La Précession Solaire - Cause du Changement Climatique

Publié il y a 4 ans
Par Fulmina Institut
The Solar Precession - Cause of Climate Change

extrait du livre Les Clés d'Arya 

rédigé par l'Académie Fulmina

Du Kalpa au Zéro Schumann

C'est de sa propre substance, par sa propre énergie, par son seul désir à l'intérieur de lui-même et par lui-même, que le Divin, l'innommable, le Père de l'Univers produit toute chose et tout phénomène ainsi que toutes les idées formes du monde. 

La nature qui, détachée de ce principe, serait sans existence : le néant. 

Cosmogonie terrestre 

L'univers : si nous le percevons dans notre conscience, l'Univers a un principe éternel qui change, se renouvelle dans son cycle avec une régularité. Il naît, se développe à perpétuité, se dissout et se reforme pour renaître de nouveau. L'Univers a un souffle en trois étapes alternées : une expiration, une inspiration, une expiration. Il est ! Nous pouvons le nommer Brahmâ (Dieu). Pour préserver sa création, son œuvre, il se nomme Vishu, et c'est pour renouveler, transformer, qu'il se résolve et détruit, on le nomme Shiva, le “Glorifié Bénéfique”. 

Ce ne sont pas trois dieux mais trois facettes : aspect émanant d'un principe unique. Il exprime des milliers d'autres facettes, représentant la variété sans fin du caractère, de son âme et de son esprit qu'il habite. C'est aussi la diversité de l'univers avec une seule racine.

Les conceptions du cosmos et de son éternité nous sont données dans les enseignements des cultures ancestrales avec un qualificatif , un cycle et un rythme du temps. Ces trois notions se retrouvent dans les civilisations perse, égyptienne, grecque, romaine, de l'Amérique d'avant Christophe Colomb et d'Asie.

Nos références et noms dans ce texte nous viennent principalement du royaume ancien du Tibet et des empires “indo-aryens” : le Mānavadharmashāstra (sanskrit : मानवधर्मशास्त्र) ou loi de Manu, des textes purānas et vedas, soit 400 000 vers pour les 18 purānas majeurs qui contiennent un enseignement ésotérique sur la constitution du monde.

Dans les textes du “Purānas”, l'apparition d'un univers et la dissolution de celui-ci représentent une vie entière de Bhramā dénommé le “Grand Kalpa”: le Makākalpa.

a- La vie normale d'un être humain est de cent années.

b- Bhramā a une vie de cent années de bhramās (unité) : or, une année de Bhramā est formée de 360 jours de bhramās (unité) ou de 360 Kalpas.

c- La vie totale de Bhramā est donc de cent années multiplié par 360 Kalpas, soit 36000 Kalpas ou jours Bhramāniques.

Le plus difficile est de comprendre cette échelle de valeurs du temps en années humaines dans notre esprit.

Il nous faut être humbles avec cette mesure de l'espace-temps fantastique et ne pas trouver ridicule cette explication par manque de connaissances : l'univers selon notre science “cartésienne” peut avoir quatorze milliards d'années...

Dans certains “Purānas”, le Kalpa correspond à 4 320 000 000 années humaines, d'autres “Purānas” nous donnent 60 480 000 années humaines. L'année de Bhramā, dans ce dernier calcul, est de 360 multiplié par 60 480 000 = 21 772 800 000 années qu'il faut alors multiplier par 100 pour obtenir une vie de Bhramā ou grand Kalpa : le Makakalpā. 

Il faut ajouter que chaque Makakalpā se termine par une dissolution (inspiration) d'une égale durée nommée Mahāprolaya, où Bhramā se résorbe en lui-même pour éclore d'un nouvel univers ou “Oeuf cosmique” appelé Brahmanda.

Selon une interprétation  “Purānique” très intéressante par rapport à notre explication, un Kalpa se divise en 14 époques égales (nous retrouvons ce chiffre en alchimie mais aussi dans la mythologie égyptienne par les 14 morceaux du corps d'Osiris lors de sa crucifixion provoquée par Seth et ses 72 complices). Pendant ces 14 époques, sous le nom de loi de Manou, ce dernier est le père et le législateur des 14 humanités qui se succèdent sur la Terre. Notre humanité est actuellement gérée par le septième Manou : “Vaivasvata” qui est le fils du dieu solaire “Visvasvant” ou “Rā”que l'on retrouve dans les civilisations atlante et égyptienne, qu'il ne faut pas confondre avec “Aton-Rā” ou “Yahvé” “ou Yhwh”.

Le Manvantara (les aires de Manou) est constitué de deux séries septénaires. Il y aurait eu six humanités avant la nôtre : nous sommes la septième. Il y aura encore sept Manvantaras dans le futur.

Dans notre kalpa actuel, nous sommes la septième humanité des quatorze humanités devant se manifester sur notre planète Terre “Uras”. Toutes ces humanités passent par des phases successives marquées par un cycle dénommé “précession solaire” qui provoque les mutations et les cataclysmes plus ou moins puissants changeant le profil géophysique de la Terre mais aussi sa fréquence, son plan, sa densité et sa position dans l'univers par rapport au point zéro de celui-ci.

Il est raconté par toutes les civilisations qu'il y aurait eu un déluge (voire deux déluges) :

  1. Le premier marquant la fin de la sixième race

  2. Le deuxième est arrivé il y a dix/onze mille ans lors du passage de la planète Vénus qui a commencé à se stabiliser dans notre système solaire depuis sept mille ans.

Les textes racontent que Vishnu, sous la forme d'un poisson, informa le très Juste Satyawata de l'imminence du cataclysme et lui demanda de bâtir un navire. Lorsque les pluies commencèrent, il lui ordonna d'embarquer avec les Sages, les initiés, les animaux et les plantes. Le “poisson” Vishnu donna en garde à Satyawata les Védas : celui-ci devait devenir le Manou de la septième humanité.

Les Védas étant le germe, les textes et les références spirituels devant servir au passage des connaissances pour la restauration de l'humanité future qui est la septième humanité d'aujourd'hui.

La même transition et la même transmission se feront lorsque notre humanité subira le “Feu” pour être remplacé par la huitième humanité.

Il nous faut toutefois être prudents, car la correspondance répétitive des symboles analogiques peut être différente en fréquences, en conséquence, et ne touche pas nécessairement la huitième race pour les mêmes objectifs.

À chaque changement, l'humanité acquiert une évolution par le bilan de ses mémoires collectives  générées pendant son cycle “cause /effet”. Notre planète, qui est la mère de tous les supports biologiques, passe, comme nous, par les étapes du processus du Grand Œuvre alchimique avec les quatorze salvations ou “Aigles”.

Chacune des humanités évolue sur la Terre où le pôle Nord magnétique (et non pas le pôle Nord physique) varie en différentes positions à différentes intensités. À chaque évolution de la Terre, mais également lors des changements d'humanités, la variation du pôle magnétique s'intensifie en corrélation avec la précession solaire et avec le point “Zéro” de Schumann.

Quant au pôle Nord physique, il prend une orientation particulière, car l'axe polaire de notre planète se déplace en corrélation avec le “point Zéro” de notre univers et avec le cycle de la précession solaire.

Dans les textes Védas, on nous cite sept “Dvîpas” correspondant à sept états du globe terrestre qui émergent avec les sept humanités successives. Chaque Kalpa est formé de deux séries septénaires, donc chaque “Dvîpa” apparaît deux fois, la deuxième fois en opposition dans un axe inversé par rapport à la première. Par exemple, le huitième “Dvîpa”, ou huitième race, sera en opposition physique avec le premier “Dvipa”.

L'évolution de l'être est ascendante, même si les humanités successives d'un Kalpa passent toutes par les mêmes phases : un moment paradisiaque, une phase de construction et d'évolution, et une fin “apocalyptique” ou “phase de révélation”.

Un symbole mathématique dans le Manvantara donne une sous-division de celui-ci en quatre âges et correspondant au dharma des phases successives :

a - La perte de l'ascétisme sur soi-même : Tapas.

b – Lla perte de la pureté pour l'humanité : Shaucha.

c – La perte de la compassion : Daya.

d – La perte de la justice et de la vérité : Satya.

Nous retrouvons ce symbole mathématique et mythique dans la Tetraktys pythagoricienne, car la durée totale du Manvantara est représentée par le “Dix” mathématique, soit le un et le zéro. 

L'âge d'or est représenté par le “Quatre”, l'âge d'argent par le “Trois”, l'âge d'airain par le “Deux”, l'âge de fer (le nôtre) par le “Un”, celui-ci étant le Kali Yuga ou “âge sombre” symbolisant aussi l'âge de la moisson (voir Apocalypse selon St Jean dans la Bible), soit mathématiquement : 10 = 4+3+2+1.

Nous retrouvons en sens inverse évolutif le calcul de Pythagore : 1+2+3+4 = 10.

Les phases décrites dans les Purānas sur le Kali Yuga sont plus spécifiques à la phase terminale de cet âge, car il y a des moments de prises de conscience collective, de retours partiels à la conscience de la nature ainsi qu’à la recherche spirituelle dans un climat de décadence politique et économique. À un moment, tout s'exaspère et le temps paraît s'accélérer, les tendances négatives “dormantes” se révèlent. En effet, c'est ce qui caractérise le changement fréquentiel de notre planète, selon les Purānas dans l'âge de Kali, pendant la précession solaire, c’est principalement l'inversion et la destruction des valeurs traditionnelles.

Le premier âge Krita Yuga était appelé l'Âge de la Vérité, Satya Yuga était appelé l'Âge d'Or et le dernier Yuga est celui de la fausseté, de la tromperie, de l'illusion instituée, le triomphe des contre-valeurs, les hommes aux valeurs normales sont jugés anormaux, la Terre n'est plus appréciée que pour ses ressources. Les agriculteurs abandonnent leur métier, les “rois et princes” (dirigeants aujourd'hui) ne protègent plus leurs populations et ne respectent plus les royaumes (nations), ils les exploitent, ils ruinent les valeurs familiales. L'être humain est une marchandise, les adultes n'arrivent plus à protéger leurs enfants, c'est une société de survie matérielle. Dans l'âge du Kali, seul l'argent règne et apporte des privilèges, le mode de vie s'uniformise dans la pauvreté et la promiscuité générale. C'est un monde de pauvreté intellectuelle et une baisse générale des connaissances. Le mariage n'est plus une promesse d'amour ou l'union de deux âmes, la femme comme l'homme n'a plus la recherche de l'autre. L'être humain met sa vie au service du matériel, sans idéal, le Kali est une époque de mort progressive des acquis sociaux. C’est la fin de ce qui a permis de construire les civilisations d'après les textes anciens écrits il y a des milliers d'années.

Paradoxalement, des temps de paix et de recherches d'identité sont donnés pour les rares êtres humains capables de se tenir debout, car la nouvelle fréquence exigera moins d'efforts pour ceux qui ont fait le chemin de la découverte de la Divinité. L'âge de Kali possède un avantage précieux dans son abîme de destruction et de vices. Les êtres humains désireux de se débarrasser des pressions matérielles et sociales pourront avoir accès plus facilement que par le passé à la conscience de l'Être Suprême.

Les mêmes possibilités salvatrices sont écrites dans d'autres religions ou traditions : le Bouddhisme des origines, le Christianisme Orthodoxe, l'Hébraïsme et l'Islamisme. Ces connaissances spirituelles nous disent qu'une participation aimante de l'homme avec la création, la Divinité par l'invocation, la prière de son nom apparaît comme la dernière possibilité pour la voie du Salut à l'ensemble de l'humanité. Cette rédemption passe par le respect et par un équilibre matériel et spirituel, mais surtout par la compréhension de notre présence.

Si la durée réelle du Manvantara était connue et le point de départ de son cycle déterminé avec précision, nous pourrions prévoir les événements futurs. Seuls le paramètre des conséquences sur la vie biologique et les répercussions sur notre ordre social sont plus difficiles à évaluer. Les traditions orthodoxes ne nous ont jamais révélé les clefs nous permettant de connaître avec précision ces révélations ; celles-ci représentant plus d'inconvénients que d'avantages.

Le moyen de calcul est accessible par une recherche personnelle et peut être révélé par l'initiation. Le point de départ et le déroulement exact des événements ont toujours été dissimulés soigneusement “plus ou moins” en ajoutant ou en enlevant un nombre d'années aux dates dans les écrits anciens. Il est toutefois étonnant, troublant, révélateur dans ces calculs de retrouver les dates exactes des grands bouleversements de notre histoire. 

Continuons notre écrit par un sujet directement lié à cette transformation évolutive de nos civilisations : le point Zéro de Schumann.  

Le Zéro de Schumann ?

Selon Wikipédia :“La découverte des résonances de Schumann est attribuée au physicien allemand Winfried Otto Schumann qui les découvre dans les années 1950,  mais il fallut attendre une décennie pour qu'elles ne soient mesurées". George Francis Fitzgerald (en 1893)” et Nikola Tesla (en 1900) avaient déjà émis l'idée que la cavité frontière entre la surface de la terre et l'ionosphère puisse servir de guide d'ondes en relation avec le réseau tellurique de la croûte terrestre appelé réseau Hartmann : nous avons donc trois couches de treillis fréquentiels (voir travaux du Dr Ernst Hartmann de Mannheim). Il existe un deuxième treillis qui se situe à la limite de la stratosphère et un troisième qui est à la limite de la ionosphère. Le premier espace entre les deux premiers treillis donne à notre planète la fréquence “Kai” (première couche en Sumérien correspondant à la dualité). Voir l'expérience des savants, qui transfèrent l'énergie (avec preuve visible) sur des plantes de Marseille à Paris en France dans le texte “Paradoxes de la Science” en utilisant le réseau Hartmann. 

Winfried Otto Schumann collabora en Amérique durant l'opération Paperclip et travailla en 1947-1948 à la base aérienne Wright-Patterson dans l'Ohio puis retourna à son poste à Munich plus tard. 

Les résonances de Schumann sont un ensemble d’oscillations en basses fréquences de 3 à 33 Hz du champ électromagnétique terrestre. Ces résonances proviennent de la cavité interne formée par la croûte terrestre, celle-ci est en “réaction miroir” avec l’ionosphère, c'est-à-dire, l’atmosphère supérieure de notre planète, par son état de conductibilité électrique caractérisée par une ionisation partielle des gaz.

Ces champs électromagnétiques circulent à travers le treillis terrestre. Lorsque les nuages sont appelés à se frotter les uns aux autres, il se forme une zone massive d'ionisation. Ce frottement dans certaines conditions va générer avec la polarité inverse de la terre une décharge électrique de plusieurs milliards d’électrons-volts. Cette réaction se comporte comme d'énormes antennes qui rayonnent d'énergie électromagnétique. 

Ces oscillations voyagent sur plusieurs fréquences de 6 à 50 cycles par seconde (1 cycle = 1 battement par seconde). En plus de la fréquence de base fondamentale de 7,4 Hz, il existe d'autres logarithmes de fréquences qui sont à 14,3 Hz, 20,8 Hz, 27,3 Hz et 33,8 Hz : ces fréquences mettent notre planète et notre structure biologique en résonance (support vibratoire/énergie vibratoire).

Ces vagues ne sont pas causées par l'intérieur de la Terre ou sa croûte terrestre. Il y a un effet miroir entre l'activité électrique de l'atmosphère et la croûte terrestre au moment des charges intenses qui provoquent les éclairs. 

L’existence des résonances de Schumann est liée à deux facteurs : une cavité sphérique fermée de grandeur planétaire et l’ionosphère qui est un champ électromagnétique d’isolation en limite supérieure nous protégeant de la ceinture de Van Allen, constituée de deux zones distinctes appelées « ceinture intérieure », elle-même constituée de protons et la « ceinture extérieure » constituée d'électrons à très haute énergie. Les particules de ces deux ceintures se déplacent en permanence à grande vitesse entre les parties nord et sud de la magnétosphère. Nous comprenons un peu mieux ce qu'il se passe lors des changements d'axe de rotation et de pôles magnétiques lors de la précession solaire en observant le schéma ci-dessous.

Dans notre système solaire, quatre autres planètes – Vénus, Mars, Jupiter, Saturne – ont la même particularité et l’on peut supposer que ces résonances y sont présentes, mais leurs dispositions dans l'espace nous donnent certainement un électromagnétisme différent. Ces effets de résonances magnéto-électriques ont également été détectés sur la planète Titan.

La Terre tourne sur son axe nord/sud et effectue une rotation elliptique au travers des douze constellations. Cette rotation est appelée précession des équinoxes. Elle a un cycle de 26 000 ans, divisé en douze périodes de 2160 années. Les 2160 années correspondent à une ère zodiacale. Chaque zodiaque apporte une modification à la fréquence planétaire. Elle a une action sur toutes vies cellulaires, y compris humaines, et a une conséquence d'évolution ou d'involution sur nos structures sociales.

L'axe nord/sud a une précession circulaire de 360° et un degré d'arc tous les 72 ans. Il peut s'ajouter sur la précession des équinoxes une variation des axes polaires.  Il est déjà arrivé dans notre histoire qu'une inversion cyclique des pôles magnétiques se produise du pôle Nord au pôle Sud. Le mouvement d'inversion n'a pas été véritablement déterminé aujourd'hui. 

La pulsation “cardiaque” géophysique de la Terre est de 7,5 hertz, entre 13 et 15 Hertz, nous avons l'équivalence d'un trou noir ou point Zéro, mais la résonance universelle terrestre est de 63,5 Hertz ou 64 Hertz. Les Égyptiens attribuaient à cette fréquence un calcul mathématique très particulier, puisqu'ils divisaient ce nombre “64” par “8”, soit le chiffre “8” (comme par hasard...). Nous retrouvons ce chiffre dans le calcul mathématique de la construction de certaines salles de la pyramide de Khéops. Il est probable qu'il existe sous la chambre de la reine une autre salle qui correspondrait à ce nombre symbolisant la naissance et la transformation : le Phénix.

Les résonances de Schumann mettent en évidence un Point Zéro. La Terre avait la même fréquence depuis des milliers d’années (depuis la dernière inversion des pôles magnétiques) de 7,4 cycles par seconde. Elle augmente sa fréquence entre le 13 août 1983 et le 13 août 1984. Cette fréquence hertzienne qui augmente correspond (comme par hasard) aux changements d'émissions de la fréquence du Sphinx en relation avec d'autres monuments historiques planétaires situés sur des croisements telluriques en relation avec Orion, les Pléiades, Sirius et la constellation de la Lyre. 

La Terre, que l’on pourrait dater d'environ un milliard d’années dans sa densité actuelle, est beaucoup plus âgée. Elle a suivi des cycles fréquentiels qui ont entraîné des modifications dans sa structure géographique et géophysique. La complexité de sa constitution cosmo-tellurique agit sur le minéral, le végétal et les organismes vivants, donc sur le Bâ (« âme » en égyptien) et le Kâ (« l'esprit » en égyptien). Le Bâ en harmonie avec l'élément eau (correspondant au septième kalpa), le Kâ en harmonie avec l'élément feu (correspondant au huitième kalpa). La Terre est une planète de notre système solaire, de la galaxie et de l’univers, elle est en mouvement permanent comme les particules de nos cellules, et est en résonance de l’infiniment petit à l’infiniment grand.

Aujourd’hui, la Terre subit des bombardements de photons : ce mot photon venant du grec qui signifie lumière. Ce sont des « paquets » d’énergie élémentaire de rayonnements électromagnétiques. Ceux-ci ont une action lors de l’absorption ou de la réflexion de la lumière par la matière.

La Terre, en traversant cette ceinture de photons, voit sa vitesse de rotation ralentir, ce qui entraîne une augmentation de sa résonance jusqu'au point zéro de Schumann, comme expliqué par Gregg Braden qui se fonde sur les résultats des chercheurs norvégiens et russes.

La surface de la Terre est un énorme circuit magnétique. Il existe une « zone neutre » entre la surface de la Terre et l’ionosphère. L'espace entre les deux est de 55 kilomètres.

La diminution de la charge magnétique terrestre et l'accélération de ses pulsations entraînent une diminution de son amplitude électromagnétique. 

Les planètes suivent un cycle et sont en perpétuel mouvement dans l’univers. L’astrologie et l’astronomie connues depuis des milliers d’années nous renseignent au sujet de la position des planètes et de leurs cycles. Certaines civilisations et peuples (Chinois, Égyptiens, Mayas et Indo-Aryens) en ont fait des cartes précises et dessinées les trajectoires futures.

Ces peuples savaient que l’axe de rotation de la Terre ne restait pas dans la même position, puisqu’il change tous les plus ou moins 26 000 ans, date à laquelle nous pouvons estimer être passés à une nouvelle transformation évolutive qui marqua le début de notre civilisation. 

Une inversion polaire magnétique a déjà eu lieu, on peut imaginer qu'une autre inversion est attendue, pour démarrer un nouveau cycle naturel et nécessaire d’évolution.

Quand la fréquence de résonance de la Terre, actuellement en augmentation, atteindra les...? Hz, nous arriverons à un point zéro, nous amenant à un changement biologique mais aussi de conscience ayant des répercussions économiques et sociales sur tous les continents.

Notre résonance biologique (support vibratoire/énergie vibratoire) se modifie lorsque les “battements” fréquentiels terrestres évoluent suivant le cycle de la précession solaire. 

La lecture des codifications vibratoires physiques de notre ADN est ordonnée par des paliers de fréquences en tranches de 7.4 battements par picoseconde (1 picoseconde = 1 milliardième de seconde), ces fréquences oscillatoires sont en corrélation avec les mêmes paliers fréquentiels que le “pouls” terrestre (qui eux sont en Hertz). Un passage progressif au point zéro nous amène probablement à une nouvelle ouverture et une nouvelle lecture des “chapitres” de notre ADN (composée des quatre protéines de base et de 24 acides aminés), une interprétation différente qui entraîne automatiquement un changement de notre conscience. 

Ce passage au point zéro symbolise une mort et une naissance, notre ADN reçoit une énergie fréquentielle différente, ce qui entraîne une sortie de la dualité, du “Deux” : (Yin/Yang, positif/négatif), pour révéler le “Trois” : le Fils. À partir de cette étape, les trois principes pourront fusionner pour atteindre une étape “Coagula” et pour activer sur notre plan organique la liaison avec notre ADN dit “fantôme” de notre plan de conscience causal. C'est une véritable alchimie de l'infiniment “grand” sur l'infiniment “petit”. 

Nous retrouverons la pleine capacité naturelle de la conscience de notre Soi supérieur, pouvant nous amener au stade d'une “fusion directe”, mais cela demandera des centaines d'années d'évolution. 

Ces étapes alchimiques sont vécues par l'Univers, la Terre et par tous les êtres vivants, y compris les êtres humains. Solve et Coagula conduisent à la “Pierre Philosophale”, et ensuite, par les dix multiplications, à la résurrection, puis l'état de lumière pure ou l'éternité. 

Nous devrions penser au-delà de nos simples technologies et découvrir d’autres vérités sur notre nature et celle de l’univers. Il est évident que dans les années précédant l'événement de ce changement de cycle, notre conscience nous amènera à construire un ordre social, économique et spirituel différent.

Ce Point Zéro où le Changement des Temps a été vécu par les peuples anciens depuis des millions d’années, continuera encore des millions d’années pour les civilisations terrestres futures, mais pas sous la même forme organique et sociale. À moins que l’Homme ne puisse pas franchir ce point vibratoire du 0 au ..? Hz. Ce changement entraîne une libération des mémoires dans les champs morphogénétiques, ceux-ci par augmentation vibratoire seront purifiés permettant à de nouveaux champs de se mettre en référence sur l'archétype. Il est évident que cette transformation entraînera notre collectif vers un profond changement émotionnel, mental et spirituel.   

Nous faisons le lien avec nos différents corps vibratoires et la résonnance de Schumann

Le corps humain est composé à l'extérieur de sept couches vibratoires, la huitième et la neuvième couches ne font pas partie de cette explication. Chaque couche vibratoire (appelée plus communément aura), est en relation avec les sept chakras ou glandes endocrines (cette explication est très schématique). Chacune d'entre elles est subdivisée en sept couches et en douze directions dans l'espace. Cela donne sept couches et sept sous-couches dans douze directions: 7 x 7 x 12. Ces sept couches vibratoires peuvent s'étendre chez un être particulièrement développé aux niveaux spirituels et vibratoires à une distance du corps physique pouvant atteindre 7 mètres, voire plus.

Il nous est dit dans l'histoire de l'Inde que l'aura de Siddharta Gautama devenu Bouddha (qui a atteint l'état de l'ascension Bouddhique) se ressentait jusqu'à 120 kilomètres. L'apôtre Jean guérissait les malades par son aura quand il traversait la foule. 

Décrivons le corps physico-éthérique, ses 7 couches et ses 7 sous-couches. Nous abordons dans ce texte ni le vrai plan astral, ni le plan mental, ni le plan causal, car leurs fréquences ne sont pas accessibles. Nous allons juste décrire les fréquences et les harmoniques de ces plans au niveau physico-éthérique. 

La première couche : le corps physique émet sur une fréquence de base de 7.24 picosecondes. Elle est composée dans sa structure comme les six autres couches de sept sous-couches qui sont en relation d'oscillations vibratoires avec les acides aminés, la liaison de l'hydrogène composant les “chapitres du livre”  de notre ADN et de notre ARN. La mauvaise duplication du message ou code vibratoire  entraîne une mauvaise reproduction progressive des télomères, ce qui entraîne une mauvaise copie de la séquence des télomères qui ne correspond plus à l'originale : on parle alors de dégénérescence à la fois vibratoire et physique.

L'ADN contient une mémoire, la constitution de notre corps physique mais aussi celui de nos “corps” émotionnel, mental et causal. 

On dit que seulement 10 à 20 % de notre ADN est actif. Les autres séquences sont en “sommeil” et elles seraient en lien avec notre ADN dit “fantôme”. L'ADN contient l'origine des mémoires qui nous sont personnelles, mais également collectives, et la probabilité de l'ordonnance de notre futur. L'ADN ressemble à un livre où vous pouvez passer des “chapitres” ou l'interpréter et le lire d'une manière différente, suivant votre code génétique personnelle, votre support vibratoire, vos émotions et votre mental énergie/vibratoire. 

Exemple : lisez un texte dit “Sacré” archétypal à plusieurs reprises. Vous l'interprétez à chaque fois avec de multiples niveaux de compréhension et/ou de conscience différentes à chaque lecture. Il en est de même pour la lecture de notre ADN, sauf que les chapitres de notre ADN peuvent être rangés dans un ordre différent et fixer des énergies en relation avec des plans fréquentiels de “conscience” plus ou moins élevés. 

Nous pouvons comprendre maintenant pourquoi des médicaments ou des aliments peuvent contenir tous les principes actifs mais, hélas, être vibratoirement parlant sans vie (voire toxiques), comme un être humain peut être vivant sur le plan biologique, mais ne pas être en phase avec son code de vie personnel. Le corps humain a cinq atomes germes permanents en relation avec ses cinq corps subtils (ou mémoires) dont un d'entre eux est en relation directe avec huit types de cellules souches totipotentes (qui sont à l'origine de la formation de l'embryon du corps humain) : elles communiquent entre elles par des signaux fréquentiels dont la forme géométrique est un tétraèdre. Les quatre autres atomes germes sont logés dans des organes maîtres du corps humain. Ces quatre atomes germes permanents sont en relation avec les glandes endocrines majeures. L'emploi des cellules souches aujourd'hui en médecine comporte des risques réels et incompris...

Voici la décomposition vibratoire des différentes harmoniques avec les différents organites cellulaires (séquences ADN/ARN, organites cyto-plasmiques, ADN mitochondrial, mitochondries, etc.) et les sept couches auriques du corps humain (corps physico éthérique en relation avec les sept chakras).

Le corps humain est entouré de plusieurs “enveloppes” vibratoires (comme des poupées russes). Chaque “enveloppe” vibratoire est en relation avec un chakra de notre corps humain (voir texte “les chakras” de la fondation Fulmina). Chacun de ces chakras est en relation avec de multiples  fonctions ou organes de notre corps et différents états de conscience émotionnelle et mentale. Chaque “enveloppe” vibratoire ou couche aurique comporte chacune sept sous-couches qui sont en relation avec les sept niveaux vibratoires de chacun des chakras.

La fréquence de la première couche est de 7.24 picosecondes (unité de mesure de temps, valant 10-12 secondes).

L'amplitude de cette première couche est de 7.24 picosecondes dans quatre directions, puis 14.48 picosecondes dans quatre directions (sous-couches), puis 21.72 picosecondes dans quatre directions, puis 28.96 picosecondes dans quatre directions. Ces trois couches nous donnent douze directions.

Les amplitudes suivantes sur cette première couche sont de 36.20 picosecondes, puis de 43.44 picosecondes, puis de 50.68 picosecondes. La huitième amplitude de 56 à 64 picosecondes donne la dernière direction qui détermine l'espace, le temps ou la direction dans l'espace.

Chacune de ces quatre premières directions forment une croix : 

  1. croix élémentaire Terre 

  2. croix élémentaire Eau

  3. croix élémentaire Air

  4. croix élémentaire Feu

Les autres couches vibratoires des corps physico-éthérique, émotionnel et mental sont basées sur le même archétype, mais pas sur les mêmes fréquences et les mêmes amplitudes. 

Une huitième couche (et sous-couche) existe, sa fréquence s'étend de 50.68 à 63.23/64 picosecondes, son amplitude représente la clef de passage (espace, temps, direction), de la première couche corps physique à la deuxième couche corps astral. 

Cette huitième couche contient en information l'espace, le temps et la direction. Elle est en relation avec Neptune, Uranus et Pluton. Cette première couche physico-éthérique a une dominante saturnienne. Mais chacune de ces sept sous-couches est en relation avec une planète : Jupiter, Mars, Vénus (planète noire), Mercure, Lune et Soleil, donc avec un métal (ou métalloïde), une pierre précieuse et une forme géométrique particulière. La huitième couche en relation avec ses trois planètes (Neptune, Uranus et Pluton) est en relation avec les trois énergies primordiales que sont : phase de construction φ, phase de mouvement φ, phase de réalisation φ (espace, temps, direction). Ces phases représentent les trois plans de la conscience, donc du “Soi” supérieur.  

Les quatre amplitudes de bases représentent les quatre éléments (tempéraments) ou quatre croix. Chacune de ces croix nous donnent quatre directions dans l'espace et dans le cercle (π). Les trois amplitudes supérieures représentent les principes qui nous donnent chacun une direction dans l'espace. La huitième amplitude renferme le “nadir” (le passé) et le zénith (le futur). 

Les chélatants (la chélation est un processus physico-chimique métallique, alors complexé, dit chélaté). Ce sont des transporteurs d'informations de traces métalliques infinitésimales (zinc, nickel, cobalt, plomb, fer, cuivre, mercure, étain, argent, or) qui se fixent sur des séquences de notre ADN. Ces chélatants sont chargés d'informations vibratoires afin d'ouvrir ou de fermer à des endroits précis les différents chapitres fréquentiels de notre ADN. Les superoxydes dismutases (SOD) sont des métalloprotéines ou oxydoréductases (enzymes). Ils interviennent dans les mécanismes d'élimination des radicaux libres (voir texte “principe de régénération : fonction de la bioélectricité” sur Fondation Fulmina).

Ces sept couches sont en relation avec le corps physico-éthérique de notre planète. Jusque dans les années 84 à 87, date où le Sphinx et la pyramide ont augmenté leurs fréquences, la Terre émettait une fréquence géophysique de 7.5 Hertz. 

Au courant de l'année 2011, notre planète a atteint les 11.5 Hertz. Elle devrait continuer à augmenter sa fréquence. Ce niveau fréquentiel devrait nous amener à un palier de passage appelé le point zéro de Schumann. La conséquence n'est pas que climatique, elle a aussi des effets sur notre conscience sociale et ces répercussions sont inconnues et à découvrir.

Relations entre le zéro de Schumann, la Terre, l'évolution du corps humain et la médecine 

Il existe une technique de diagnostic médical autant physique que vibratoire. Cette pratique permet de faire un diagnostic très rapide sur la maladie et ses causes physiques, émotionnelles et mentales, en partant du symptôme jusqu'à l'origine de la pathologie. Elle a un avantage car elle permet de trouver un remède dans la pharmacopée ou ailleurs et de vérifier immédiatement son efficacité, sa neutralité ou sa toxicité. Pour simplifier  grâce à cette approche, nous pouvons trouver par résonnance le remède et expliquer aux patients la cause de son désordre, ce qui est capital pour lui. 

Le test entre le patient et le remède donne une analyse du support vibratoire/énergie vibratoire, puis la correction que va provoquer le remède sur le(s) facteur(s) déclenchant la maladie. 

Cette technique permet de comprendre toutes les pathologies inflammatoires et dégénératives qui ont très souvent leurs causes sur un plan physique et vibratoire assez élevé. Voici quelques bases d'explications supplémentaires.

La chaîne des lymphocytes T trouve son origine dans la glande du thymus : celle-ci se retrouve au niveau du quatrième chakra (Anahata, chakra du cœur dans lequel se trouve l'atome germe du corps mental). À l'âge adulte, cette glande devient embryonnaire, c'est un peu la même image qu'une prune minuscule desséchée. Il existe sept  lymphocytes T, plus un qui représente la clef. Vous retrouvez de nouveau une analogie avec les Kalpas, le zéro de Schumann, les différents corps subtils et nos chakras : la nature est décidément bien faite. 

Dans les premières années de la vie, l'enfant à cette glande en pleine activité. Pendant les trois premières années, la glande endoctrine, le thymus, va progressivement envoyer une information par la chaîne informative hormonale aux cellules souches logées à la hauteur du premier chakra Muladhara afin de les activer. Cette information actionne le programme de réaction de la mémoire immunitaire, principalement celle de la moelle osseuse, de la moelle épinière et envoie une information énergétique au cinquième chakra (Vishuddha) thyroïde, parathyroïde, le sixième chakra (Ajna) glande pituitaire, et le septième chakra (Sahasrara) glande pinéale. Ces informations vont activer et renforcer la rate, qui est le chakra physico-éthérique (rayon rose). Le quatrième chakra (le thymus) contient en lui la banque de données nécessaires pour activer les mémoires du “disque dur général” de notre système immunitaire. Celui-ci a demandé des milliers d'années d'évolution pour être aussi performant. 

C'est une des raisons pour lesquelles nos enfants ont des maladies infantiles. Cela leur permettant d'activer leur propre immunité, qui durant les premières années est encore en partie celle de la mère. C'est également pour cette raison qu'il est très important que les femmes continuent à allaiter leurs enfants les premiers mois. Le lait maternel contient pour les premiers mois de la vie l'information du système immunitaire maternel. Il existe un chakra au niveau du palais chez l'enfant qui prend l'information vibratoire de ce lait maternel. Ce chakra est relié directement aux glandes pituitaires et pinéales et donne l'information holographique au thymus et à la chaîne immunitaire.  

Notre engramme de vouloir vacciner un enfant en bas âge, pour des raisons de peurs par exemple, est qualifiable pour ma part de crimes contre notre descendance que nous désirons en pleine santé. Les maladies infantiles sont très rarement mortelles, notre système immunitaire est une “troupe de combattants d'élites” dont la formation a demandé des milliers d'années d'évolution. Empêcher ce système immunitaire de réagir, correspond à bloquer la réalisation de prise de conscience de l'identité personnelle d'un individu. L'immunité n'est pas que physique : elle est aussi émotionnelle, mentale et causale.

Il est démontré par de multiples tests scientifiques qu’une vaccination intensive sur des enfants en bas âges ou adolescents n’ayant eu aucun test préventif d’adaptation au vaccin (par chélation) peut provoquer un danger plusieurs années après (causes de maladies auto-immunes). Il a été demandé à l'OMS au début des années 90 d'appliquer des règles qui n'ont jamais été mises en application. Le corps médical dans les centres hospitaliers ignore complètement cette mesure préventive. 

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