Ganoderma Lucidum Rouge Fort ou Ling Zhi en Chinois

Publié il y a 5 ans
Par Fulmina Institut
Red Strong Ganoderma Lucidum or Chinese Ling Zhi
Ce texte explicatif a été écrit par «Fulmina Institut ». Les explications des termes scientifiques et médicaux sont en partie extraits de la Fondation Wikipédia que nous remercions .

La légende réelle du Ling Zhi 

La préoccupation des anciens mages médecins et alchimistes chinois , mais aussi ceux des autres continents étaient de comprendre l’ordre de construction de notre monde, du plan de l’émanation au plan de l’action, en d’autre termes, de l’invisible au visible. Ils cherchaient à fixer, concentrer et conserver dans une matière qu’ils appelaient “tourbe noire ou al-kemia” ou “oeuf philosophal”: les forces universelles de la nature. Ils recherchaient la préparation d’une médecine universelle pour maintenir les énergies du corps humain en bonne santé, et, ainsi prolonger l’existence.

Nous pensons après de maintes recherches et questions posées à quelques maîtres chinois que dans la haute antiquité des initiés égyptiens, indiens, celtes (druides), mayas, perses, etc… étaient en contacts et s’échangeaient des connaissances sur la nature et sur une science qui a aujourd’hui en grande partie disparu.

Différentes légendes et textes de monde évoquent souvent l’art d’extraire les trois principes des trois règnes, végétal, minéral et cristallin : le principe salin, le principe huileux et le principe soufreux afin de fabriquer cet élixir de longue vie appelé en occident “pierre philosophale” dénommé en Chine “lian dan shu”, le sang réel “zhen zheng de xue”.

Pour quelques adeptes chinois, cette science se décomposait en deux applications différentes, mais la connaissance de base reste la même. Nous retrouverons ces deux applications dans deux mots : spagyrie composée de deux racines “spao”(séparer) et “ageirem”(rassembler) et l’alchimie composée de “al” et de “kemia” ou “al dieu” et « kemia » (chimie) dont le principe opératoire est « solve» (séparer, sublimer) et « kemia » (coagula : rassembler ). L’art est donc de séparer les trois principes, de les purifier et de les rassembler de nouveau.

La spagyrie concerne l’art d’extraire les principes des végétaux ou des métaux et l’alchimie, la transformation au travers de l’art de l’oratoire et du laboratoire , de la matière mais également de l’alchimiste lui même : la récompense étant la pierre philosophale symbolisée par le “sang du dragon du ciel ” pour les maîtres chinois qu’il prenait comme élixir pour se régénérer tous les soixante ans ; ce mercure rouge qui, étalé, montre une couleur or.

Nous n’avons pas l’intention dans ces quelques lignes d’expliquer dans sa totalité cette énorme science (nous en sommes incapable) gardée jalousement par tous les adeptes des différents continents depuis des milliers d’années . Cette science fut d’ailleurs pourchassée par les différents rois et empereurs de Chine et d’ailleurs, car elle représentait un véritable pouvoir, non pas sur la matière, mais sur l’esprit puisqu’elle expliquait le pourquoi de notre existence et son but.

La fabrication de la tourbe noire, véritable catalyseur d’énergie des forces vives du végétal susceptible de condenser ces forces et de les rendre assimilables par l’organisme humain afin de renforcer son énergie tant physique que subtile. La matière première a été de tout temps jalousement gardé bien que de nombreux textes nous expliquent qu’elle se trouve en abondance et qu’elle est très simple à se procurer . Ils recherchèrent par observations et opérations en laboratoire qu’elle pouvait être cette matière première capable de séparer, de sublimer et de retenir ces forces.

Ils définirent une méthode afin de ramasser au lever du jour les végétaux, sans que l’énergie de ceux-ci ne retourne à la terre, afin de conserver les forces vives élémentales. Après la cueillette, ils enfermaient la plante à l’intérieur d’un récipient en terre à l’abri de la lumière, rempli de rosée fraîche recueillie au lever du soleil à une époque particulière de l’année. L’ensemble était ensuite chauffée à température de cendres (40 degrés) pendant une période de 40 jours. Cette opération était répétée plusieurs fois dans l’année afin d’engrosser, et, de nourrir cette tourbe de matière, et, d’énergie qui par différentes étapes passait de la fermentation à la sublimation et ensuite à la calcination. Arrivé à terme, cette tourbe avait la capacité d’extraire la première essence de l’or, son principe mercuriel est de teinter la sublimation finale extraite de cette tourbe d’une couleur or (principe “yang” le soleil) ou d’argent (principe “ying” la lune).

Les différentes étapes de la fabrication de l’élixir permettaient de faire passer ces trois principes : salins, mercuriels et soufreux du règne végétal par les quatre éléments : la terre, l’eau, l’air et le feu (le froid, le chaud, l’humide et le sec / le lymphatique, le mélancolique, le sanguin, le bileux). Le cinquième élément, le bois représente la synthèse des quatre précédents, la réaction des trois principes dans les quatre éléments : il est le feu secret, le sel sec et humide qui est exposé à la lune.

Ce principe bois est composé et est fixateur de l’énergie ancestrale “l’esprit du monde” qui en latin se prononce “le spiritus mondis”.

C’est pour cette raison que nous retrouvons dans la symbolique asiatique et dans la médecine chinoise le Ling Zhi. Les maîtres chinois avait compris ce champignon et le prenait comme base pour la fabrication de cet élixir. Quand la tourbe était prête, ils rajoutaient une infime quantité d’or ou d’argent, puis le préparait alchimiquement en dilution suivant des principes que nous retrouvons en occident dans la médecine anthroposophique ou dans la méthode de dilution de l’homéopathie Hahnemannienne afin de parfaire leur médecine.

Il en était d’ailleurs de même pour les alchimistes spagyristes arabes, européens, indiens, etc… Seule les plantes de base qu’ils utilisaient étaient différentes, et, suivant les cultures, la méthode variait dans les étapes de préparation mais la connaissance des différents plans était la même. Il est troublant de retrouver dans la symbolique chinoise, le Ling Zhi dans le bec de l’oiseau ibis que nous retrouvons également dans la symbolique égyptienne puisqu’il représente l’oiseau de Thot ou d’Hermès, le père de l’alchimie.

Nous espérons à travers ces quelques lignes succinctes avoir ouvert une réflexion sur la symbolique et la science des anciens maîtres “chinois” qui utilisaient le Ganoderma Lucidum rouge pour ses différentes qualités bien avant que nous mêmes et notre science actuelle n’en découvrent les propriétés . Ces connaissances en Chine sur l’art d’extraire et de préparer des remèdes ainsi que la connaissance de l’acupuncture (les anciens médecins chinois utilisaient des aiguilles d’or ou d’argent qu’ils trempaient pour certains cas dans un élixir d’or ou d’argent ) et de la médecine étaient transmises de maître à élèves oralement ce qui explique le peu d’informations accessibles qui nous sont parvenues.

Propriétés

Il existe de six à sept variétés différentes de Ganoderma mais nous n'en retiendrons que six car le septième est extrêmement rare (rouge, pourpre, bleu, jaune, noir ou blanc). Ces différences de couleurs sont attribuables à des conditions de croissances spécifiques et à la qualité des sols.

Seul le Ganoderma Lucidum rouge à pleine maturité contient l'ensemble des principes actifs tels que les acides aminés et les minéraux suivants : germanium, potassium, calcium, phosphore, magnésium, sélénium, fer, zinc et cuivre.

Seuls les corps de fructification des Ganoderma Lucidum rouges récoltés à maturité sont sélectionnés pour l'extraction. Le Ganoderma Lucidum rouge est un champignon ligneux qui contient plus de 200 principes actifs . Le Ganoderma Lucidum rouge a une composition particulièrement riche en antioxydants ; ces antioxydants ne sont pas uniquement des vitamines ou des minéraux, mais également des principes actifs qui lui sont propres. Le Ganoderma Lucidum rouge contient aussi en grande quantité des polysaccharides et des triterpènes (ces composants favorisant entre autres le développement de nouvelles cellules saines).

Parmi les polysaccharides contenus dans le Ganoderma, nous retrouvons des acides aminées telles que des glycoprotéines, des fractions des b-D-Glutamiques acides et neutres, hétéro glucides : D-mannose, acide D-glucuronique, D'Xylose. Parmi les triterpènes hyperoxydés présents dans le Ganoderma Lucidum, nous retrouvons des lanostanes (acides ganodériques, mais aussi des ganolucidiques, des lucidéniques, etc...). De plus, le Ganoderma contient des 7-hydroxystérols et d'autres éléments non analysés.

Les principes actifs présents dans le Ganoderma sont assez rares dans le monde végétal, ce qui explique son action particulière sur l'organisme humain.

Les plus importants des composants du Ganoderma sont: les Polysaccharides, les Triterpènes* et l’Adénosine et chacun de ces trois composants étant reconnu médicalement comme ayant d’excellents effets positifs.

* Les triterpènes sont des substances d'origine organique en C30 (30 atomes de carbone) de la famille des terpènes. Très répandus dans la nature, on les trouve notamment dans les résines, à l'état libre, sous forme estérifiée ou hétérosidique.

L'Adénosine

C'est l’une des briques des acides nucléiques. L’adénosine est issue de l’association de la base azotée adénine et d’un ribose (dans le cas de l’ARN) ou d’un désoxyribose (dans le cas de l’ADN). L’adénosine peut être associée à des groupements phosphate. On parle alors d’adénosine monophosphate (AMP), d’adénosine diphosphate (ADP), ou d’adénosine triphosphate (ATP).

L’adénosine participe à la formation des acides nucléiques (ADN et ARN). Mais elle joue également des rôles majeurs dans le métabolisme.

En particulier, l’ATP est une molécule énergétique qui peut libérer de l’énergie en hydrolysant une liaison phosphodiester.

L’AMP cyclique (AMPc) est également une molécule particulière, dans le sens où elle agit comme un relais dans la transduction des signaux intracellulaires. L’adénosine est aussi un neurotransmetteur hormonal.

Les acides ganodermiques sont classés dans les triterpènes. Ces triterpènes accentuent la consommation d’oxygène, tonifient le foie et ont une action anti-stress. Ce sont ces acides qui sont responsables du goût légèrement amer des produit à base de Ganoderma.

Ces polysaccharides – sont une longue chaîne de molécules de glucose qui aident au renforcement de la capacité de récupération physique pour l’ensemble du corps.

Immunostimulant

Stimule les réactions de la chaîne immunitaire par les polysaccharides (les polysaccharides (parfois appelés glycanes, polyosides, polyholosides ou glucides complexes) sont des polymères constitués de plusieurs oses liés entre eux par des liaisons O-osidiques. les polysaccharides de réserve : la molécule source d'énergie pour les êtres vivants est principalement le glucose, sous forme d'amidon chez les végétaux et de glycogène chez les animaux).

Ils augmentent la sécrétion de TNF Alpha [ le facteur de nécrose tumorale (TNF de l'anglais : tumor necrosis factor, aussi appelé cachexine ou cachectine) est une importante cytokine impliquée dans l'inflammation systémique et dans la réaction de phase aiguë. Le TNFα fait partie d'un groupe de plusieurs cytokines qui stimulent toute la phase de réaction aiguë. C'est une glycoprotéine de 185 acides aminés, obtenue par clivage d'un précurseur de 212 acides aminés se trouvant à la surface de macrophages ou de fibroblastes. Certaines cellules sécrètent des isoformes plus ou moins longs. Génétiquement, le TNF provient du chromosome 6p21 chez les humains]

Les polysaccharides

Ils favorisent la réponse immune des cellules T auxiliaires, l’extrait aqueux augmente le poids des tissus immuno-compétents, augmente la phagocytose par les macrophages*, induit la prolifération des lymphocytes T et de l’activité des Natural Killers.

* Les macrophages sont des cellules infiltrant les tissus, découvertes par Elie Metchnikoff en 1883. Ils proviennent de la différenciation de leucocytes sanguins, les monocytes.

Antimutagène

S'oppose aux substances susceptibles d'introduire des mutations.

Hépatoprotecteur

Empêche l’augmentation des transaminases** et des phosphatases alcalines (alcoolisme).

** Les transaminases sont des enzymes localisées à l'intérieur des cellules. Il en existe deux types : l'aspartate aminotransférase (ASAT ou TGO) et l'alanine aminotransférase (ALAT ou TGP). Les taux des transaminases dans le sang augmentent lorsqu'il existe une lésion cellulaire, principalement au niveau du foie, du cœur, des reins ou des muscles. Leur dosage est donc utile dans le diagnostic de maladies comme l'hépatite virale, l'atteinte du foie par abus d'alcool ou l'infarctus du myocarde.

Antioxydant***

augmente les concentrations de glutathion réduit et les activités de la glutathion peroxydase, glutathion-S-transférase, superoxyde dismutase.

*** Les antioxydants sont des molécules naturellement présentes dans de nombreux aliments et qui ont une fonction de capteurs des radicaux libres, responsables entre autres du vieillissement des cellules. Ils permettent aussi de faire baisser le taux de cholestérol, de prévenir les maladies cardio-vasculaires et les cancers ou de protéger les yeux. La famille des antioxydants comprend les vitamines C et E, la provitamine A, les polyphénols...

Gastroprotecteur

Un protecteur gastrique est en général une substance dont le rôle ou l'une des propriétés est d'empêcher les lésions de la muqueuse de l'estomac.

Neuroprotecteur

L'activité de soutien et de régénération du réseau de transmission neuronal.

Propriétés antidépressives.

Antitumoral par les triterpènes***

***Les triterpènes sont des substances d'origine organique en C30 (30 atomes de carbone) de la famille des terpènes. Très répandus dans la nature, on les trouve notamment dans les résines, à l'état libre, sous forme estérifiée ou hétérosidique ) et les polysaccharides (inhibition de la croissance des cellules tumorales hépatiques sans toucher les hépatocytes* normaux. * Les hépatocytes sont des cellules du foie. Ce sont de véritables usines biochimiques, assurant de nombreuses fonctions métaboliques.

Ses propriétés anti-tumorales inhibent la prolifération des cellules du cancer du sein MDA-MB-231 en régulant à la baisse le signal Akt/NF-kappaB ainsi que dans les cellules PC 3 de la prostate.

Antihypertenseur

Par son activité sur l'enzyme de conversion de l'angiotensine (l'angiotensinogène, l'angiotensine I et l'angiotensine II sont des peptides impliqués dans la maintenance du volume et de la tension artérielle. Ils jouent un rôle important dans le système rénine-angiotensine-aldostérone).

Adaptogène physique et psychique

Une plante adaptogène est une plante augmentant la capacité de notre corps à s’adapter aux différents stress, quelles que soient leurs origines. Dans la médecine traditionnelle chinoise, la notion d'« adaptogène » existe depuis des milliers d’années sous le concept de « toniques supérieurs», qui régularisent les diverses fonctions et augmentent l’énergie, favorisant globalement la santé sans traiter pour autant de maladies spécifiques.

Comme différentes études l'ont démontré, ce concept correspond bien aux plantes comme le Panax ginseng, le Lapacho, la Rhodiola rosea, l'Astragalus membranaceus, l'Eleutherococcus senticosus, le Schisandra chinensis, dont l'action permet d'élever ou d'abaisser la température corporelle ou la tension artérielle, de faire perdre ou gagner du poids, de stimuler ou calmer le système nerveux, le système hormonal et immunitaire.

Les plantes adaptogènes apportent une réponse fonctionnelle et variable de modulation et de régulation, spécifique aux besoins de l'individu. Ces plantes se caractérisent par une action non spécifique sur l'organisme.

Les adaptogènes sont des régulateurs généraux des fonctions internes : ils tendent à accroître les capacités homéostatiques propre à notre organisme, en recherche permanente d'équilibre.

Analgésique

Les analgésiques ou antalgiques sont des médicaments utilisés en médecine dans le traitement de la douleur. Ils augmentent naturellement les concentrations de glutathion** réduit et les activités de la glutathion peroxydase***, glutathion-S-transférase****, superoxyde dismutase*****.

**glutathion : le glutathion est un tripeptide, formé par la condensation d'acide glutamique, de cystéine et de glycine : γ-L- Glutamyl-L-cystéinylglycine. Le glutathion, qui existe sous forme oxydée et réduite, intervient dans le maintien du potentiel redox du cytoplasme de la cellule. Il intervient aussi dans un certain nombre de réaction de détoxication et d'élimination d'espèces réactives de l'oxygène. À noter que le groupement amine de la cystéine se condense avec la fonction acide carboxylique en γ de l'acide glutamique. Pratiquement toutes les cellules en contiennent une concentration élevée. On le représente de manière simplifiée par GSH (forme réduite) ou GSSG (forme oxydée), la fonction thiol lui conférant ses principales propriétés biochimiques.

*** glutathion peroxydase (GPx) est une sélénoprotéine ayant fonction d'enzyme, formée de quatre sous-unités contenant chacune un atome de sélénium incorporé dans une molécule de sélénocystéine (dans laquelle le soufre du groupement thiol de la cystéine est remplacé par le sélénium). La glutathion peroxydase est présente dans les liquides extracellulaires et dans les cellules au niveau du cytosol et des mitochondries. Elle assure la transformation des hydroperoxydes organiques, lipidiques notamment, de type ROOH en ROH.

****glutathion-S-transférase : Une glutathion S-transférase (GST) est une transférase qui catalyse des réactions du type : - RX + glutathion HX + R-S-glutathion.

*****Les superoxyde dismutases (SOD), sont des métalloprotéines possédant une activité enzymatique: la catalyse de la dismutation du superoxyde en dioxygène et peroxyde d'hydrogène. Pour cette raison, cette enzyme est une partie importante du système de défense contre les radicaux libres.

Les enzymes de cette famille sont diversifiées. Qu'il s'agisse de protéines cytosoliques, mitochondriales ou microsomales (désormais rassemblées sous l'acronyme des MAPEG), les GST sont présentes chez les eucaryotes et les procaryotes. Chez ces derniers, elles catalysent de nombreuses réactions dont la plus connue est la conjugaison du GSH réduit à des substrats endogènes et xénobiotiques.

Résumé des propriétés

  • Immunostimulant
  • Antimutagène
  • Hépatoprotecteur (alcoolisme) agent détoxifiant majeur, en cas d'intoxication des métaux lourds et des polluants
  • Antioxydant
  • Gastroprotecteur
  • Neuroprotecteur
  • Antidépresseur
  • Antihypertenseur, améliore le système cardio-vasculaire
  • Anti-tumoral
  • Adaptogène
  • Analgésique
  • Action de régénération physique et cérébrale
  • Améliore grandement le sommeil et la récupération physique
  • Augmente les niveaux d’énergie


Le Ganoderma peut être utilisé au quotidien pour des intoxications alimentaires et médicamenteuses, pour prévenir la grippe, les rhumes, les bronchites, les sinusites et bon nombre de problèmes et maladies en relation avec les virus et les bactéries.

L'Ail Rouge 

L'ail dans cette préparation du Ganoderma Lucidum rouge renforce son effet thérapeutique sur le plan antiseptique, anti-inflammatoire, anticholestérol, antioxydant, anti allergies. Il est utilisé depuis plus de 5.000 ans en Asie centrale.

Les acides phénoliques (l'acide phénolique est un composé organique possédant au moins une fonction carboxylique  et un hydroxyle phénolique) de l’ail agissent comme un antiseptique du système digestif et des voies respiratoires. Son effet fluidifiant du sang, sa capacité à dissoudre les caillots de petites tailles ralentissent l’évolution de l’athérosclérose. Ses principes actifs soufrés dilateraient les artères coronaires. Il aide à prévenir les cancers de l’estomac, du côlon et du rectum et il est efficace contre les parasites. Il favorise la digestion, le développement de la flore intestinale, grâce à l’inuline*, le prébiotique qu’il contient naturellement.

*Les inulines sont un mélange de polysaccharides (sucres simples de type fructose liés entre eux) produit naturellement par de nombreux types de plantes. Elles appartiennent à une classe de fibres alimentaires appelées fructanes.L'inuline est utilisée par certaines plantes comme moyen de stockage de l'énergie que l'on retrouve généralement dans les racines ou les rhizomes.

Il contient de l'allicine qui a un effet cardioprotecteur et permet de réduire les plaques de l'artériosclérose. L’allicine est un composé transitoire rapidement transformé en d’autres composés sulfurés qui, eux, sont actifs dans l’organisme

Ses principes antioxydants protègent les cellules du corps des dommages des radicaux libres. Il contient des flavonoïdes et des tocophérols**, en plus des composés sulfurés qui contribueraient aussi à son activité antioxydante. L'ail contient plus de 30 composés sulfureux, 17 acides aminés, du calcium, du fer, du magnésium, du manganèse, du phosphore, du potassium, du sélénium, du sodium et du zinc, les vitamines B1 Thiamine, B2 Riboflavine, B3 Niacine, B5 Acide pantothénique, B6, B9 Folate, et C.

**L'α-tocophérol est une forme de vitamine E qui est préférentiellement absorbée et accumulée par les humains.

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