ci. Le principe du « Un », le Père contenant en lui-même la Mère et l'ordre social qui en résultait, était un ordre synarchique et non monarchique. La matière n'était pas séparée de l'esprit et le concept social de ces deux principes : Père et Mère incarnaient les deux logos.

Ce fût ce schisme qui intervint approximativement 75 000 avant Jésus Christ qui entraîna une séparation de ces deux principes. La conséquence de cette séparation conduit l'homme vers son ordre social dans un esprit de survie donc, dans la matière. Dieu devint un concept approximatif et inaccessible à l'homme. Celui-ci étant séparé et ayant perdu la connaissance du « Un », le principe de Dieu se scinde en religions qui parlent d'un être inaccessible.

De ce schisme naîtra séparations, discordes, guerres et la naissance d'un ordre militaire qui donnera ensuite sous différentes formes le césarisme, qu'il soit babylonien, grec, troyen, romain, puis anglais (Commonwealth) et enfin étatsunien. Il était inconcevable avant l'arrivée de Jésus que l'homme puisse atteindre et retrouver sa divinité. 

Avant son incarnation sur Terre, le principe Mère et le principe Père sont séparés. Jésus représentera le fils, l'union entre le père et la mère. L'homme a donc repris sa place et peut fusionner à travers l'amour, avec ces deux logos. Il redevient le Fils de l'homme étant engendré par l'Immaculée Conception, au travers de Marie porteuse du principe féminin, matrice d'origine, il est le troisième logo. 

Si nous reprenons l'histoire qui remonte bien avant notre civilisation, l'homme fût engendré, non pas créé à l'image de Dieu, mais par Dieu. Comme mentionné précédemment, il descend du principe le plus haut et en passant par les différents mondes vibratoires constituant les univers, il prend vie par la mère biologique sur la Terre. 

Quelques millions d'années plus tard, les “Porteurs de Vie” représentant les douze constellations de notre univers sur l’ordre divin, implantent l'homme primitif.

Puis, suite à la rébellion, Caïn est créé par des êtres porteurs de la dualité et créateur de vies pour leur propre compte. Pire encore, ils tronquent l'histoire de nos origines, s'instituent « Dieu » et donnent à l'homme des concepts, des règles, des diktats afin d'asseoir leurs pouvoirs.

La connaissance d'origine perdra son essence à travers l'histoire, afin de revêtir de multiples visages, de multiples dieux au service de faux dieux vengeurs nous ayant conduits à la guerre, aux conflits et aux malheurs : à la dualité. 

Se sont ces dieux qui donneront à l'homme le culte de l'or, de la richesse et du pouvoir. Ils dresseront les peuples les uns contre les autres, sèmeront la discorde dans les familles, créeront et dresseront les religions les unes contre les autres. Ils sépareront l'homme et la femme en leur donnant une notion de péchés et d'impuretés, leur interdisant l'accès à la connaissance afin de les limiter à une fonction sociale reproductive, implantant dans leur conscience la peur et la nécessité de survie (après chaque guerre, la natalité augmente). 

Mais cela a été encore plus loin. La rébellion entraînera dans le corps émotionnel collectif et mental de notre planète et par résonance sur notre propre corps émotionnel et mental des conséquences involutives. L'homme finira par être persuadé qu'il n'existe pas d'autres connaissances que l'ordre social et religieux, qu'il pense nécessaires à sa vie, et cela l’empêchera d'atteindre d'autres plans d'organisations sociales pouvant élever sa conscience. Par ces multiples paramètres manipulateurs et par les différentes falsifications de la connaissance et de notre histoire et origine, ils enfermeront l'homme dans une matrice mentale l'empêchant jusqu'à l'arrivée de Jésus de se libérer de ses faux concepts et de ses peurs.

Jésus est donc de la lignée de cet Être Humain Primordial, gardien de la terre et cultivateur. Jésus, pour cette mission, ayant la conscience du Père, doit redonner à ses frères humains une vérité : la possibilité de la résurrection. Par l'acte de la crucifixion, il créera le pont nécessaire pour atteindre l'adombrement du Père amenant la réalité de cette résurrection. Dans toute l'histoire de l'humanité, il est le seul être humain à avoir atteint cet état de Christ cosmique. Il redonne ainsi la vérité et la possibilité à l'humanité d'être reconnu par Dieu son vrai Père, et non d'être la créature des dieux. L'homme, depuis sa venue, peut reprendre sa place auprès du Père et se libérer s'il en a la conscience et la demande (libre arbitre). Il peut sortir de la matrice artificielle (manipulation du « moi premier »), ayant enfermée son âme depuis cette rébellion. 

Il y eu avant le conflit que l'on appelle la rébellion, un premier conflit il y a des milliards d'années dans la constellation de la Lyre. Ce conflit entraîna un deuxième conflit dont les conséquences pour notre planète sont l'arrivée de ce que l'on nomme les dragons ainsi que les « anges déchus ». Cependant, l'histoire a tellement été modifiée au cours des milliers d'années passées, que nous désirons pas aller plus loin, l'ayant fait plus haut. 

Ce satellite a été, bien avant d'être appelé Vénus, une planète qui aurait subi un énorme conflit, il y a des milliards d'années, lors de la première guerre que décrivent les textes antiques indiens. Mais nous ne pouvons vous en expliquer davantage, car très peu de textes relatent cette histoire. Vénus aurait été le lieu, en des temps très anciens, des armées de Râ (la lumière) qui auraient affronté une civilisation d'une lointaine galaxie, symbolisant les forces des ténèbres. Ce conflit laissa peu de survivants. 

Certains textes scientifiques relatent que cette planète aussi grosse que Jupiter aurait explosée. Mais nous ne prétendons pas qu'elle a forcément explosé, elle a pu également imploser, ce qui nous amène à penser qu'elle pouvait être creuse. 

D'autre part, des scientifiques s'interrogent au sujet de la Terre. Ils ont calculés la masse de la Terre et son poids, or, ces deux calculs ne sont pas en rapport. Le poids de la Terre est plus faible que sa masse ne le laisse penser... Cette recherche faite par les astrophysiciens amène une interrogation : toutes les planètes de notre système solaire seraient-elles creuses ? 

Par rapport à l'archétype et aux champs morphogénétiques, il en existe toujours les traces. C'est peut-être pour cette raison que certains textes de Yoga positionnent un soleil au quatrième chakra et symbolise à cet endroit, sur certaines gravures, un plan d'inversion marqué par un triangle pointe en bas et l'autre pointe en haut. 

Nous pensons que cette planète qui a disparu est la fameuse planète noire citée dans les textes mythologiques très anciens (voir soleil noir) et qu'elle était la planète, tel que cité auparavant, dans notre système des “Porteurs de Vie et des Planificateurs”. 

Toutes nos mythologies ainsi que nos textes sacrés nous expliquent que cette planète, dont le satellite deviendra l'astre Vénus (luciférien porteur de lumière), a provoqué à plusieurs reprises des changements de climat ainsi que des déluges (voir Noé et Mathusalem). 

La Chine aurait été à plusieurs reprises touchée par le passage de Vénus. Celle-ci aurait même bouleversée tellement notre système, qu'elle évoquait peurs, guerres et superstitions. Il existe entre Mars et Jupiter une nébuleuse d'astéroïdes dont les astrophysiciens ignorent la réelle provenance. Elle serait certainement les restes de cette planète. 

Nous vous avons dit qu'en haut de la pyramide de Gizeh se trouvait une pierre de cristal noir. Elle est un météorite de celle-ci, et rentre dans la légende de nos civilisations : « la fameuse pierre noire ». Il est possible que le prophète Mahomet ait eu accès à ce passage historique. Nous retrouvons des traces de cette légende chez le peuple Arya Nord sibérien. Des textes expliquent que cette pierre donnait le don de prophétie aux femmes qui la touchaient.

Maintenant que nous vous avons donné certaines bases de nos recherches, nous allons vous expliquer « par image », comment comprendre notre alien (Sida VIH).

Vu son comportement et ses origines, nous pouvons dire que c'est un alien !!! 

Un généticien virologue faisant partie de l'équipe de ces savants a réussi à isoler la longueur d'onde de base du VIH. Il est évident que comme notre alien prend possession de notre système immunitaire, il va prendre en plus la fréquence de chaque personne qu'il a infectée, ce qui explique sa mutation et son adaptabilité, mais il garde néanmoins sa fréquence de base. Nous avons réussi à obtenir de nos collaborateurs un test souche, ce qui n'est pas facile. 

En auscultant différents patients séropositifs ou en sida déclaré, les réponses aux tests sont toujours les mêmes et nous permettent avec différents confrères qui effectuent également des étalonnages, d'arriver à identifier la résonance du virus sur les différentes couches vibratoires humaines. Nous avons dans ces couches vibratoires des points d'ancrage qui lui permettent de s'installer. 

La deuxième phase est beaucoup plus délicate, il a fallu que nous trouvions des pierres précieuses et des métaux ayant des formes géométriques cristallines nous permettant de coder la fréquence de nos trois bases cristallines (alcaloïdes) que nous avons fabriquées par procédés spagyriques.  

Les pierres précieuses que nous avons pu préparer ainsi que les métaux vont nous être utiles. Nous n'avons pas besoin de l'élément sel des pierres précieuses et des métaux qui représente le corps. Nous avons seulement besoin de leur principe soufre (esprit). Mais il va falloir que nous allions plus loin, car si chaque pierre végétale ou métal contient les trois principes, chaque principe contient en lui-même les trois autres principes.

Pour être plus clair : si nous prenons le cuivre (planète Vénus), il contient les trois principes : le sel, le soufre et le mercure en poids de nature, car les autres métaux ont des poids de principes différents. Et chaque principe contient lui-même un principe sel, mercuriel et soufre. Ce qui donne trois multipliés par trois, égal neuf. Ayant trouvé les niveaux vibratoires dans les couches éthériques et leurs correspondances avec les chakras et les glandes endocrines et ayant identifié les pierres précieuses émettant une fréquence particulière ainsi que les métaux, nous allons prendre en chacun le principe soufre du soufre, donc esprit de l'esprit, et nous allons les incorporer sur les trois bases alcalines de cette plante “X” en respectant un processus d'incorporation ainsi que leurs dosages. 

Imaginons qu'il soit possible de faire une image holographique vibratoire d'un foie sain et d'un foie malade. Vous avez la fréquence comparative (je dis bien « la fréquence ») du foie sain et du foie malade. Vous avez donc deux fréquences plus une, il suffit alors de remettre la fréquence holographique du foie sain sur la fréquence holographique du foie malade pour que celui-ci se calque sur sa fréquence d'origine. Cela est une image très simpliste de la « théorie scalaire » […].

Copyright Fulmina Foundation


Powered by Froala Editor