La centrale nucléaire Daiichi de Fukushima a atteint un stade critique, et, requiert une attention et une action immédiate par un ensemble de solutions technologiques irrévocables.
Les tubes de combustion nucléaire de trois de ces réacteurs ont fondu, libérant la matière en fusion nucléaire, celle-ci a atteint des températures de plus de 5000°C, ayant conduit au « syndrôme chinois ». : en d’autres termes, la masse en fusion a percé tout ce qui pouvait l’être, y compris les vaisseaux contenants le premier et le second niveau qui constituent la protection enfermant les réacteurs.
On a découvert, en octobre 2013, que le cœur des réacteurs 1, 2 et 3, avait tragiquement disparu ! Nos informations nous montrent que chacun des cœurs en fusion ont tout traversé y compris la première couche de la croûte terrestre (composée de sable et de roches). Le réacteur en fusion a pénétré jusqu’aux nappes phréatiques qui se sont ensuite déversées dans l’Océan Pacifique.
Le premier niveau d’analyse nous montre qu’une partie de ce cœur fragmenté a trouvé son chemin jusque dans la tranchée océanique du Japon à des profondeurs de 23,176 pieds, soit 4.3 milles de profondeur.
Les experts les mieux informés dans ce domaine ont identifié un chemin qui conduit à une solution. Le cœur en métal fondu des réacteurs en état de lave provient des tubes combustibles radioactifs, chaque tube contient environ 200 livres de matière hautement radioactive qui empoisonne l'océan Pacifique (pour information,la bombe d'Hiroshima contenait 18 livres...). Les courants océaniques ont spiralés les déchets radioactifs dans tous les coins du Pacifique, et, même plus loin.
Les conséquences de Fukushima affectent sérieusement la faune aquatique : on touve des quantités très importantes de saumons « sockeye » sensibles à la pollution déjà morts par milliers. La région nord-ouest, près de la Colombie Britannique, a recueilli les cadavres de 4 baleines dans la même semaine, ayant succombé aux radiations des déchets qui ont envahi l’écologie du Pacifique. De nombreux cadavres de baleines ont été aperçues flottants au large. Ces phénomènes de radioactivité ont un effet dévastateur sur toute la vie et constitue les origines d’un mouvement de mutations incontrôlables, voire une modification génétique de toute vie sur Terre.
Le phytoplancton, source principale de la production d'oxygène de l'air que l'on respire, suite à la contamination radioactive progressive de tout le Pacifique, a mis en danger le renouvellement en phytoplancton ; celui-ci disparaît graduellement et dangereusement, entraînant une diminution alarmante de notre réserve d’oxygène nécessaire à la régénération globale de notre écosystème. Les conséquences en chaînes de ce déséquilibre ne peuvent aujourd'hui être établies, mais les chiffres parlent et notre espérance de vie sur la planète est désormais remise en jeu.
Nous avons identifié quatre phases importantes pour la décontamination radioactive:
Phase Un - L’utilisation de méthodes Thermographiques (La technique permettant d'obtenir, au moyen d'un appareillage approprié, l'image thermique d'une scène observée dans un domaine spectral de l'infrarouge) sur la surface océanique du Pacifique afin d’identifier les zones de chaleur et en neutraliser les effets nocifs provoqués par la radioactivité. Les cœurs des réacteurs se sont fragmentés, ils ont été dispersés par les courants océaniques. Nous devons identifier les région de concentration des déchets radioactifs et les neutraliser.
Phase Deux - Traitement des cœurs radioactifs, des eaux polluées, des sols et des tubes radioactifs dispersés.
Phase Trois - Démanteler les réacteurs endommagés ainsi que tout autre bâtiment qui aurait subi des dommages irréparables. Il faut également nettoyer et rééquilibrer le biotope des sols, sur tout le site de Fukushima, et implanter une nouvelle flore et une nouvelle faune.
Phase Quatre - Assister et initialiser un traitement pour toutes les personnes ayant subi ou contracté des empoisonnements par déchets radioactifs, à la fois sur le Japon et sur les côtes ouest du Pacifique Nord-Américain, et du Pacifique Sud.
Cette solution ne propose pas de sacrifier la vie humaine afin de solutionner ce problème. Le désastre de Tchernobyl qui s’est produit le 26 Avril 1986 en Ukraine, se trouvait sous l’autorité directe de l’Union Soviétique. Grâce à un nombre de volontaires russes à qui l’on a demandé de sacrifier leur vie pour sauver l’Europe et le reste du monde, le problème a été partiellement enrayé et de façon momentanée. Le projet de notre équipe est à toute fin pratique absent de tout risque et est conscient et respectueux de toute vie.
Quatre ans ont passé depuis ce désastre de Fukushima, et le Japon a dépensé plus de 8 milliards de dollars pour se retrouver dans une situation encore plus critique. Les solutions choisies n’ont fait qu’aggraver le problème. Nous proposons une solution complète qui remédie à la fragmentation des cœurs dispersés dans le Pacifique et un traitement des déchets radioactifs des sols et des eaux.
Le danger causé par cet événement est considérable pour le Japon et pour la stabilité écologique du monde. Des milliers de japonais on perdu leur vie confrontés aux conséquences radioactives de Fukushima qui peuvent s'étendre à d'autres parties du monde.
Phase Un - du projet nécessite approximativement $2.5 milliard de dollars pour le coût des équipements lourds et leur transport ainsi que pour le choix d’une main d’œuvre d’opérateurs qualifiés et hautement qualifiés et d'attribuer pour l’ensemble des travailleurs des conditions optimales ainsi qu'une prime d’indemnité pour ce travail dangereux.
Phase Deux - du projet nécessite approximativement $4 milliard de dollars. Cette phase du projet consiste à éliminer la génération des déchets radioactifs dans tous les réacteurs et leur environnement régional. Ce traitement inclue les tubes endommagés de combustibles nucléaires, les eaux contaminées dans les réservoirs de stockage, mais également les nappes phréatiques et le traitements des sols contenus dans des milliers de sacs sur l'ensemble des sites d'entreposage. (Voir la présentation PowerPoint – plus en détails).
Phase Trois - du projet nécessite approximativement $3 milliard de dollars. Cette phase du projet permettra de rénover le site entier de Fukushima. Ceci inclura le démantèlement des édifices endommagés, mais également la régénération après la décontamination des terres et des sols afin que ces derniers puissent de nouveau engendrer la vie et la flore.
Phase Quatre - Les radiations à Fukushima se sont échappées de leurs vaisseaux conteneurs, et se sont infiltrées dans le Pacifique et dans l’atmosphère. En conséquence, la radiation a atteint des niveaux extrêmement dangereux pour toute forme de vie sur la planète. Tous les produits laitiers ainsi que la chaîne alimentaire sont contaminés. Les effets cumulatifs vont commencer à se révéler à divers degrés dans la population. Saignements de gencives, déchaussements de dents, gerçures de la peau, problèmes thyroïdiens deviennent les premiers signes avant-coureurs d’empoisonnement par les radiations. Nous sommes en possibilité d'assister médicalement les organismes sanitaires japonais afin d’aider la population pour neutraliser les effets de cet empoisonnement radioactif.
On estime que pour cette phase du projet, une somme de $2.5 milliards de dollars est nécessaire pour supporter les cliniques et pour fournir les technologies de soins nécessaires à la neutralisation des effets de cet empoisonnement.
Les quatre phases de ce projet s'effectuent sur une période de 4 à 5 ans.
La première phase de ce projet est la dénucléarisation des cœurs dispersés dans le Pacifique ; elle se réalise dans les plus brefs délais possibles, une fois que les équipements sont livrés et installés.
La phase 2 du projet nécessite environ 15 mois, une fois que le matériel et les équipements seront en place pour la décontamination des tubes radioactifs et des eaux de refroidissement.
La phase 3 du projet nécessite environ 18 mois, dépendant du résultat de l’évaluation de la radioactivité des sols et des surfaces nécessitant une restauration.
La phase 4 du projet nécessite une attention constante dès le départ. Une observation clinique et un suivi des patients atteints, est un projet continu pour plusieurs années.
Le coût total de la restauration se chiffre à un montant pouvant varier autour de 12 milliards de dollars.
Le Composé Minéral de Décontamination Radioactive (CMDR) a été testé le 11/19/2013 aux laboratoires Kawamata, Fukushima, Japon. Il est important de noter que:
La Phase 1 du projet est de trouver un moyen de ramener la température à un niveau supportable suite au processus d'effondrement des réacteurs 1,2 et 3.
La Phase 2 du projet NEC (Nexus Environmental Corporation) : est conçue pour effectuer une décontamination des déchets radioactifs contenus dans les réacteurs, dans les réservoirs d’eau, dans les sols et dans les tubes radioactifs.
Le composé Minéral CMDR a été testé avec succès sur des échantillons prélevés directement dans la Centrale Nucléaire de Fukushima (CNF)
Tous les Radionucléides (Atome radioactif pouvant se muter, se transformer en un autre atome) sont décontaminés en 72 heures en présence du CMDR
Tous les tubes à combustibles radioactifs des réacteurs peuvent être traités et réduits en matériel fertilisant NON toxique, à l’usage des plantes et des sols.
Le CMDR a été conçu et développé par AST Trust pour une application humanitaire mondiale.
AST a testé le composé CMDR directement au laboratoire Kawamata, sur les échantillons radioactifs prélevés sur le site de la Centrale Nucléaire Fukushima (CNF) :
Les tests effectués ont démontré le pouvoir de décontamination des isotopes radioactifs à l’intérieur de 72 heures.
Les tests ont débuté avec des échantillons de sols d’un niveau de radiation de 107.5 mR/Hr.
Après 33 heures et 45 minutes de traitement, la radiation mesurée du même spécimen de sol est descendue à 43.3 mR/Hr.
Les mesures ont été effectué sur : Digital Geiger Compteur, Marque et Modèle :
GCA-07 Manufacturier: Images Scientific Instruments Inc.
Feuille de données : Mesure de la Radiation Radioactive - spécimens de sol à Fukushima
Le composé CMDR de la société AST est une mixture minérale qui a été conçue pour la fusion à froid. Il peut entre autre être utilisé pour remplacer les tubes à combustibles dans les centrales à réacteurs nucléaires, sans provoquer de modifications dans la conception du réacteur. Ils peuvent être remplacés « mutatis mutandis » par ce composé AST unique, ayant la capacité de faire bouillir l’eau en produisant la vapeur qui actionnera les turbines. La caractéristique spécifique de ce composé est qu’il ne génère en cours de fonctionnement aucun déchet radioactif.
Ce produit a démontré sa viabilité : les tests remontent au 19 Novembre 2013. Ce composé CDMR est une technologie de décontamination de haut niveau pour tous les environnements et les déchets radioactifs.
En effet, le défi le plus important provoqué par les déchets radioactifs, est qu’il est très difficile de les empêcher de se répandre dans la nature. Ils s'infiltrent inévitablement dans tout l’environnement immédiat et bouleversent l'écologie. Il existe des moyens de ralentir le processus d’infiltration et de contamination, mais la réalité de l’effet Winger finira à long terme par nous empoisonner, et modifier notre génome.
Le composé CMDR est une solution viable pour la prévention et le traitement de l’élimination des déchets radioactifs.
Le JTube est une technologie pour l'élimination des déchets radioactifs. Son efficacité peut être constatée dans un délai de 30 minutes. La technologie fréquentielle basée sur les atomes d’hydrogène possède les caractéristiques les plus efficaces pour l’élimination de la radioactivité. Cette technologie a des propriétés uniques qu’il faut souligner.
Le JTube possède une batterie « auto rechargeable » : il n'est donc pas nécessaire qu'il soit branché au secteur ce qui le rend autonome.
Il est composé d'un algorithme fréquentiel stocké sur un support intermédiaire particulier composé de magnétite.
Les fréquences stockées dans le JTube sont diffusables sur une grande surface. Des relevés de mesures on démontré une décontamination effective sur une distance d’un rayon de 75 milles.
Le JTube est également utilisé comme protection « bulle protectrice» lorsque nous sommes en présence d’une émission radioactive.
Cette technologie peut être fixée à des bouées à la surface des océans pour éliminer la radiation et restaurer l’écosystème (dépollution de l'eau).
Quoique le mode de production du JTube exige un main d’œuvre très qualifiée, lente et méticuleuse. La production de cet outil peut être industrielle mais exige un important investissement.
Liste non exhaustive :
Stephan Venczel – Chef exécutif du projet
Dennis S. Watts - ex-NASA Chef de Projet et Ingénieur de Systèmes/ Planification (ISS/Navette spatiale)
RA Europe, Engineering, Test et Déploiement – Conseiller et Consultant
Dr. Michael Levi PhD.– Consultant et Planificateur de Projet
Dr. Jeffery Prystupa DC Expert en Santé et en Guérison
Dr. Stephen Palmer PhD. MD. JD. - Conseiller et Consultant
M. Denis S. Watts Recherche et Développement
L’objectif
Le but du Département de la Science et de l’Ingénierie est de mettre en place des laboratoires de premier plan en support de l'éventail des ingénieurs et des techniciens qui auront à affronter les défis environnementaux ; fournir la base de données relative aux travaux qui ne représentent pas de danger et ceux qui sont dangereuses ; être en support d’analyse de toute nouvelle technologie pour l’environnement ; supporter l’intégration et tester la validité.
Le Laboratoire pour l’environnement sera utilisé pour le stockage des échantillons de matériaux pour les tests nécessaires en laboratoire de Chimie et de Mécanique. Le Laboratoire de l’environnement loge les cultures des diverses espèces de Bactéries utiles à la décontamination des déchets radioactifs, des déversements d’huiles sur terre et sur mer. Le Laboratoire est utilisé pour le support des ingénieurs sur le terrain afin de leur fournir les toutes dernières informations sur les températures et autres conditions environnementales, dans le but d’assurer leur sécurité pendant la période de travail. Ce département est fondamental en particulier lorsque le travail est effectué sur des sites comme celui de la Centrale nucléaire Fukushima.
Le Laboratoire de Chimie, sera utilisé pour la recherche et le développement des composés de produits chimiques spécifiques, tels des gaz comme le HHO, ou les gaz de Brown qui peuvent être utilisés pour la décontamination des déchets radioactifs ou du nettoyage des déversements d’huile sur terre et sur mer, ainsi que les problèmes reliés aux masses d’eau. Ce laboratoire est également utilisé pour le test et l’identification des spécimens prélevés en provenance du site contaminé, afin de rendre ces derniers plus productifs dans la découverte de solutions rendus nécessaires pour les défis qui leur seront présentés. Ce laboratoire est instrumental dans l’évaluation des composés chimiques spécifiques et/ou des gaz qui s’annoncent non toxiques pour un environnement sain et vivant. C'est principalement le cas sur les sites comme la Centrale nucléaire de Fukushima.
Le Laboratoire de Mécanique sert dans plusieurs procédés du projet Nexxus. Il est utilisé dans l’intégration, le test, la recherche et le développement des idées de pointe envisagées comme solutions aux problèmes environnementaux. Il est également utilisé pour l’évaluation de nouvelles technologies, pour le support architectural d’ingénierie, aux fins d’objectifs de santé et de techniques de guérison, nécessaires au support des ingénieurs et des travailleurs du projet sur le terrain. Il supportera également les Consultants en Ingénierie de Structure, qui assistent la décontamination des structures endommagées, comme par exemple les édifices contenant les réacteurs de la Centrale nucléaire Fukushima qui ont été la proie des explosions. Les Ingénieurs de Structure seront appelés à dessiner le plan d’action sécuritaire, une fois la voie déclarée saine, suite à la décontamination des déchets encore présents dans les trois ou quatre réacteurs endommagés par les explosions.
Les ingénieurs sur le terrain supervisent le processus de décontamination de l’environnement et pourront utiliser le Laboratoire de Mécanique pour résoudre les problèmes sur le terrain, et, s’assurer que ces ingénieurs ont toutes les ressources nécessaires pour procéder à une décontamination efficace. Ce laboratoire établira également le support d’évaluation de tout appareil mécanique pouvant être rendu nécessaire dans leurs fonctions pour la décontamination.
Le laboratoire de pointe des Sciences Physiques est un lieu d’intégration des différents systèmes où les différentes composantes mécaniques, électromécaniques, électriques et électromagnétiques sont testées et intégrées. La recherche et le développement du matériel et du logiciel sont effectués par ce laboratoire. De même, le Développement du Design, le Test l’Évaluation (DDT&E) des nouvelles technologies développées par le projet Nexxus, sont effectués par ce laboratoire à des fins d’évaluation et de déploiement sur le terrain, afin d'être utilisées par les ingénieurs et les techniciens dans le travail de décontamination. Les défis, principalement à Fukushima, sont nombreux, par l’accumulation ces dernières années d'un tel degré de déchets radioactifs, qu’il nous est difficile d'évaluer l’étendue des dommages, jusqu’à ce qu'à ce rapport d’évaluation ait été complété. Le personnel du Département des Sciences et de l’Ingénierie est un atout majeur afin d’assurer la sécurité des employés et ingénieurs, en colligeant toutes les données en provenance des satellites spatiaux, comme ceux observant la température, les données thermographiques des océans et de ses courants. Les données d’ingénierie sont d’une valeur incalculable aux fins d’assurer une sécurité complète aux ingénieurs et techniciens, pour que ces derniers ne s’aventurent pas dans des zones à haut risque. Ils doivent être informés des zones frontières et de toutes les considérations météorologiques.
La sécurité est la première priorité. Garder le personnel en sécurité et hors de danger est une tâche extrême pour tous les individus concernés. Chacun de ces quatre laboratoires travaillent en étroite collaboration afin d’assurer la sécurité nécessaire de tout le personnel.
Ce département a pour but de procurer le transport aller retour du matériel et du personnel sur les différents sites d’opération. Ceci inclut le stockage intermédiaire pour les livraisons classées « Just-in-Time », vers les divers sites d’opération.
Les tubes de combustion nucléaire de trois de ces réacteurs ont fondu, libérant la matière en fusion nucléaire, celle-ci a atteint des températures de plus de 5000°C, ayant conduit au « syndrome chinois ». : en d’autres termes, la masse en fusion a percé tout ce qui pouvait l’être, y compris les vaisseaux contenants le premier et le second niveau qui constituent la protection enfermant les réacteurs.
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