La Crise Mondiale des Réfugiés

Publié il y a 4 ans
Par Fulmina Institut
The World Refugee Crisis
Présenté par Fulmina Institut
Et Claus Jensen

Novembre 2017

Il s’agit du respect de l’individu et de la vie humaine elle-même

Préambule

Réfugiés et Migrants: En règle générale, la population mondiale des réfugiés est constituée de personnes fuyant les zones de conflits créés de mains d’hommes ou générés par des catastrophes naturelles.

Aujourd'hui, une partie seulement des personnes enregistrées comme réfugiés fuie des situations causées par des désastres naturels, mais cependant leur nombre,  risque d’augmenter considérablement par l’effet du réchauffement et du refroidissement de la planète (suivant les zones géographiques) et des conséquences sévères climatiques qui en découlent, en autres  par le risque d’élévation des eaux des océans. Récemment des reportages et rapports scientifiques prédisent des  tremblement de terre majeurs dans les années à venir causés par les perturbations du cycle planétaire (tempêtes solaires) et la modification du pole nord magnétique (déjà enregistré dans le passé)  dans des périodes où notre planète était très peu peuplée. 

Migrants: Une infime partie est classifiée officiellement comme migrants. Ce groupe peut aussi être considéré comme réfugié.  Typiquement, les migrants fuient des pays en développement (tiers monde) où la possibilité d’une vie personnelle aux standards minimum et tolérables n’existe tout simplement pas. 

Note : 

Réfugiés - L’utilisation du masculin pluriel, dans tous les cas comprend également le féminin.

Antécédents:

Sans qu’il ne soit nécessaire de catégoriser les problèmes, les événement se chevauchent et en tant que société dite « globale » nous faisons face à des problématiques impensables, qui à court terme sont susceptibles de conduire à des nouveaux conflits et dérapages des unions et des structures politiques.

Nous ne souhaitons pas prendre position dans l’arène politique, mais il est presque impossible de ne pas noter la croissance de positions nationalistes aussi bien dans les Amériques que dans plusieurs pays Européens. Un mouvement vers l'extrême nationaliste  est observable depuis un certain nombre d’années (protection territoire).

Les grands pays traditionnellement donateurs voient leur économie sous pression. Les coûts du bien-être n’explosent pas parce que il y aurait eu une augmentation de ces services, mais bien plutôt parce des Agences de contrôle sont apparues à presque tous les niveaux de l’administration publique, suite à la dernière grande crise financière dans la dernière décennie. Simultanément, les conflits dans lesquels l’Alliance Occidentale se trouva impliquée, se sont avérés être des politiques très coûteuses. Une des conséquences de ces interactions, fut une diminution sensible des montants d’aide aux réfugiés et les appropriations ont été largement coupées au cours des trois dernières années.

Les politiciens, et, le désir des peuples de maintenir une stabilité sociale, ont miné le sens des responsabilités envers les plus faibles, une absence d’empathie qui a fait disparaître une grande partie du respect envers l’individu et les communautés.

Toute l’approche occidentale du problème croissant du flot des réfugiés causé soit par les guerres ou les désastres naturels, est caractérisé par une attitude protectionniste. Les politiciens ont donc répandu des politiques basées sur la peur du changement.

Nous faisons face à plusieurs effets secondaires très intimidants de ces politiques. Le nombre d’esclaves sur notre planète a explosé et a atteint présentement un sommet historique de l’histoire humaine. Les humains sont exploités aux profits de propriétaires d’esclaves, en tant que force de travail gratuite, et également sous forme de prostitution et d’exploitation physique. Le trafic d’êtres humains (adultes et enfants) est en croissance partout sur la planète ce qui est une involution humaine et une perte de l'acquit social de ces trois derniers siècles.

Le traitement des conflits, et, en conséquence du flot des réfugiés, n’a pas changé au cours des 70 dernières années.

La communauté internationale a appliqué comme règle de ne pas créer d’accommodations permanentes pour les réfugiés, et vise essentiellement à bâtir des camps de types temporaires, où la tente, apparaît comme la solution absolue de refuge. Même l’histoire qui révèle que les réfugiés gardent ce statut pendant une période moyenne de +20 ans, n’a  pas modifié cette politique.

Sans aucune raison valable, les organisations internationales ont comme politique de ne pas impliquer les résidents  des « camps » dans la planification de l’opération quotidienne des « camps ». Des politiques qui ont comme effet de priver les réfugiés d’un élément important d’auto-détermination de leur vie et d’une atteinte de leurs objectifs de vie commune.

C’est devenu un mantra de plusieurs leaders Européens – « les réfugiés doivent d’abord et avant tout recevoir de l’aide locale ». Traduit dans le contexte européen, cela signifie simplement que les réfugiés des « camps », sont tout simplement maintenus en vie, jusqu’à ce qu’on puisse les retourner d’où ils viennent (si retour possible...), sans activité de développement et/ou d’éducation.

Sans formation, éducation ou développement personnel, un être humain ne peut que régresser voire mourir, et si désormais, toutes nos politiques d’efforts d’aide sont basés principalement à maintenir les réfugiés en survie physique, nous risquons de perdre plus d’une génération durant la période où ces réfugiés sont sous statuts officiels de réfugiés.

Conflits Futurs :

Presque toutes les études pointent dans la direction d’une augmentation des conflits régionaux et nationaux où les conflits religieux se transforment en nettoyages ethniques (Ex. Darfour, Somalie, etc...) Certains chercheurs sont d’opinion que nous nous dirigeons vers des conflits de guerres de religion à un niveau mondial, où les croyants  entreront dans des bagarres extrémistes et radicales.

Les flots de réfugiés deviendront massifs, des populations entières seront chassées de leurs maisons et de leurs pays causant un traumatisme collectif inconnu jusqu’à maintenant (démographie urbaine galopante). Déjà nous assistons à des flots de réfugiés de plus d’un million de personnes, en plusieurs endroits simultanés exigeant par le fait même un effort coordonné de résolution des conflits, du traitement des traumatismes, et de l’aide immédiate, à des niveaux non encore rencontrés jusqu’à maintenant.

Le tout est d’apprendre à faire la différence

La première condition de survie pour un réfugié est de pouvoir disposer des nécessités élémentaires pour sa vie : un toit sur la tête, la possibilité de traitement médical, la nourriture, la sécurité et la protection de sa vie et de sa famille.

La plupart des réfugiés ont vécu l’expérience de voir leurs initiatives d’auto-détermination être détruites au moment même de leur entrée dans un camp de réfugiés. Dans la plupart des cas, vue la dimension des besoins et des personnes en danger, une méthodologie a été mise en place au cours des dernières années, par laquelle les organisations prennent en charge les réfugiés à un point  tel que le tout ressemble à de l’oppression.

Notre objectif est d’inclure le réfugié, et ce, dès le moment de l’enregistrement, afin de tenter d’obtenir une image claire des capacités, des compétences et de l’éducation des personnes. Chaque réfugié doit être considéré comme un être humain pouvant avoir  de multiples ressources avant tout, avant d’être considéré comme une victime. L’inclusion du réfugié dans le processus, initialise une méthode qui minimisera le traumatisme et engagera immédiatement un processus de guérison. La normalité de la vie et les tâches quotidiennes aideront chaque réfugié tout en réduisant la consommation des ressources, et comme un salaire peut être attaché à ces tâches, le réfugié peut gagner de l’argent (devise locale) qui peut également être utilisé pour des besoins personnels additionnels.

L’utilisation de la devise locale – comme méthode de paiement, le pays hôte des réfugiés encourage l’utilisation par les réfugiés de la devise locale. La présence de réfugiés peut devenir pour le pays hôte un support réel à son économie. Une fois la période de chaos terminée, il est crucial que la grande partie des nécessités de la vie du camp soient achetées dans l’économie locale ou dans le voisinage immédiat, contribuant au bout de la ligne à une plus grande acceptation de la présence étrangère. Il faut toutefois en même temps observer avec précaution à ce que les prix à la consommation ne subissent pas une inflation galopante avec un risque de marché noir ;

Les enfants et les personnes plus jeunes sont susceptibles de souffrir davantage dans les camps de réfugiés, de sorte qu’il est important que ce concept soit bien appliqué pour ces derniers. Les enfants d’âge scolaire, en particulier, doivent être remis en état de scolarisation au plus tard un mois après leur arrivée dans le camp. Ce travail doit être pris en charge par leurs propres compatriotes dans le camp.

Les fausses nouvelles – Le biais populiste des pires nouvelles

Au cours des trois dernières années, le monde a été victime d’une nouvelle tendance, où les politiciens, les décideurs, les commentateurs et les media sociaux, les soi-disant nouveaux publicistes, se sont mis à répandre systématiquement des nouvelles tout simplement fausses, contribuant par le fait même à créer un monde où l’absence de la réalité est presque devenue normale.

En Méditerranée, les réfugiés de la Turquie et de la Libye se sont déplacés vers la Grèce, Malte et l’Italie. Les régulateurs Européens, ont produit des rapports sur le nombre de réfugiés qui ont été victimes de noyades et d’autres tragédies. À la fin de 2015, le nombre total de morts rapportées était de 4.440 ; il est inexcusable qu’ils aient omis de dire que les pêcheurs méditerranéens ont repêché plus de 12.000 corps des eaux de la Méditerranée. Une tentative évidente de nier les faits, et en même temps de ne pas permettre qu’une opinion plus empathique se développe envers les immigrés.

En tant qu’organisation humanitaire, il est évident que nous devons dire la vérité et s’assurer qu’elle ne soit pas manipulée. Comme premier devoir, nous tenterons de toujours être les premiers sur le site afin d’avoir « de visu » une première estimation réelle des dommages et des souffrances humaines et d’en parler aux médias. Notre tâche sera d’informer la planète, non pas pour s’en glorifier, mais pour donner une chance à la compréhension rapide du problème à résoudre. 

Fondamentalement, nous ne cherchons pas à créer la peur, nous sommes là où la souffrance est présente, afin de créer le peu d’espoir qui est nécessaire à ce moment précis. Espoir tellement nécessaire à la fois pour la personne qui le vit que pour la personne devant son écran de TV ou son ordinateur. Compassion sous forme d’un sourire, d’un dollar dans la cagnotte du sans-logis ou du coup de main dans un moment difficile, peuvent faire un monde de différence. Comme organisation humanitaire, nous sommes en mesure de divulguer ce message, non seulement nous comprenons ceux qui souhaitent un meilleur monde, mais nous travaillons chaque jour à ce qu’il se réalise.

Avec précision militaire, nous aidons les plus vulnérables.

Il existe trois phases dans une opération d’aide qu’elle soit causée de mains d’hommes, ou qu’elle provienne de désastres naturels. 

La phase du chaos, Alors que nous sommes dans le milieu du désastre en phase de développement, nous devons établir l’étendue des dégâts. 

La phase de la normalité, où la vie quotidienne a été structurée et où les réfugiés sont occupés par leurs activités d'une vie plus normale.

La phase du démantèlement et du rapatriement, où les réfugiés doivent être traités selon les quotas des « U.N.» pour les réfugiés, et rapatriés dans leurs pays d’origine, ou dans tout autre endroit où les résidents doivent avoir un statut permanent.

La phase du Chaos :

Tous les efforts doivent être faits pour analyser la portée du désastre en cours et déterminer tous les scénarios possibles de l’étendue finale du drame. Des yeux sur place, et des ressources intelligentes sont nécessaires pour déterminer la nature de tous les moyens qui doivent être mis en place.

De façon pratique, un gérant de projets, sera immédiatement choisi parmi le groupe des gérants disponibles ; chargé de l’ensemble de l’opération, il(elle) recevra les allocations de ressources nécessaires y compris les assistants de projets, dont la tâche sera de réunir toutes les informations pertinentes sur le plan local, les conditions d’accès, de corridors de transport, des parties prenantes du conflit (en cas de désastre de guerre) des O.N.G. impliquées si c’est le cas.

Simultanément, nous envoyons une équipe d’investigateurs et du personnel de sécurité (habituellement 5 personnes) qui se rapporteront directement au « Quartier Maître » qui fera l’analyse de l’information reçue des groupes au sol de même que celles des divers groupes « d’intelligence » auxquels nous avons accès.

Toute les informations sont rassemblées dans un centre de visualisation et de commandement – tous ceux impliqués dans l’apport de l’information peuvent la soumettre ou en demander directement depuis le centre de commandement. Le centre sera équipé de systèmes de satellites en contact avec les personnes au sol et des canaux d’information pour chaque source et collaborateur.

Dans les premières 48 heures, une image crédible de la situation peut être établie et sur cette base un plan d’action et un budget sera établi pour allouer les fonds et débuter le premier effort.

Une fois le plan bien en place, le comité reçoit le plan, et il devient la première instance à pouvoir approuver son contenu technique et ainsi que la stratégie d’approche et de déterminer si le plan est faisable ; il approuve alors le budget. Un sommaire de la situation est alors envoyé à Fulmina Human Resources. Une période de 12 heures devrait être suffisante pour permettre une implantation dans les 72 heures suite à l’arrivée des données  au  centre de commandement. 

Une fois ces précédentes procédures terminées, le gérant de projets enclenchera une vaste série d’actions basées sur la façon dont le plan a été conçu.

Les organisations qui, naturellement se retrouvent en présence dans ces régions du monde, sont immédiatement contactées et elles s’entendent sur un plan de coopération et toutes les interfaces sont mises en place ; une fondation élargie orientée sur la résolution de problème est maintenant créée.

Le coordinateur des projets nomme un gérant de projets qui est immédiatement envoyé sur place à l’endroit déterminé par l’équipe d’investigation. Les travailleurs attitrés au projet sont réunis et transportés avec le personnel de sécurité à l’intérieur de 24 heures après que le coordinateur de projet ait établi contact avec l’équipe au sol.

Simultanément, nos centre de stockage, d’emballage et de logistique sont mis en état d’alerte et les plans de transport sont mis en place.

Les travailleurs du projet sont activés et l’équipe de terrain est réunie avec le personnel de sécurité . Dans un délai de 72 heures après que l’équipe de sécurité aie produit son premier rapport  nous envoyons du personnel sur place.

Le bon fonctionnement des opérations est évalué régulièrement tous les trois jours, un rapport standard doit être préparé (pendant les premier trois mois) afin de produire un rapport de l’ensemble de la situation, incluant, les allocations de fonds, de nourriture, de personnel et de tout ce qui a été consommé.

A l’ouverture du camp, il est nécessaire que nous utilisions une procédure d’enregistrement dans le but d’évaluer le mieux possible chacun(e) des réfugiés. Parmi ces derniers, les leaders d’opinions doivent être le plus rapidement identifiés. L'identité culturelle et sociale future de ce camp est naturellement formée dès les débuts de l’opération sur zone. Il faut donc identifier le plus tôt possible et comprendre ce qui est le plus essentiel dans la vie de chaque réfugié afin d'établir en même temps les règles de vie.

Pendant les trois premiers mois de l’établissement de la compagnie, nous procéderons à un débogage affiné de notre procédure de façon à avoir une parfaite communication entre le centre de commandement et les équipes au sol, chacun devant savoir à quoi il peut s’attendre.

Phase de la Normalité :

Une fois la phase de chaos terminée, alors que la première organisation aura pris place au jour le jour, une nouvelle analyse de l’étendue du désastre et de l’évaluation du programme sera immédiatement entreprise afin de déterminer la durée possible du programme et de déterminer si l’organisation dispose de tout le matériel nécessaire à son opération.

La phase de normalité implique la participation des résidents, qui, dans un processus démocratique, doivent élire les représentants pour  le « Conseil des Réfugiés », ce  conseil sera partie intégrante du leadership du camp. Ces différents représentants élus auront entre autres la tâche de mettre sur pied les écoles, les besoins en traitements médicaux, les activités de loisir du camp, etc.

Dans le cas d’une extension du conflit, il paraît évident que les résidents du camp sont en phase pour devenir des résidents permanents tant que le conflit continue, il faut alors établir avec les autorités du pays, un dialogue pour l'obtention d'un visa afin de définir les modalités acceptables pour les parties concernées. Il est de bonne coutume, qu’un investissement massif dans le pays hôte, facilite les négociations qui d'une façon générale peuvent devenir difficiles.

Si des permis sont délivrés aux résidents pour leur accorder un statut plus officiel, nous devons donc décider si des maisons permanentes doivent être construites pour les résidents, de même que pour les infrastructures publiques, médicales et scolaires.

Tout ce processus requiert la participation des résidents et une organisation de constructeurs pour une discussion des plans et des budgets ainsi qu'une acceptation finale des procédures à envisager.

Un des éléments essentiels d’un camp de réfugiés plus permanent est de créer des emplois pour les résidents sous forme de petites unités de production. Dans le but d'atténuer les traumatismes des résidents qui ont été victimes, un travail au quotidien est l'un des plus puissants ingrédients de réussite.

Dans le cas d’une phase de démantèlement et de rapatriement

La plupart des conflits contemporains contiennent des destructions tellement massives que seuls une poignée de résidents peuvent retourner à leur maison. Il y aura toujours une certaine dépopulation des camps : certains résidents choisissent de voyager de leur propre chef, vers des endroits où ils ont de la famille, d'autres familles peuvent être appelés par le système de quotas des « U.N. ».  à trouver un pays d’accueil plus sécuritaire. 

Dans le cas où le camp obtient un statut permanent, les édifices demeurent disponibles pour l'usage des résidents encore présents, et demeurent la propriété du pays hôte. Si les résident n’obtiennent pas de statut permanent et que le camp doit être fermé, un travail de nettoyage doit être organisé. Quatre-vingt-quinze pourcent (95%) du matériel qui fut apporté pour la construction du camp, peut être réutilisé tel quel ou sujet à un programme de recyclage.

Il est important qu’un nettoyage complet soit effectué, car c’est la façon la plus certaine de pouvoir être réinvité par d'autres pays. La grande majorité des endroits où les organisations humanitaires sont voulues et souhaitées, sont dans les pays sous-développés où les populations doivent batailler pour survivre. En tant qu’organisation humanitaire nous ne voulons pas donner l'impression aux citoyens que le travail pour les réfugiés, est une tâche ingrate.

Le Travail Opérationnel

Organisation :

L’organigramme de la future structure sera divisé en quatre (4) compagnies : l'ensemble de la structure humanitaire sera détenue par une « société d'investissement à vocation humanitaire ”: celle-ci sera entièrement détenu par Fulmina « Human Resources ». 

La mise en place de la structure humanitaire par la  société d'investissement est créée pour des raisons pratiques, techniques et de surveillance pour l'attribution des fonds.

Pour le bon fonctionnement de cette structure, il est évident que les décisions par rapport aux plans d’action, des opérations doivent être prises à un niveau global, il est  donc essentiel que Fulmina Human Resources puisse établir un comité chargé d’approuver les programmes.

Société d'investissement à vocation humanitaire FHR 

Société d'Investissement pour les filiales – dont la seule fonction est de contrôler l'attribution des fonds .

SRT WORLD A/S (Bureau Chef à Copenhague)

C’est la pierre angulaire de toute l’opération - SRT signifie « Special Response Team ». Les employés de cette compagnie sont des spécialistes dans de multiples disciplines. Elle dispose des meilleures ressources humaines capables d’établir avec grande précision l’étendue d’un désastre, d’en obtenir la meilleure analyse possible, d’évaluer les besoins médicaux, et d’identifier les meilleurs gérants de projets et de personnel à chacune des situations d’urgence. Notre administration future dispose d’une grande expérience : toute sa structure administrative et économique est supervisée par un comptable assermenté par l'état ayant plusieurs années d’expérience dans une administration publique. Le personnel comprenant plus de 60 employés sont tous employés au siège social de Copenhague. Les employés sont de différentes origines ethniques et proviennent de plusieurs continents ce qui facilite la communication et la compréhension. Le futur directeur sera disponible à la fin du premier trimestre 2018, et durant cette période, ce poste sera occupé par intérim par M. Claus Jensen. 

Selmar Group LLC (Bureau Chef - Dallas, Texas)

Ce groupe constitue l’organisation de sécurité de SRT World A/S et de Fulmina Human Resources. La compagnie est dirigée par Delta commander Ayman Hatkwa. Elle emploie une vingtaine d'employés permanents, tous anciens membres spécialistes des forces Delta, Navy Seals et Rangers. Dans son ensemble, la compagnie emploiera quelque 50 employés à temps plein. Elle assurera la sécurité du personnel en poste de SRT World A/S, de même que la protection rapprochée d’employés clés, selon les besoins. Une partie des tâches de cette organisation, sera de procurer le support logistique et le transport dans les zones de crise. La compagnie est en position de recruter plus de 500 spécialistes additionnels en cas d’urgence humanitaire mondiale,  en moins de sept (7) jours ouvrables. Dans le futur elle sera appelé à travailler exclusivement pour l’ensemble du groupe humanitaire Fulmina Human resources.

Acero A/S (Bureau Chef, Horsens, Danemark)

Cette compagnie est dirigée par Niels Arne Svendgaard. Elle produit des abris, des maisons à structures métalliques, des bâtiments publics, (hôpitaux, écoles, etc.), de même que des entrepôts et des édifices de logistique. Toutes ses constructions sont sous forme de « kit d’assemblage » qui peuvent être montés avec le minimum d’outils et d’expertise sur le site même. Sur requête, Acero A/S peut bâtir une réserve de 10.000 unités de maison autonomes sur le plan  énergétique qui peuvent être livrés dans une délai de trois jours, si nécessaire. Ce stock de réserve sera complété vers la fin de la première moitié de 2018. En plus des maisons et des entrepôts, nous planifions une augmentation de la capacité de production de la compagnie, qui avec l’aide de ses sous-traitants, pourra produire environ 4.000 nouvelles maisons par mois. Elle emploiera environ 80 employés à temps plein.

SRT Packing and Logistics A/S, (Bureau Chef, Copenhague, Danemark)

Cette compagnie est dirigée par Klaus Lundegaard et est chargée d’assurer la livraison et l'emballage du matériel, de la nourriture et/ou tout autre équipement acheté par SRT World de sorte que SRT World puisse délivrer les commandes dans un délai inférieur à 72 heures. La compagnie est  appelée à construire un stock de réserve de nourriture pouvant nourrir plus de 100.000 personnes pendant dix jours. Elle disposera en même temps de couvertures, de couvertures thermo-réfléchissantes, de nécessaires  pour l'hygiène, d’items pour bébés. Elle disposera également de certains médicaments d'urgence pouvant être nécessaires pour le personnel médical de SRT World. Nous planifions que cette compagnie puisse produire et empaqueter approximativement deux cent mille tonnes (200.000 tonnes de nourriture) par mois. L’expérience acquise en ce domaine nous laisse prévoir que plus de 4.000.000 de repas pourraient être produits par ce type d'emballage. La compagnie emploie approximativement 60 employés à  temps plein, dont plusieurs jeunes travailleurs. 


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